Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

Le Congo pays ringard ? Les congolais, peuple ringard ? Peuple drogué à l'émotion, aux verbiages et aux discours creux ?

25 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Nous devons nous atteler à "tuer le vieux Congo qui se meurt" avec ses pseudos élites qui ont conduits ce pays là ou il est aujourd’hui. Ainsi, seulement ainsi, nous pourrions rebâtir un nouveau Congo sur de nouvelles bases, de nouvelles valeurs. Nous devons nous atteler à démontrer, nous leaders politiques du Nouveau Congo-Brazzaville, qu'après, ce sera meilleur et mieux, beaucoup mieux qu'avant. Car tout est à faire-refaire au Congo.

Or, que voyons nous aujourd'hui dans la diaspora ou au Congo, que des débats puérils, ou les personnes s'auto-calinent en calinothérapie, s'auto-congratulent, s'auto-admirent, l'entre-soi qu'ils dénoncent, ils la pratiquent avec acuité, et le tout dans une vacuité sidérante. Des discours creux, car adeptes de la pensée creuse, adeptes du verbiage à toutes les tournures de phrases pour mieux endormir et masquer leurs insuffisances.

Ces gens se fourvoient!

Le congolais est devenu un émotif en tout et pour tout! Horrible! Nos aïeux doivent se retourner dans leurs tombes!

Nous sommes un pays immensément riche qui plaît aux peuples du monde. Nous avons beaucoup à offrir, mais d'abord à nos populations. Autrefois, tout cela n'était pas qu'une conséquence comme cela est devenu aujourd'hui au Congo-Brazzavile sous l'ère Denis Sassou-Nguesso : les usines pléthoriques et de qualités que nous avions autrefois, tant en transformation qu'en production, étaient là pour donner du plein-emploi au Congolais, loin devant les services et l'informel (l'informel que certains dans une association, veulent légaliser et généraliser..l'on voit bien que quand on a des gênes socialistes, on n'a pas beaucoup d'idées, sauf de pompeux discours, et des convictions que sur sa personne, jamais sur les idées novatrices). Quand Jacques Joachim Yhombi-Opango, Massamba-Débat, au XIXe, ont remis les congolais au travail, ça n'était pas pour qu'au XXIe siècle, l'on deviennent un peuple pusillanime, veule, pleutre et fainéant : c'était pour donner aux congolais de vrais valeurs de Mérite, du Travail bien fait, d'Engagement, d’Effort, d'abnégation, de meilleur qualité de vie avec une économie florissante qui donna la fortune autrefois aux congolais. Aujourd’hui il faut accepter de regarder la réalité telle qu'elle est si l'on veut la changer : le Congo-Brazzaville est devenu un pays ringard ! Un peuple ringard !

Dans les jours qui viennent (d'ici à 2021) se jouera le départ ou non, de Denis Sassou-Nguesso à la tête du Congo-Brazzaville, après 37 ans de règne et tout son système avec lui. Tout ce que les personnes "dites engagées" trouve à dire sur le sujet, c'est qu'il faut attendre, ou même pour certains, dialoguer ! Ça n'est pas un enjeu pour des leaders politique visionnaires contemporain ! L'opposition congolaise, c'est d'une part un les "radicaux" à qui Dieu a prédit un jour un destin de chef d'État et d'autre part une bande d'apparatchiks affamés qui déclenchent des tempêtes dans leur verre d'eau sans s'apercevoir que leurs escarmouches dérisoires sont accueillies par une indifférence générale ( les diasporas). La question est-elle vraiment, pour l'avenir du Congo et des congolais, d'écouter-regarder_lire ou non avec ces gens-là ?

La responsabilité des acteurs publics aujourd'hui que nous sommes, c'est d'inventer la ligne politique sur laquelle le Congo-Brazzaville pourra remonter cette pente de déclin sur laquelle le pays et le peuple semble devoir glisser inexorablement jusqu'à fondre dans les brumes de l'histoire de sa perte en tous points. La responsabilité des partis ( à tuer aussi), c'est de fédérer une majorité de Congolais autour d'un programme vraiment nouveau, d'un modele, d'une histoire commune, d'un idéal, du sens et vraiment sincère ( le programme) qui permettra de refaire de notre pays un espace où l'on pense, où l'on invente et où l'on travaille. Il fut un temps pas si lointain où les esprits les plus affûtés, les innovations techniques et les productions les plus intéressantes dans le bassin sub-sahaérien étaient au Congo-Brazzaville : apporter une réponse à la question de savoir comment retrouver cela et aller au-delà, c'est la seule responsabilité des acteurs publics aujourd'hui, que nous sommes, pour que nous nous maintenions dans l'histoire africaine et du monde au lieu d'y disparaître.

Les congolais doivent apprendre à porter des jugements de valeur sur les institutions de leurs pays, librement, loin de l'émotion et de la peur distiller par les uns et les autres, mais aussi l'auto-peur. Cependant, il est évident que, lorsque le sentiment de frustration est aussi fort, aussi profond, aussi durable et aussi massif, il y a à s'interroger sur la confiance dans ces institutions, et donc la capacité des institutions à assurer cette paix sociale. L'attitude des "sécurocrates" du régime de M'pila à Brazzaville est aberrante. Jean-François Ndenguet, Yoka, JDO, Mboulou, Obara.

Alors que les idiots utile du régime autocratique de Denis Sassou-Nguesso prennent peur, car le temps de la fin arrive. A la diaspora, cesser de vouloir fournir ce qu'il y a de plus précieux en politique : un grand récit collectif à ces gens, ce qui leur permettra, au risque de désillusions, leurs maintien à sa tête. Ils ont peur! Ils ne sont, aujourd'hui, que le miroir de nos impuissances. C'est à nous de relever le défi. Congolais, Congolaises, il est toujours possible, encore, d'inverser le cours des choses dans notre beau pays riche.

Lire la suite

La position pusillanime de Denis Sassou-Nguesso face à Ndenguet, Okemba, Obara, le ringardise

19 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Denis Sassou-Nguesso, un président pusillanime en fin de mandat ?

La question se pose vraiment! A la lumière des faits, des actes, posées par les sieurs "Sécurocrates" de son régime finissant, en l’occurrence, les sieurs Obara Philippe de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur et Extérieur Congolais, Emmanuel Yoka de la Justice, Jean-François Ndenguet de la Police Nationale congolaise, de Raymond Zéphirin Mboulou de l'intérieur et enfin, du chef d'orchestre Jean-Dominique Okemba de la sécurité présidentielle.

Cette "task-force" ce permet des libertés sans limites sur la terreur vis-à-vis des congolais pour pouvoir se maintenir au pouvoir, en affichant plus ou moins ostensiblement son rêve longtemps mijotées, et avortées en premiers lieu le 4 Mars 2013, puis, aujourd'hui, vu l'état d'affaiblissement du clan Sassou-Nguesso, et du régime, face à la fronde contre la modification et/ou la révision constitutionnelle dans le pays, celui d'être "calife à la place du calife", avec en prime zéro talent et pire que Denis Sassou-Nguesso.

Ces messieurs bafoue toutes les Libertés Individuelles primaires des congolais, des étrangers au Congo-Brazzaville.

Ils se pensent et se voient à la tête du Congo-Brazzaville à la place de Sassou-Nguesso en 2016, en le forçant à la sortie pour éviter un "printemps congolais" à la manière du Burkina et des printemps arabes.

Le vrai danger, et nous le savons toutes et tous, c'est que ces gens sont pleins de haine et sont d'une incompétence notoire sans égales! Ils sont quatre-vingt fois pire que l'homme Denis Sassou-Nguesso, et tout le clan réunit.

Monsieur Denis Sassou-Nguesso, vous le savez au plus profond de vous même que vous ne pouvez pas laisser le Congo-Brazzaville entre les mains de ce type de personnes, suicidaire pour tout le monde, et en premier lieu votre clan, puis les congolais ensuite.

Alors, sortez de vos logiques anachroniques et clanico-tribalistes pour conquérir ou se maintenir au pouvoir, pour ouvrir le jeu et éviter de précipiter le pays dans un clivage suicidaire et des guerres en permanence. Prenez votre courage et dites-le que vous ne toucherez pas à la constitution, ouvrez le jeu en passant le flambeau aux congolais, loin de votre cercle et de votre système.

Les actes délibéré de vos "sécurocrates" actuellement au Congo-Brazzaville dénotent d'un profond manque de respect et de considération pour vous et votre autorité, alors même que vous êtes en place et n'avez plus, quasiment, votre mot à dire, tant vous êtes pris dans l'étau de votre propre système. Alors nous vous appelons à sortir de là courageusement, pour une fois!

Pour une fois, soyez lucide et soyez un homme de convictions! Sortez de votre pusillanimité suicidaire pour tout lemonde. Ne vous couchez pas aussi facilement!

Pensez contre vous même et contre votre clan et votre système Monsieur le président.

Ils n'ont aucune vision, aune conviction, aucune méthode, aucune stratégie, sinon que celle de se maintenir pour se protéger et protéger leurs acquis. Est-ce cela le projet pour le Congo ? C'est plus que court.

Prenez vos responsabilités!

Lire la suite

L'institut Génération fait des préconisations pour rendre les sports attractifs au Congo-Brazzaville

12 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Tandis que l'Inde, le Brésil, la Chine, la Russie (en somme, les pays émergents du BRIC) confortent, développe, et stabilise leurs championnats sportifs, nous au Congo-Brazzaville, ns procédons comme d'habitude, dans tous les domaines, à l’ancienne, avec des méthodes d'un autres âges, sans imagination, pas d'inventivité. Alors même que le monde a changer, évolue à vitesse grand V. Alors même que les dirigeants italien nous vilipendes, Willy Sagnol insulte l'Afrique et ses sportifs, l'Institut Génération Tangible à juger utile d'injecter du génie, et installer dans le débat public, des propositions tonitruantes adaptées au monde d'aujourd'hui et de demain, pour pouvoir développer les sports et nos championnats congolais dans tous les sports.

8- Travailler à la construction d’installations sportives de qualités avec commerces et restaurants :

Cela permettrait ainsi, à la manière d'Arsenal, de pouvoir mieux fidéliser les supporters, et donc, là aussi, une autre source d'entrée d'argent pour la grande chaîne du sport congolais.

9- Travailler à des calendriers sportifs plus fournis avec des rencontres de qualités au sommet :

Pour le grands plaisir des congolais, des élites, des familles, des jeunes, des aînés, mais aussi du monde sportif, tout le monde aurait à gagner.

10- Favoriser pour chaque club, dans chaque sport, d’avoir un ou deux centres de formations, pour travailler à produire la relève (tant des coach que des athlètes) :

Nous voulons toutes te tous, voir briller le congo dans le sport, mais encore faut-il que nous ayons des athlètes de qualités, des encadreurs de qualités, des dirigeants des fédérations, de qualités.

Pour finir, soyons en phase avec notre époque, et cessons d'être à la remorque du monde, si nous voulons nous faire respecter !

Ce qu'il faut, c'est que tout le monde puisse être content, et vivre du jeu, de manière équitable. Les joueurs, les organisateurs, les fédérations. Il y a des fédérations qui ne vivent que grâce à leur tournoi : aujourd'hui par exemple, la fédération de tennis canadienne peut aider des jeunes et payer des entraîneurs parce que l'open du Canada [un Masters 1000] dégage des profits.

Alors au travail !

Lire la suite

L'Institut Génération Tangible préconise la fin du régime présidentiel au Congo-Brazzaville

11 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Des réformes économiques, sociales et politiques sont nécessaires au Congo-Brazzaville, mais une refonte du système politique, administratif est également indispensable pour son essor d'ici à 2050. Une refonte qui impliquerait de mettre fin au système semi-présidentiel et à la trop grande concentration du pouvoir des présidents élus et de l'ethnicisme exacerbé de la société congolaise transformé en substrat électorale. L'institut Génération Tangible estime qu'il est fondamentale de faire tarir la source qui permet aujourd'hui au Congo-Brazzaville, à des personnes dépourvues de talents politiques, de convictions, de stratégies, de méthodes, de valeurs, de visions, pour le pays, sa circonscription, de pouvoir se positionner, contre argent, à toutes les élections, en espérant, d'après leurs calculs, pouvoir s'en mettre pleins les poches une fois élu. En pus de toutes ces tares, Génération Tangible estime que, vue le niveau d'analphabétisation d enos populations, au regard du taux d'illétrés croissant depuis 1997, il n'est plus opportun de voir ce tissu se pérenniser (tant pour tous les partis politiques, que pour les régimes). Car aujourd’hui, sur les 342 000 km², dans l'arrière pays, les populations n'ont en mémoire qu'un nom, qu'un partie : Denis Sassou-Nguesso et le PCT. Est-il bon et sain de vouloir bâtir un Nouveau Congo en 2016 et au-delà sur ces bases fausses? NON!

Pour les parlementaires (députés en l’occurrence, car le Sénat doit-être supprimer), comme en Suède, ils n'auront plus aucunes indemnités, plus aucuns véhicules, leurs nombres divisés par quatre. Ils paieront leurs campagnes avec leurs deniers et pas de remboursements. Ainsi, nous n'aurons que des personnes, candidates, bardées de valeurs, de visions, de réelles convictions pour développer le pays, nos territoires. Une puissante décentralisation devra se faire, mais pas à la hâte, car, aujourd’hui, au Congo-Brazzaville, nous n'avons pas encore, localement, les compétences nécessaires pour rendre les gestionnaires locaux responsables du développement local, économique, social.

Lire la suite