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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

Le gouvernement congolais essaye d'occulter les problèmes du pays, car il n’a pas de cap en réalité.

30 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

"Il n'est de richesses que d'hommes" disait Jean Bodin. A méditer..

Affirmer à longueur de jours, d’interviews complaisant, de vidéos de communication diffusées autant de fois que possible par « Télé pouvoir » pour endormir les congolais sur les pseudos actions et réalisations du pouvoir en place, ne font pas une politique, ni un cap.

Ensuite, ostraciser, balayer les critiques par l’autodérision, la moquerie, les intimidations, envers les populations hautement formés ou pas, qui veulent voir enfin ce pays changé et avancé en offrant de réelles opportunités à ses filles et fils, sans forcément allés toujours à l’extérieur pour, soit disant s’en sortir, est une exigence que tout homme d’état digne de ce nom devrait prendre en compte.

Or, que constatons-nous dans ce Congo du pct/rmp, que la question se pose aujourd'hui de savoir si dénis sassou-nguesso est vraiment capable de diriger le Congo d’aujourd’hui, et pas celui du monopartisme communiste d’hier !

Ces ministres ne font absolument rien, sinon qu’agité l‘agitation par des effets de manches ! Le gouvernement de dénis sassou-nguesso, celui-ci, comme tous les autres auparavant, n'a pas de méthode, pas de cap, alors, ils occultent les affaires du pays, mystifient tout et n’importe quoi. Le gouvernement de dénis sassou-nguesso se noie dans ses contradictions permanentes, l’affairisme de ses ministres, de ses parlementaires. Dans l'esprit des Congolais, le doute s'est installé depuis fort longtemps très confortablement, sur les deux qualités qui définissent l'aptitude au commandement : la compétence et l'autorité. Les congolais n’attendent et n’espèrent plus rien d’eux, sinon qu’ils s’en aillent toutes et tous !

L'équipe gouvernementale actuelle du Congo s'apparente plus à un bateau ivre qu'à un gouvernement capable de conduire les destinées de ce peuple noble avec une terre et un sous-sol aussi riche, des cerveaux à foisons.

Le gouvernement congolais ne peut indéfiniment détourner l'attention des gens du fait que le Congo a besoin de réformes structurelles profondes pour son essor. Il lui faut un choc économique et éducatif, ce que nous proposons et demandons depuis forts longtemps à la Génération Tangible et au Bloc Tangible. Nos propositions en sont un parfait exemple collés aux réalités du pays et aux aspirations des congolais. Mais, nous n’attendons rien d’eux car leurs stratégies est connue : Laisser dire, ignorer et continuer à jouir en faisant semblant de s’occuper des problèmes du pays.

Les attaques infondées de responsables du pct/rmp de haut rang, de ce gouvernement contre les diasporas sont inappropriées. En venant insulter, narguer les congolais vivant à l’étranger, des fois par défaut, n’est nullement digne. Elles montrent avant tout le désespoir dans lequel se trouvent les gouvernants actuels de ce pays du fait que, même après trente ans de pouvoir, ils ne trouvent aucune réponse convaincante aux problèmes financiers et économiques du pays.

Ce gouvernement est un gouvernement pauvre et dénué d'ambition pour le Congo et les Congolais.

Ils veulent cacher leurs incompétence via des attaques permanentes envers les congolais, parce qu’en définitif, la seule chose qui les réunit encore c'est de se trouver le peuple congolais, sa diaspora, comme ennemi commun. Car en restant éveiller, ils se sentent en danger.

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Il faut à tout prix promouvoir l'esprit d'entreprendre au Congo

30 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Développer l’esprit d’entreprendre chez les jeunes congolais est un enjeu majeur pour l’économie congolaise. C’est une condition de la croissance durable de demain, de l’essor économique du pays, mais c’est aussi un impératif de cohésion sociale et d’intégration de la nouvelle génération dans un monde économique et social en mutation permanente.

Les congolais, quel que soit leur niveau de diplôme, ont un rôle essentiel à jouer pour relever ce challenge, les jeunes en particuliers. Ils disposent de beaucoup d’atouts pour réussir la création d’entreprise : une plus grande familiarité avec les nouvelles technologies (« digital native »), une certaine habitude du travail collaboratif, une ouverture à l’international, la pratique des langues étrangères…

Les étudiants et les actifs de moins de 30 ans seraient près de 50% à souhaiter créer une entreprise au Congo. Le chômage congolais a ce mérite de redonner ses lettres de noblesse à la fonction d’entrepreneur. Les congolais commencent à comprendre : c’est l’entreprise qui crée la richesse, c’est l’entreprise qui crée l’emploi, c’est l’entreprise qui détermine le niveau de vie et notre place dans la hiérarchie mondiale.

Des études menées au niveau mondial auprès d’entrepreneurs choisis comme particulièrement emblématiques et performants ont montré que plus de 55 % d’entre eux avaient créé leur première entreprise avant 30 ans. Rien n’est plus urgent que de provoquer un grand mouvement en faveur de la création d’entreprises au Congo par les congolais. Desentreprise sinnovantes tournées vers les emplois de demains.

Dans l’enseignement supérieur congolais, le manque d’ambition et d’ouverture freine cet élan. Idem dans les ministères qui portent ces thématiques : rien de concret ni de tangible dans ce sens.

Aujourd’hui, si tous les freins à la création d’entreprise au Congo étaient levés, les moins de 30 ans représenteraient plus de 20% de la totalité des créateurs d’entreprise au Congo. De plus en plus de jeunes choisiraient une formation à l’entrepreneuriat social et l’économie sociale. Une création d'entreprise, c'est aussi avoir une chance de plus d'accéder à la promotion sociale au Congo.

Les propositions innovantes et inédites sont là, prêtes à être mises en œuvre pour un Congo d’entrepreneur, avec la mise en place d’un concours national d’aide à la création d’entreprises innovantes, afin de rapprocher les jeunes et l'entreprise

Des initiatives importantes sont dans nos travaux pour le « NOUVEAU CONGO MODERNE DYNAMIQUE » pour favoriser le goût d’entreprendre au niveau de l’enseignement secondaire déjà :

* Introduire l'enseignement de l'entrepreneuriat dès la sixième.

  • Mettre en œuvre un parcours de découverte des métiers et des formations.

  • Mettre en œuvre un dispositif de découverte professionnelle dès la classe de troisième.

  • Permettre le développement de la démarche de projet ainsi que le déploiement d’initiatives en partenariat avec le monde professionnel tels que les mini-entreprises dans les collèges et les lycées, ou encore les témoignages d’entrepreneurs auprès des jeunes congolais dans les écoles.

En finir avec l’instabilité fiscale, l’attentisme des dirigeants politiques congolais, car ce sont les entreprises congolaises qui nous sauveront de ce marasme économique et de ce chômage endémique et pas les étrangers et leurs entreprises « momentanées ». Faire progresser la création d’entreprise au Congo, c’est aussi faire reculer le chômage. Car les entreprises créées aujourd’hui seront les PME de croissance dans dix ans. Quelques unes des grandes entreprises que notre pays comptera dans vingt ans sont, en ce moment même, en train de naître d’une idée, de quelques capitaux, d’une première société et de la chance qu’on leur aura donné. Avant qu’on ne lui reproche d’être trop grand, même Bill Gates a commencé petit!.

Il nous revient à nous les politiques visionnaires du Congo de demain de faire tomber les barrières sociales, culturelles, géographiques, psychologiques, financières, pour que la création d'entreprise par les congolais, pour les congolais soit démocratisée. L’emploi, priorité sur laquelle nous devons progresser encore, viendra largement de la création d’entreprise par les congolais.

La création d’entreprises est un enjeu majeur pour notre pays. La création d’entreprises est une grande cause nationale.Elle est source de richesses. Encourager la prise de risque, l’innovation, l’inventivité est essentiel dans la compétition entre les nations. Elle est indissociable de la réussite de notre économie.

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Au Congo, sans l'économie souterraine et informelle, il y aurait déjà eu une révolution des populations, vu le niveau d’arrogance et de sectarisme du régime en place depuis 30 ans de gestion « épicière » du pays

26 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Il n'y a jamais eu autant de chômeurs au Congo ! Et cela, dans les différentes strates de populations.

Comment le Congo n'implose-t-il pas avec un taux de chômage toutes catégories confondues de près de 40 % de sa population active au chômage ?

Chaque fois que l’on parle chômage, pauvreté, au Congo la même question revient. Et la même réponse est faite par les congolais eux-mêmes : la solidarité familiale empêche de nombreuses personnes de se retrouver à la rue ; et, surtout, l'économie souterraine et informelle au Congo joue les amortisseurs.

La progression du nombre de chômeurs au Congo reste donc une « plaie » pour les familles qui en pâtissent au Congo. Le chômage n'a cessé d'augmenter depuis 30 ans ! Et ce n'est pas une bonne nouvelle. Dans un pays ou les autorités se gaussent d’avoir une croissance « artificielle » à deux chiffres, basées essentiellement sur les revenus du pétrole...

Et pourtant l'emploi au noir s'affiche au grand jour. La débrouillardise au Congo est un « statut social » de notoriété public. La maltraitance, la discrimination, le tribalisme, le "yaka noki-noki", le harcèlement au travail, sont des pratiques courantes.

Tout le monde profite de cette situation ubuesque dans ce pays aux terres et sous-sol immensément riche… l'économie souterraine et informelle au Congo représente près de "240 milliards de Franc CFA qui échappent au contrôle du fisc congolais, sans compter la fuite des capitaux organisés par le clan au pouvoir vers les paradis fiscaux" et 60 milliards qui devraient être versés à l'Etat congolais. Avoisinant ainsi les recettes pétrolières.

De plus en plus inquiets de l'explosion du chômage, certains congolais bien inspirés, loin des « petits-jobs », veulent mettre sur pied une vraie économie avec des start-up, des PME-PMI, des TPE et des ETI en marchent, mais ils manquent de soutiens financiers...et pendant ce temps, que fait le gouvernement congolais… ?! Que fait Madame Moungany Adélaïde... ?! RIEN !

Alors, nous interpellons les politiques. Car aucun remède n’est mis en place de façon tangible et rappelons l'Etat Congolais à ses responsabilités.

Désormais, il faut retrousser ses manches, faire appel aux talents. Le seul sujet, seul élément qui doit nous rassembler, c'est la lutte contre le chômage des congolais et c'est comme ça que nous allons inverser cette tendance.

Pour inverser la tendance, le gouvernement congolais doit s’ouvrir car une vraie politique pour l’emploi et le travail pour tous congolais est possible. Des leviers pour une vraie politique de l’emploi existent. Avec, pour être au rendez-vous des promesses et du concret, des bilans de ces actions, avec l’instauration de conférence sociale. Tout cela ne se fera qu'à une condition : chasser les dogmes paralysants et les postures politiciennes des membres du pouvoir actuel.

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Les zones économiques spéciales congolaises, nouvelle illusion de la croissance au Congo avec Alain Akouala

23 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

C'est la formation qui doit être au coeur de nos efforts. C'est la meilleure arme anti-chômage de masse au Congo.

Longtemps tirer par le pétrole et ses cours élevés, le Congo-Brazzaville, ne disposant d’aucun modèle économique viable, sauf la rente pétrolière, découvre le revers et les affres d’une croissance artificielle basée sur rien de tangible économiquement. A en croire les données macro-économique des institutions économiques sérieuses et sans connivence avec ce régime autocratique :

LE PETROLE CONGOLAIS NE SUFFIT PLUS A DOPER LA CROISSANCE ARTIFICIELLE DU PAYS.

Etant donné que l’exploitation et la vente du Bois est devenue la réserve familière du Ministre Henri Djombo et de sa famille.

Ils sont donc, comme à leurs coutumes allés s’inspirer chez leur premier partenaire économique, la Chine, qui elle-même connait des difficultés et un puissant ralentissement de son économie, essentiellement dopé, elle, par le crédit, en empruntant tous azimuts les Zones Economiques Spéciales (ZES)…Avec aux manettes un autre piètre : Sieur Alain Akouala.

Les zones économiques spéciales sont des zones dédiées aux exportations. Elles permettent une fiscalité attractive sur ces zones incitant effectivement les investissements directs étrangers. Or, telle qu’instituées au Congo-Brazzaville (Ouesso, Oyo-Olombo, Pointe-Noire et Brazzaville) les 4 ZES, elles offrent peu de perspectives de croissance...Mais sieur Alain Akouala et son chef ne peuvent pas le dire tant cela est un échec patent…

Attirer des investissements directs étrangers a souvent été envisagé comme un moyen efficace pour promouvoir la montée en gamme de la production industrielle « morte » du Congo. Le premier canal est direct puisque la qualité des biens produits par les entreprises à capitaux étrangers est généralement supérieure à celle des entreprises nationales. Par différents effets de diffusion, la présence de multinationales peut aussi induire une amélioration des biens produits par les entreprises nationales. Or, le Congo est probablement le pays le plus emblématique d'une absence de stratégie dynamique d'attraction des entreprises étrangères. Bien que ces jours derniers, ils n’ont que l’acronyme MEDEF dans leurs bouches.

Ce mirage du « chemin d’avenir » est suicidaire pour l’essor économique du pays.

En effet, en voulant concentrer les investissements étrangers et les activités de transformation dans les zones économiques spéciales (ZES) dédiées aux exportations au Congo : cette déconnexion structurelle, volontaire et géographique entre les activités domestiques ordinaires d'un côté, et celles reposant sur la technologie importée et les entreprises étrangères de l'autre, va entraver la diffusion technologique pour pérenniser les emplois, et bloquer toute forme de transfert de technologie, fondamentale dans la bataille de la globalisation pour un essor économique de qualité.

Ce choix délibéré de l’état congolais va réduire les retombées potentielles et les gains de croissance qui proviendraient des activités d'assemblage et étrangères dans ces zones.

En effet en concentrant les investissements étrangers et les activités de transformation dans des ZES dédiées aux exportations les autorités congolaises vont limiter l'enracinement local. Or l'appropriation domestique et l'insertion forte des entreprises dans l'économie locale sont essentielles pour que l'adoption de nouvelles technologies renforce la croissance artificielle congolaise pour la transformées en croissance durable.

Ce travail indique qu'il est crucial de distinguer entre les différentes origines (domestique et étrangère) de la montée en gamme pour disposer d'un indicateur pertinent de la véritable adoption des transferts de technologies au Congolais et la seule référence au volume des investissements directs étrangers ne saurait suffire.

En effet dans le cas de la Congo-Brazzaville, ou nous ne fabriquons rien, ne produisons rien, n’exportons rien à part le pétrole, vouloir améliorer cela à partir des ZES pourraient n'être qu'un énième mirage statistique au Congo dans la mesure où elle proviendrait uniquement des progrès des entreprises étrangères ou de la qualité des composants assemblés (ce qui est le cas actuellement au Congo), sans qu'ils initient ou signalent une montée en gamme des entreprises nationales (quasi-inexistantes actuellement). En outre, dans ce contexte, les externalités et les bénéfices qui en sont attendus en termes de croissance semblent amoindris.

Alors un bon conseil à tous ces amuseurs de premières… : Ne nous racontons pas d'histoires: nous avons un pays plongé dans un chômage inouï, d'une exceptionnelle gravité et pendant ce temps, vous distrayez les populations avec vos idioties.

La situation du peuple congolais est grave. Car, au-delà de vos discours pompeux, votre verbiage dégoulinant, il y'a la réalité, les faits, plus têtus que votre marketing-communication politique dont vous abreuvez les congolais sur vos chaînes de télé locales.

Le chômage de masse est en hausse ininterrompue depuis plus de trente ans de gouvernance de ce régime, c'est ça la réalité économique de nos compatriotes.

Votre devoir serait de répondre à cette angoisse par l'action, et pas par des effets de manches !

Cette bataille, nous pouvons encore l'engagée et la gagnée, si toute fois vous faite l’effort de reconnaitre que votre immobilisme nous tues chaque jour un peu plus à petit-feu…plaçant un handicap d'une trentaine d’année de retard, d'abandon, de négligence coupable.

Beaucoup de congolais doutent que l’on puisse remporter cette bataille avec ces équipes là. Car cette bataille, c'est la bataille pour une génération, pour les générations futures.

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Mention médiocre à Emile Ouosso et Jean-Jacques Bouya

23 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Eugène Claudius-Petit a dit : "L’aménagement du territoire, c’est la recherche dans le cadre géographique d'un pays d’une meilleure répartition des hommes en fonction des ressources naturelles et de l’activité économique." Il conjugue donc développement économique, habitat, transports et communications.

Ce dernier doit conjuguer deux objectifs dans son élaboration et sa mise en oeuvre. Les deux objectifs majeurs des politiques d'aménagement du territoire consistent :

- en l'accompagnement du développement économique des territoires, et

- en la réduction des inégalités spatiales en termes économiques ou sociaux.

Mais que constatons-nous au Congo-Brazzaville avec les sieurs ministres Emile Ouosso et Jean-Jacques Bouya… ? Le niveau ZERO de l’élaboration, direction et mise en œuvre de ces politiques qui permettent de « gommer les inégalités ». Surtout si l’on rajoute les sieurs Mvouba Isidore et TSIBA Florent pour compléter les objectifs finaux de ces projets et madame Moungany Adélaïde.

Quand nous voyons toutes et tous au Congo le niveau, puis la qualité des réalisations dans ce domaine, les bras nous en tombent toutes et tous…peu importe sa région, sa tribu ou son ethnie.

Quand nous voyons le nombre de jeunes ingénieurs diplômés en BTP, urbanisme, Génie Civil, Construction, Environnement, qui ne demandent qu’à servir le pays et qui ne sont pas utilisés à bon escient pour le développement du Congo, tout juste parce que la Nomenklatura veut maintenir le pays à l’âge de la pierre taillé afin que eux et les leurs continuent à jouir sans fin, penses-t-ils, des richesses de ce pays…cela nous mets toutes et tous hors de nous…Et dire que le premier d’entre-eux n’a eu que la piètre usine de maloukou à proposer aux congolais fortement diplômés et formés des diasporas...c’est à croire que ce cauchemar ne veut pas se terminé.

Les Congolais le constatent, au vue de ce qu’ils appellent eux-mêmes entre eux très affectueusement.... : « les réalisations de la nouvelle espérance et du chemin d’avenir pour un Congo émergent en 2025 », les sommes donnent le tournis...mais…pour quel résultat signifiant ? AUCUN ! Ne créons aucun emploi pérenne, durable, convenable pour les congolais, avant, pendant, ni même après.

La situation des transports dans ces parties du pays est chaotique, idem et pire encore dans les « grandes agglomérations ».

Vouloir à tout pris développer le Nord et le Centre du pays, au détriment du Sud est une chose, mais ne pas permettre aux habitants de ces endroits d’en profiter (travail, transport, vie décente) est d’un égoïsme sans nom, voir insultant pour eux.

Ces hommes et ces femmes là, qui ont la charge de la gestion « épicière » de ce beau pays n’ont jamais été, ne le sont pas, ne seront jamais à la hauteur de la tâche. Ils n’ont que les effets de manches, des rustines, des formules creuses pour masquer leurs incompétences dans la gestion de la chose publique.

Alors, la seule question qui vaille est... : COMBIEN DE TEMPS ENCORE VA DURER CE PIETRE SPECTACLE QUI NOUS METS TOUTES ET TOUS HORS DE NOUS… ET QUI FAIT PERDRE DU TEMPS AU DEVELOPPEMENT ECLATANT DE NOTRE BEAU PAYS LE CONGO ?

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LA FORMATION COMME LEVIER MAJEUR POUR LA COMPÉTITIVITÉ ET L’EMPLOI AU CONGO.

16 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

L’absence de modèles économiques dans notre beau pays le Congo nous prouve une fois de plus aujourd’hui en temps de crise, l’impératif majeur de la formation professionnelle et initiale des congolais. Le monde est en mutation, tout est à réinventer.

Pendant que dénis sassou-nguesso et sa cohorte de ministres viennent narguer la diaspora sans aucunes mesures incitatives économiques d’ampleurs pour les congolais formés et surdiplômés, nous, à la Génération Tangible et au Bloc Tangible nous travaillons au meilleur du Congo qui est devant nous, car le meilleur est à venir au Congo, dans ce Congo là, n’en déplaise aux « zélés du régime » aux « verrouilleurs qui font tout pour que rien ne change ».

La crise sociale au Congo s’accroit chaque jour un peu plus au sein des populations, elle évolue, en dépit des affirmations mensongères et non étayées des membres du gouvernement sur « la prétendue bonne santé économique du pays ». Le changement en cours s’accélère dans le monde entier (fragilisation des systèmes financiers, évolution des équilibres mondiaux…) et fait peser le risque d’un faible dynamisme des économies européennes dans les prochaines années. Naturellement, ce mouvement de fond ne sera pas sans incidence sur l’emploi et les équilibres sociaux en Afrique. Les transformations qui réussiront seront celles qui auront permis, dans un cadre généralement contraint, d’augmenter le niveau d’employabilité des salariés grâce à la mobilité et grâce à la formation professionnelle.

Face à cette tendance, la Génération Tangible et le Bloc Tangible, en partenariat avec l’U.F.P. travaillent à proposer des solutions novatrices, des leviers concrets que nous devrons mettre en place rapidement et qui devront pleinement jouer leurs rôles de soutien et d’oxygénation, auprès des entreprises congolaises existantes, en création, à créer, et de leurs salariés, pour que la formation professionnelle et initiale soit plus que jamais un facteur d’investissement de « l’économie réelle » au Congo aujourd’hui et demain.

Sans conteste, dans « le Congo Nouveau » de demain, la compétence des salariés congolais, des jeunes diplômés congolais sera un facteur déterminant pour la compétitivité des entreprises et en particulier des TPE-PME congolaises, afin que celles-ci puisse dynamisées l’économie congolaise.

Pour répondre à cet enjeu, notre « Ambition Congo Nouveau et Formé » est de renforcer la formation, l’insertion et l’accompagnement des salariés congolais dans l’emploi durable et de qualité, un accompagnement quotidien et de proximité. Encourager les entreprises congolaises, ou implanter sur le territoire congolais de façon durable, à investirent massivement dans la formation professionnelle continue et initiale, pour des salariés et des employés de qualités.

Au titre de notre mission qui s’ancre d’abord et davantage dans le champ de l’emploi, nous devons à la Génération Tangible, faire en sorte que la formation professionnelle et initiale participe activement à la sécurisation des parcours professionnels des salariés congolais, cadres et non cadres, et des demandeurs d’emploi congolais les plus fragiles. Nos propositions vont dans le sens de mailler tout le territoire nationale congolais, afin que nul congolais ne soit laisser sur le bord du chemin : cela est notre atout déterminant.

C’est en partie pour cela que nous en appelons à une vraie décentralisation et un renforcement des politiques des collectivités locales au Congo, et que les maires soient désormais élus et plus nommés, car ils sont, de notre avis de terrain, les premiers maillons forts d’une réelle politique d’insertion par le travail dans tous nos territoires au Congo. Mais pour jouer ce rôle, en phase avec la mise en pratique de nos propositions/leviers, il faut des femmes et des hommes de probité, c’est essentielle.

Cela passera par trois (3) objectifs d’orientation stratégique pour un Congo demain du plein emploi et des personnes formées :

1/ ANTICIPER

les évolutions des entreprises congolaises et des territoires congolais. (Échelon clés pour le retour/ l’insertion par le travail).

2 / SOUTENIR

les phases clés de développement de celles-ci.

3/ RENFORCER

le rôle de la formation dans la sécurisation des parcours professionnels.

1/ ANTICIPER

les évolutions des entreprises congolaises et des territoires congolais.

LES ENJEUX

A u n i v e a u s e c t o r i e l comme entrepreneurial, une démarche prospective est le meilleur moyen d’anticiper les mutations qui toucheront les activités et les emplois. Pour tous, anticiper les pratiques professionnelles et le niveau d’emploi de demain au Congo, c’est aussi pouvoir partager des éléments de diagnostic, par région ou par activité, avec d’autres acteurs économiques et institutionnels afin d’optimiser les politiques à mettre en œuvre localement, puis nationalement.

2 /SOUTENIR

les phases clés de développement de celles-ci.

LES ENJEUX

Prendre en compte l’ensemble des facteurs d’évolution de l’entreprise au Congo. Telle est l’approche dite « globale » prônée par la Génération Tangible depuis plusieurs années pour l’accompagnement dans le domaine de la formation professionnelle et de l’emploi. Les aspects organisationnels, sociaux et économiques sont donc tous à prendre en compte pour investir efficacement et permettre à l’Etat et aux pouvoirs publics d’intervenir de façon adaptée.

3/ Renforcer

le rôle de la formation dans la sécurisation

LES ENJEUX

Déjà très impliqué depuis le début dans les grands projets stratégiques dans la sécurisation des parcours professionnel des congolais, la Génération Tangible s’engage à déployer des plans d’actions volontaristes en utilisant les champs d’intervention élargis via la proposition de notre réforme du code du travail congolais, du marché du travail congolais et de l’Onémo, puis de notre formation professionnelle pour rendre aux congolais leur fierté.

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Une bonne partie de la diaspora congolaise de France, produit odieux du régime kleptocratique de dénis sassou-nguesso.

9 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Une fois de plus, les affamés-chômeurs irréductibles de la diaspora parisienne nous ont fait la démonstration de leurs avidités et de leurs avilissement qui permet la pérennité du régime de Brazzaville, et l’impunité des « dirigeants, membres du régime ».

Lors de la venue des fils ou des filles de dénis sassou-nguesso, des membres du cercle du pouvoir, de près ou de loin, viennent et déambulent librement, tranquillement à paris, sans être inquiéter…

La « foule » qui s’est déplacé à l’aéroport parisien puis à l'hôtel le Meurice à paris pour accueillir/écouter « le général » n’a sidéré ni surpris personnes, sauf les naïf et les incrédules de la diaspora…Car c’était couru d’avance vu la sociologie de la diaspora congolaise à paris…Des défaillances morales de tous ordres, de toutes part, de la part de ces personnes iniques, sans avenirs pour la plus part, sinon que rester ici en France à ce voiler la figure de leurs échecs….Les voici contraint à mendier auprès des autocrates congolais à présent…lors de leurs venus en occident, quémandant des audiences pour faire part de leurs soucis financiers, de leurs difficultés à s’en sortir en Europe.

Mais nous ne pourrons nullement nous contenter de la courte et élémentaire indignation de la part de l’autre diaspora « engagée, politisée, mais qui ne prend jamais de risque à aller affronter ce pouvoir surplace par des initiatives fortes ».

Cette diaspora donneuse de leçon et moralisatrice sur la place de paris, qui dit son indignation aux autres, plus en phase avec le régime de Brazzaville. Elle aussi a des comptes à rendre, car elle n’est vraiment pas en mesure de pointer du doigt ceux-là même qui assument leur appartenance leurs soutiens, leurs légèreté et leurs cynisme au régime de Brazzaville en allant à l’aéroport accueillir « leur chef ».

Le mensonge, qui est au cœur des effarements des congolais, tant dans les diasporas que surplace au Congo, est une pratique courante dans les allées du pouvoir et ici dans les milieux congolais.

La résultante, car nombreux parmi ces personnes allées soutenir et accueillir dénis sassou-nguesso pour son séjour à paris sont arrivées en France grâce à ce régime (cobras, amantes des ministres ou des hommes forts du régime, amants, petits des missions, porteurs de sacs, etc, etc).

Alors ne nous en étonnant point, ne nous en offusquant point…..car ils sont le produit odieux d’une pratique politique trop souvent construite sur le déni de l’évidence, l’arrogance du parvenu, la fausse promesse du démagogue, l’abus de confiance du prestidigitateur.

La crise de confiance entre les citoyens de la diaspora n’a pas fini de cristalliser les congolais. L’affaire de l’accueil de sassou à l’aéroport, à raison de 50€/personnes, révèle seulement l’ampleur des dégâts et des souffrances des congolais, pour un bon nombre (sapeurs, et autres ignares) ici à Paris. Combien de temps ce monde vermoulu teindra-t-il encore debout ?

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Denis Sassou-Nguesso et le PCT doivent laisser vivre le Congo

8 Avril 2013 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle et du dialogue social.

Toutes les élections au Congo du PCT et du RMP sont entachées de fraudes massives, de corruption à grande échelle sans gênes aucunes.

Sans pousser des cris d'orfraies et "crier avec les lâches de tous bords", la Génération Tangible et le Bloc Tangible demandent solennellement au régime de brazzaville à ne rien faire qui puisse nous conduires toutes et tous vers des lendemains sans certitudes....avec des manoeuvres qui permettront à "la nomenclatura" en place de conserver le pouvoir coûte que coûte.

On ne change pas les règles "de LA reine des règles communes", notamment LA constitution à son gré pour son bien personnel quelques mois ou quelques années avant les élections. Une élection est une respiration. Même si le bilan de Denis Sassou-Nguesso à la tête du Congo serait, pour "certains", "plutôt bon", il doit laisser le Congo vivre sans lui et sans le PCT et le RMP et toutes la kyrielle de partis de la majorité qui empêchent le renouvellement de LA vraie classe politique congolaise du 21è siècle qu'attendent les congolais dans leurs ensemble. Les présidents de la République, les gouvernements passent, les partis politiques changent de tête et pas le Congo et le PCT-RMP ? Ce n'est pas sain. C'est inconcevable.

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