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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

Florent Nstiba ne doit pas être là pour faire de la comptabilité des chômeurs congolais mais être là pour agir !

27 Décembre 2012 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Formation Professionnelle, Relation sociale

A ce jour, et cela figurait en première place de mes propositions pour notre projet lors des législatives du 15 juillet 2012, les outils pour lutter contre le chômage au Congo sont obsolètes et quasi-inexistants.

Nous travaillons à Génération Tangible et au Bloc Tangible dans ce sens : SORTIR LES CONGOLAIS ET LE CONGO DE CET ETAT ET CE CLIMAT ANXIOGENE ET CE MARASME ECONOMIQUE QUI DEPASSE EN PREMIER LES GOUVERNANTS.

Monsieur Florent Nstiba depuis le retour de sassou au pouvoir est ministre du Travail, pour quel résultat....!?

L'horizon économique et social congolais ressemble à un épais brouillard. Tous les congolais ont bien conscience que l'année 2013 sera extrêmement compliquée sur le plan social. Les congolais vont continuer à être aux chômage longtemps encore, des mois et des mois. Et les tensions sur le marché de l'emploi congolais auront des conséquences sur l'équilibre et la cohésion sociale du pays. Le temps des slogans et des programmes creux comme la "nouvelle esperance, le chemin d'avenir et autres" est dèrrière nous. LE CHANGEMENT, place à la nouvelle généraion innovante, audacieuse, ouverte sur le monde, élevée, courageuse, ayant un temps d'avance pou reprendre "les commandes du navire CONGO".

C'est maintenant le temps de la métamorphose. Face à cette mutation, ils sentent chez les Congolais plus de résignation et de l'incompréhension, plus d'inquiétudes et de colère.

Même les militants du parti-état sont dans l'attente. Ils déplorent l'absence de pilotage.

Les Congolais sont dans l'expectative.

Parmi les sujets le plus souvent évoqués par leurs électeurs congolais lors de la campagne des législatives du 15 juillet 2012 à Loandjili 1 et partour ailleurs, Ttié-Tié 3 : le pouvoir d'achat, la crainte du chômage abyssale des congolais, l'absence de perspectives. Il y a un vrai fond d'inquiétude sur la situation économique et sociale du pays. En 2013, il faut donner la priorité absolue à ces sujets au Congo. En clair les questions économiques et sociales.

Le Parlement congolais, bien que "renouveller" sur la forme, apparait déconnecté de la préoccupation première des Congolais, tout comme le gouvernement congolais et sonprésident, à savoir le redressement économique du pays.

Il est plus que jamais urgent d'inscrire à l'ordre du jour du Parlement congolais, en 2013, «un projet de loi à caractère économique fort, fondé sur les questions d'innovation, de modernité économique et d'entreprenariat». C'est le volet manquant de ce pays, de ce gouvernement.

Les parents congolais et leurs enfants sont dans un état d'esprit anxiogène véhiculé par tout ce qu'ils vivent depuis maintenant 30 ans de règne de ce pouvoir. Les Congolais sensés ont de puissants doutes sur la capacité de ces dirigéants à rétablir les comptes publics, réduire les dettes du pays et à relancer l'activité économique.

Les grands travaux d'infrastructures engagés produiront des effets dans la durée, pas par un claquement de doigts.L'impact de la dégradation de la situation de l'emploi au Congo se vit durement a quotidien pour chacun d'entre eux. Il faut impérativement inverser la trajectoire du paquebot, et ne surtout plus alimenter soit même le doute et l'inaction.

Une prise de conscience du président Sassou et de son gouvernement est urgente. Ce n'est pas en jouant les "Danton" et les "Robespierre" auprès des grands patrons français, chinois, russes, turcs et autres qu'il faut se distinguer. Il faut adapter notre pays dans cette mondialisation, mieux comprendre l'économie globale. Il faut mieux valoriser le travail.

Aujourd'hui mais nous avons un Congo et des Congolais qui veulent travailler et notre notre objectif à la Génération Tanfible et au Bloc Tangible, c'est de faire en sorte que le chômage, qui progresse depuis maintenant près de 15 ans au Congo continûment, recule.

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Ce qui nous attend en 2013....au Congo-Brazzaville...

25 Décembre 2012 , Rédigé par Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Relation sociale

Tandis que l'année 2012 se finie en ce bas monde, pour les congolais c'est une année de suplice qui se termine pour enchainer sur une nouvelle année..2013...encore pleine de suplices à venir pour eux et leurs familles.

Les pays du monde entier font le bilan de l'année qui se termine et les projections pour la nouvelle, en terme économique surtout, car c'est l'économie qui soutient la vie d'un pays.

En france, nous avons les prévisions déjà, ainsi qu'en Angleterre, etc etc.

Au Congo, toujours pas d'élan réel économiquement, mais nous approchons chaque jour un peu plus la catastrophe. Vola pour le tableau d'entrée de jeu.

Dans le détail toutefois, si le pays connait une croissance, les mois qui viennent ne seront pas fastes pour les salariés congolais, et pour les congolais nombreux, toujours plus nombreux au chômage.

Les épargnants congolais vont devoir puiser dans leurs "confortables" économies pour amortir le choc. Idem pour les "nouveaux retraités", car la retraite au Congo est synonyme de voir son train de vie divisé par six, donc, réduit à la pauvreté. Voila la triste réalité congolaise qui nous attend encore en 2013.

2013 verra l'explosion des contrats précaires proposés aux salariés congolais, car l'état et le gouvernement congolais ont grandement ouvert les vannes de l'octroi des permis d'exploitations miniers du sol congolais tous azimuts aux entreprises étrangères, contre de gros pots-de-vins pour l'octroi et la signature de chaque contrats..jean-jacques bouya et les autres en savent quelque chose avec leurs 3% à chaque contrats signés.

2013 verra une puissante continuité dans la destruction des emplois marchands, des licenciements abusifs sans causes réelles et sérieuses, et sans indemnités. A partir du 1er semestre, puis le 2ème semestre suivra sur la même lancée de destruction d'emploi marchands au Congo pour voir les chiffres du chômage frisés les 20% au Congo d'ici à Juin 2013, toutes catégories confondues.

Malheureusement, les contrats d'exploitations minières généreront des emplois..précaires, près de 15000...et après.., RETOUR AU CHÖMAGE.....sans droits aucuns.

Résultat :  DU VENT,ENCORE DU VENT, TOUJOURS DU VENT. Tout l'art de brasser de l'air ! De grands moulinets qui masque leurs incapacités, leurs manque de volontés de s'ouvrir pour transformer le pays et améliorer le quotidien des congolais, car Bien dans sa ville, Bien dan SA VIE!

En 2013, les congolais ne doivent pas s'attendre à l'amélioration de leurs vie, ni des conditions de travails encore moins des augmentations de salaires.

Avec un marché du travail hyper dégradé, rien de bon ne présage à la venue de 2013...si ce n'est la continuité dans la catastrophe, car l'économie et ce gouvernement et ce système, font deux!

En 2013, malgré les moulinets et les rustines de Madame MOUNARI, rien de concret dans la vie des congolais: envolés des prix à venir, même les produits de bases y passeront. Le pouvoir d'achat des congolais est leur dernières préoccupations..! Ce dernier est sous pression depuis 97..au retour aux affaires de Monsieur Sassou.

En somme : le Congo et les congolais sont à une année charnière, car il ne faut pas se laisser endormir avec la propagagande ambiante menée tambour batant par sa fille claudia sassou au manètte de la communication médiocre de son père, "singéant et voulons faire croire que le Ccongo sera un pays émergéant d'ici à 2025"....FOUTAISE! Arrèter de copier ALI Bongo!

Pour sortir la tête de l'eau, il nous faut innover, s'ouvrir aux autres car on a pas la science infuses, on est pas les seuls à pensées juste dans son coin, dasn sa famille, mais faire participer LES congolais de tous bords à la construction du Congo pour les congolais, comprendre les besoins et les attentes du peuple congolais dans son ensemble, revoir l'organisation de cet état moribond congolais. Et pas se refermer sur sois comme ils font, en faisant l'autruche ou du "wishfull-thinking"! La méthode "couet" en somme!

En somme, rien de réjouissif pour 2013, sinon, plus de misères pour les congolais, leurs enfants, leur familles...surtout les néo-retraités...sa va être la débacle. Et la jeunesse toujours plus exclu en 2013. L'entrepreuneuriat, toujours remis "aux calendes grecs"..triste année à venir pour mon peuple, mon pays..le fondement de mon engagement politique....

LE TRAVAIL, voila LA solution à tous nos maux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Les sans-culottes, au pouvoir au Congo depuis 1997! Le Congo sommé de réformer l'emploi.

2 Décembre 2012 , Rédigé par Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Relation sociale

Le PCT, ce parti unique qui "semble" renaitre de ses cendres…avec une formidable absence de ligne politique claire, louvoyons entre monopartisme et démocratie, entre autocratie, dictature et totalitarisme. Du coup, nous le voyons dans les actes, dans la vie des congolais, la gestion du pays telle une épicerie avec des femmes et des hommes dont le cynisme, l'amateurisme, la candeur, l'inefficacité, l'incompétence sont révélées depuis leurs retours au pouvoir en 1997 et encore chaque jour un peu plus.

Un dirigeant, un vrai, s'est celui qui décide, il ne se déporte pas pour décider, il ne se défausse pas! Or, actuellement au Congo, nous assistons à l'absence de dirigeants! Tout le monde semble diriger dans le Congo d'aujourd'hui!

Un homme politique, un dirigeant ne se détermine pas, u ne décide pas en fonction des conseils des uns et des autres! D'où l'impasse dans laquelle se trouve le pays! Qui plus ait, le refus du dialogue, le refus des propositions, des compétences des autres, ce repli volontaire sur l'entre-soi, mène le pays à l'abîme, et ceux, malgré nos immenses richesses mal employées.

Que font les ministres Isidore Mvouba, Ministre d'Etat, ministre du Développement industriel et de la Promotion du secteur privé et Florent Ntsiba, Ministre d'Etat, ministre du Travail et de la sécurité sociale et Adelaïde Yvonne Mougany, Ministre des Petites, moyennes entreprises et de l'Artisanat ?!!

Ces ministres ont montrés leurs limites dans la gestion de leurs portefeuilles. D'un ministre, en attend de l'action et pas du verbe improductif, des effets de manches, des moulinets pour masquer leurs inactions, leurs incapacités, des moulinets pour nous distraires! Un gouvernement qui zig-zag, car aucune ligne politique claire! Les politiques de fonds sont repoussées aux "calandes grecques". Si les congolais "baignes dans le chômage" au point où s'est devenu "une normalité" avec la création d'un nouveau statut social dénommé : "débrouilleur". Ce chômage massif est d'abord et encore la faute des différents gouvernements congolais, tous régimes confondus.

En ce moment particulier de crise, les choix politiques sont difficiles, et trop hésitants et perçus comme des paris risqués. Le pays vit un moment particulier depuis maintenant 29 ans de pouvoir sous l'ère Sassou-Nguesso 2, où la précarité se durcit pour les congolais, où le chômage a dépassé le raisonnable pour près de 4 millions de personnes, où les politiques publiques sont quasi-inexistantes, où les salariés congolais, qui ont encore un "emploi" sont très inquiets. Quand cela s'arrêtera- t-il ?

Les Congolais, dans leurs majorités, veulent portés la nouvelle génération de trentenaire au pouvoir pour enfin sortir le pays de sa léthargie, cette relève a été présentes aux législatives du 15 juillet 2012, et ceux, malgré la triche énorme du PCT. Ce peuple a besoin de plus de justice, d'égalité, d'équité, de grandes perspectives, d'espoirs. Un climat de confiance aujourd'hui ébranlé par l'ampleur des problèmes à résoudre et à l'absence de visibilité sur la sortie de crise.

Le Congo-Brazzaville doit, de façon urgente, engager des réformes structurelles pour lutter contre son taux de chômage record, abyssale, alors que dans le même temps, les perspectives de rebond immédiat de son économie, soutenu essentiellement par le pétrole, sont au beau-fixe.

Le Congo a une économie plus que fragile, et les décisions, axés essentiellement sur l'octroi tous azimuts des permis d'exploitation miniers à des entreprises étrangères, chinoises, sud-africaines vont crescendos dans le mauvais sens.

Notre principal problème reste notre énorme taux de chômage, qui est à ce jour, aux alentours de 25,02% de la population active en recherche d'emploi, dans un pays de 4 millions d'habitants (un taux qui monte à plus de 62% chez les 16-24 ans).

Les réformes structurelles que nous proposons à ces ministres sont nécessaires pour stimuler l'emploi, en particulier chez les jeunes, et pour améliorer la compétitivité de notre économie.

A la Génération Tangible (Le Bloc Tangible), on est prèt à relever le défi des réformes structurelles auprès des ministres et des ministères en charges de l'emploi, du travail, du secteur privé, de l'artisanat et des PME. Nous voulons aider à promouvoir le dialogue au Congo.

Ouvrir des postes de Chargés de Missions afin de permettre l'emmergeance de cette réflexion qui mènera de fond en comble le travail attendu et enfin redonner "de l'oxygène" au pays et au populations. Avec des moyens de tailles, les mains libres pour des initiatives dignes du 3eme millénaire et en avance sur notre siècle.

Le peuple congolais doit demeurer un contre-pouvoir autonome et exigeant vis-à-vis de la classe politique dans son ensemble, car nous sommes à leurs services!

A la Génération Tangible (le Bloc Tangible), nous entendons prouver par notre démarche de réflexions et de propositions, qu'une complémentarité entre démocratie politique et démocratie sociale est possible et faire la démonstration, "à l'image de certains pays d'europe nordique", que le dialogue social va résolument de pair avec le dynamisme économique et le progrès social.

Dans cette période de crise grave, nous sommes prêts à prendre nos responsabilités et à relever le défi de réformes structurelles dont à besoin l'économie congolaise.

Nous voulons co-gérer le Congo, co-construire le Congo! Nous en avons assez de jouer les pompiers quand tout es déjà décidé!

Les congolais savent qu'il faut des efforts justes et partagés pour y arriver. Encore faut-il se mettre très vite au travail.

La dette publique congolaise est un lourd handicap, le modèle congolais de production est obsolète et inexistant, la consommation est à bout de souffle, le déficit de compétitivité de l'économie congolaise hors pétrole et mines, est réel et fragilise les quelques entreprises congolaises hors secteurs pétroles et miniers.

Alors oui, des réformes profondes doivent-être menées parce que nous ne pouvons pas tricher avec le réel. Foryblan Dash BAKOULA KOUELANY est l'Homme de la situation, par son expérience, ses compétences et ses qualifications qui collent parfaitement avec ce domaine. Il est à même de menés et mettre en œuvre ses réformes du marché du travail congolais, du dialogue social, du secteur privé, de la formation professionelle continue, de l'artisanat et du soutien des PME. Un poste de chargé de mission pour livrer ses travaux aux ministres attitrés pourrait être aussi envisageable.

Ses efforts doivent être justes et équitablement partagés car les problèmes ne touchent pas tout le monde la même façon. Ne soyons pas dogmatique et repliés sur nous mêmes. Les congolais, salariés ou pas, n'attendent pas de leurs représentants des discours prometteurs ou des requisitoires vengeurs mais des solutions concrètes à leurs difficultés.

Nous à la Génération Tangible, le bord de touche et la fuite en avant des surenchères, nous les laissons à ceux qui préfèrent le refuge du commentaire, de la dénonciation à l'effort de compréhension, à la rudesse du terrain, à la recherche des solutions possibles.

1- Confier les politiques de l'emploi, de la formation et du soutien des PME aux régions. Avec une vraie dotation annuelle des fonds de l'état aux régions. Mais avant, il faudra modifier le code électoral,afin que les maires aussi puissent être élus, et non plus nommés! Mise en place d'une instance pour le controle semestrielles des comptes des régions, pour éviter l'enrichissement illicites, la corruption et l'abus.

2- Pour créer l'emploi au Congo, il faut davantage miser sur la formation professionnelle continue.

Si le capital humain est notre prmière richesse au Congo, alors on ne peut pas le considérer comme une variable d'ajustement ! Nous devons mettre la formation professionnelle au coeur de nos décisions d'investissement.

  • Faire emmerger un Congo des PME - PMI - TPE - ETI - ETM

Au Congo, nous sommes devenus les champions d'Afrique des entreprises unipersonnelles! C'est pas avec sa que les congolais retrouvons du travail pour s'en sortirent eux et leurs familles

3- Mobiliser les politiques publiques autour de la création d'entreprises et mettre la priorité ensuite sur le développement d'entreprises de taille intermédiaire. C'est sur elles que nous devons concentrer nos efforts ! Parce que se sont-elles qui embauchent, qui exportent et qui innovent.

4- Le développement des PME doit devenir la colonne vertébrale de notre politique économique.

5- Mettre en place une Banque Public d'Investissement ou un Fond Congolais de soutien aux entreprises congolaise, aux entrepreneurs ayant besoins de capitaux pour entreprendre.

6- Pour que nos PME se développent, pour créer "Un Congo du Travail rapporte", il faut des capitaux, des hommes, de l'innovation ET l'appui des grandes entreprises et l'appui du politique.

  • Faciliter l'octroi de financements à la création d'entreprise;

  • Moduler l'impôt sur les sociétés en fonction des stratégies de croissance;

  • Contraindre les banques congolaises à octroyer des crédits afin de financer l'économie réelles comme elle se fait partout dans le monde! Et s'en assurer par voie e contrôle.

  • Octroyés des fonds par Filières;

  • La mise en place d'un Small Bussiness Act congolais qui réserve réellement des part de marchés publics congolais aux PME congolaises;

  • Refonder "la politique du Guichet Unique" en place, car les résultats ne sont pas au rendez-vous!

7- Développer les filières d'Excéllence et d'Avenir, ausi région par région, et notamment :

  • Filière Agroalimentaire : nous souhaitons réaffirmer l'indépendance et la sécurité alimentaire du Congo, car les produits agricoles ne sont pas des biens comme les autres.

  • Filière Verte : tournons-nous vers les énergies renouvelables afin d'en finir avec les délestage, la chaleur des tropiques;

  • Filière Médicale : nous voulons voir engagés la dynamique des investissements tournés vers l'avenir avec des plans de santé publique stratégique.

  • Filière Numérique : nous souhaitons agir à la fois sur l'écosystème, la formation, le développement de l'accès et de nouveaux services. En particulier, nous souhaitons rapprocher et connectés tous les térritoires congolais aux nouvelles technologies et à Internet.

  • Mobiliser et faire contribuer les chômeurs pour le compte des municipalités à raison de 8h/jour et/ou par semaine. Afin qu'ils se resociabilisent.

8- Refonder de fond en comble L'ONEMO, car obsolète et anachronique! Elle est au service des intérêts tribaux, à la corruption, au chantage, et d'une inéfficacité plus que prouvée!

  • Nous avons les solutions pour ne plus parler des chômeurs et du chômage au Congo, mais les accompagnés, leurs apportés des solutions concrètes pour qu'ils retrouvent du travail.

9- Rendre le Marché du Travail congolais Flexible et Protecteur!

10- Réformer le code du traval congolais, afin qu'il prmette d'avoir des contre-pouvoir à sa hauteur pour le dialogue social, mais aussi protéger, par des droits nouveaux, remodeler, les salariés congolais, les chômeurs congolais, mais aussi les employeurs et/ou patrons congolais.

  • Là aussi nos propositions, nos leviers, tranchent avec la "tièdeure" ambiante au Congo!

Pour une sécurisation de l'emploi au Congo.

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Monsieur Sassou-Nguesso arrêté de nommer les Maires au Congo! Ils doivent se confronter aux suffrages des congolais, pour une vie meilleure de nos populations!

1 Décembre 2012 , Rédigé par Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Relation sociale

Un maire est un élu du peuple comme l'est le Député, le Conseiller Municipal! Ils doivent être élu, se confronter aux suffrages universelles sans triches, sans fraudes!

Aujourd'hui, avec ses catastrophes naturelles prévisibles au Congo, ses personnes sont incapables d'initiées des politiques dans tous les domaines pour sortir les administrés dont ils ont la charge de leurs misères!


Nous vous exhortons à changer cette pratique fortement anti-démocratique!

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La gestion/gouvernance du Congo par de politichiens, ça suffit !

1 Décembre 2012 , Rédigé par Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Relation sociale

Après l'ostracisme affiché envers l'opposition congolaise, envers les opposants congolais au Congo et à travers le monde, voici venue l’ignorance volontaire.L'on s'interdit de s'ouvrir, d'ouvrir les "portes fenêtres de la gestion du pays aux filles et aux fils de ce pays, formés, afin de contribuer à l'essor de notre beau pays par des propositions cohérentes, fortes, inédites, courageuses et fortes pour sortirent le Congo de l'ornière, même elles sont boudée par dogmatisme, idéologie, lacheté, par peur.

A écouter la plupart des médias et des commentateurs du pouvoir congolais, les opposants seraient les principaux responsable du désastre dans lequel est plongée le Congo depuis maintenant 29 ans, depuis son retour au pouvoir en 1997. La sortie de Bienvenue Okiémi en est un parfait exemple. J’avoue n’être pas convaincu par les arguments qui présentent Sassou-Nguesso et ses sbires comme les victimes innocentent et outragées. Je retrouve, dans la diabolisation des propositions que nous faisons, et dans la critique juste envers l'inaction, l'inéfficacitée prouvée, avérée des différents gouvernements congolais avec des ministres inamovibles, les mêmes procédés utilisés au temps du monopartisme, cette propagande qui consiste à délégitimer nos critiques contre le pouvoir en place.

La violence qui s’exerce contre les opposants au dedans ou au dehors du Congo vont au-delà des péripéties pitoyables e ce pouvoir en déroute, qui croupie dans la "politique de l'autruche". C’est notre discours "décomplexé, ferme et véridique" qui est aussi torpillé, y compris par une partie des vassales de ce pouvoir. Reste que ce spectacle rappelle ce qu’est devenue la politique sous l'ère Sassou-Nguesso et Cie : un moyen utilisé pour satisfaire des ambitions personnelles au détriment de l’intérêt général.

"Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite", a écrit Joseph de Maistre. L’observation vaut pour les partis, pour les dirigéants, pour celles et ceux qui se disent Femmes et/ou Hommespolitiques. Mais les Congolais à l'esprit élevé ne supportent plus ce qu’ils ont laissé faire durant trop d’années, à contrario d'une minoritée vassales qui soutien ce régime pour des intérêts peu légitimes.

On en a marre de ce foutoir qu'est devenu le Congo! Ce sentiment est celui du plus grand nombre aujourd'hui au Congo, les récentes innondtions catastrophiques qui ont ravagées pointe-noire, ce crash qui s'abat sur brazzaville, et d'autres, démontrent à suffisance que l'armée ne tiendra pas longtemps, ne contiendra pas longtemps ce peuple, même si les nouveaux généraux, les nouvelles nominations dans l'armées, la DST et aures corps de ce type, se réjouissent, croyant pouvoir "matter" la rebellion.

Ces crises dans ce Congo sont devenues un électrochoc collectif. Le monde politique congolais sort éclaboussé par leur incapacités à réagior à temps, à prévoir, à solutionner les problèmes des congolais. Le cynisme au Congo est devenu un sprt national en politique. La gestion/gouvernance du Congo par de politichiens, ça suffit ! Ils sont indignes de ce peuple, de ce pays, sont indignes de la gravité des crises que le Congo doit surmonter, et que les Congolais surmontent tous les jours dans leurs vies. Ca suffit ! Voilà ce que doivent comprendre Sassou-Nguesso et sa bande, idem pour les opposants du dedans.

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