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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

Pourquoi il faut la fin du règne des Sassou-Nguesso et du PCT au Congo-Brazzaville en 2016.

26 Janvier 2015 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Tout d'abord nous constatons, comme tous les Congolais, que notre économie est en panne, et que notre société est en peine, frustrée et minée par la haine et la jalousie. Nous considérons qu'il est du devoir de nos responsables politiques de tout mettre en œuvre pour faire repartir la machine en réconciliant la justice sociale avec l'efficacité économique. Il est donc du devoir de la nouvelle élite dirigeante, pas celle quia déjà faillit, actuellement aux affaires, de prendre les choses en main. Trop de réformes, de transformations, dont le gouvernement et sa majorité se targuent de faire, d'avoir fait, et vouloir continuer à faire qui n'ont rien apporter à personne et dont l'utilité est pourtant indiscutablement établie, ont été repoussées depuis trop longtemps – des décennies, pour certaines –, car les corporatismes se prétendent défenseurs de l'intérêt général, alors qu'ils ne sont animés que par la volonté de préserver les rentes et les avantages tribalistes ( comme les constructions pharaoniques dans le nord, précisément à Oyo). Ces transformations, ces réformes sont plus urgentes aujourd'hui que jamais, afin d'améliorer le quotidien de chaque congolais, ou qu'il soit.
Nous récusons donc catégoriquement, à l"Institut Génération Tangible (I.G.T), l'idée selon laquelle certaines avancées méritent d'être continuées, appliquées parce qu'elles seraient trop timides. Oui, le Congo-Brazzaville est un grand chantier ou tout est à refaire. Il faut certes poursuivre les efforts engagés, et remettre chaque jour l'ouvrage sur le métier. Mais non, nous n'avons plus le droit de laisser faire les Nguesso-Sassou et le PCT les pas qui ne nous ont pas menés dans la bonne direction, quand bien même nous aimerions qu'ils soient plus grands, ou plus rapides. Nous devons à présent créer de Notre modèle de société congolais avec des standards mondiaux et africains, afin qu'il soit un modèle plus juste et plus efficace au service des congolais aussi et d'abord. Alors, défendre le Congo, ce n'est pas le figer, mais le moderniser.
Nous sommes par ailleurs convaincus qu'au-delà de la somme de mesures d'inégale importance, il est capital de montrer aux Congolais et à nos partenaires étrangers que notre pays est capable de mouvement, de vrai mouvement, dans la transparence et la justice et l'équité-égalité. Dans un Congo qui a le sentiment de s'enfoncer dans l'impasse et qui ressent plus vivement encore depuis le sommet USA-Afrique, puis le sommet au Sénégal ou le président ferme, François Hollande a donné, comme le fît Obama, des signaux forts et tangibles d'inflexions, puis des des printemps au Burkina-Faso et Bientôt en RDC voisine, l'urgence d'un rebond collectif, l'immobilisme politique serait une faute et nourrirait directement le populisme et la haine des Nordistes pr rien. Pour toutes ces raisons, nous pensons que le Parlement congolais, tout comme le gouvernements et tous ses laquais de ministres ne devrait pas toucher à la constitution, mais qu'il faudrait au contraire qu'il préparer leur sortie et celle de leur chef Denis Sassou-Nguesso et de leur parti le PCT/RMP en 2016, cela est plus utile. Surtout, nous lui demandons de ne pas faire la politique de la terre brulée comme l'avait tenter khaddafi et Gbagbo. Un nouvel élan est en marche; faisons en sorte qu'ils ne soient pas déçus et que ce départ imminent et cette fin imminente après plus de 50 ans de règne inique, soit effectivement le commencement d'un nouveau cycle. Un cycle qui redonne à la jeunesse de notre pays toute sa place, comme l'Institut Génération Tangible le fait.

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