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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

Comment relancer l'industrie Congolaise

27 Mars 2024 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Autrefois notre beau pays dans lequel il faisait tant beau vivre, nous avions de belles industries productives et créatrices, et donc pourvoyeuses d’emplois pour les Congolais, offrait un véritable espoir et un beau niveau de vie. Nos parents, et par ricochet, nous-mêmes avions vécu, sommes nés et avant grandit avec les revenus de ces industries. Aujourd’hui, il ne reste quasiment plus rien, sinon, epsilon, mais des industries avec de très petites valeurs ajoutées, peu innovantes, et sans réelles perspectives pluriséculaires.

 

Notre système éducatif, de formation, l’émulation des politiques familiales offraient de réelles cadres à tous les niveaux de notre économie. Nous devons mettre un réel coup d’arrêt aux économies parallèles, informelles, tertiaires et de services. Ces économies de créent pas d’emplois, elles sont très peu pourvoyeuses d’emplois de qualités et à très fortes valeurs ajoutées et quasiment pas innovatrices.

 


Notre pays détient deux tristes records au sein de la CEMAC depuis la prise en otage de la dictature de 40 ans : il est celui où l'on travaille le moins lorsque l'on est en âge de le faire, mais il est aussi désormais l'un de ceux où la productivité au travail est la plus faible. Il sera impossible d'enrayer notre chute dans les classements africains, internationaux relatifs à la richesse produite par habitant si nous ne nous attaquons pas simultanément à ces deux maux.

 

Le premier a des causes connues : entrée tardive dans la vie active, niveau de chômage qui demeure élevé, taux d'emploi des congolais en âge, force et en bonne santé pour travailler, est insuffisant si on le compare à celui d'autres économies développées sur le continent où dans la région CEMAC. Les remèdes – refonte de notre système éducatif, de formation, de la formation des enseignements de tous les cycles, notamment les sciences et sciences économiques, montée en puissance de l'apprentissage de nos jeunes désœuvrés et pas ou mal formés, réforme de l’administration en mettant un terme à la fonction publique au Congo, report de l'âge de départ à la retraite ( 68/70/80 ANS) en bonne santé – ont été correctement identifiés par les #ConservateursCongolais. Ils sont en passe d'être administrés, dès notre avènement au pouvoir.

 

 

Relever le défi de la productivité – et de la montée en compétences qui en est le corollaire – suppose de jouer sur un registre autrement plus complexe. Il s'agit de réformer l'enseignement professionnel en le rapprochant du monde de l'entreprise, d'approfondir la coopération amorcée entre l'enseignement supérieur et les acteurs économiques, et plus généralement de donner clairement à notre appareil éducatif la double mission de former des citoyens éclairés et des adultes pleinement insérés professionnellement. Un vaste programme, d'autant qu'il ne s'arrête pas là !

 

Il faut aussi redonner aux élèves et singulièrement aux jeunes filles le goût des disciplines scientifiques et techniques, dont on sait qu'elles conditionnent la nécessaire réindustrialisation de notre pays le Congo, mais aussi augmenter significativement le nombre d'ingénieurs diplômés chaque année, réévaluer les filières de formation à l'aune du taux d'insertion professionnelle dont elles peuvent se prévaloir, et plus globalement revoir en profondeur la politique d'orientation. Ce dernier point est loin d'être secondaire : trop de jeunes issus de milieux défavorisés au Congo se retrouvent aujourd'hui dans des impasses faute d'avoir été convenablement conseillés, voir pas du tout accompagnés. Ainsi, nous créerons un Service Public de l’Emploi & un Service Public de l’Insertion et des Personnes en Situation de Handicaps.

 

 

Nous devrons également accorder aux professeurs de collège et de lycée la considération qu'ils méritent en augmentant leur niveau de rémunération et concurremment le degré d'exigence à leur égard. Mais aussi en maternelle et au Primaire. Nous créerons une Cité des sciences et de l’industrie, retraçant l’histoire de notre industrie, ses impacts, ses missions, ses ambitions, son apport pour notre pays, notre souveraineté, nos innovations, sa valeur ajoutée.

 

Il faudra enfin supprimer les trappes à bas salaire, alléger le fardeau des charges qui pèsent sur l'emploi qualifié, faciliter les transitions professionnelles et faire fonctionner l'ascenseur social tout au long de la vie active par la mise en œuvre d'une politique de formation continue ambitieuse et résolue.

 

Conjurer la menace du déclassement (imposer par la dictature depuis 40 ans) nous impose un vigoureux effort portant non seulement sur la quantité de travail produite mais aussi sur sa qualité. Si nous n'y parvenons pas, il est peu probable que nous soyons à même de financer simultanément le modèle social que nous souhaitons mettre ne place au Congo auquel nos concitoyens seront attachés, les moyens de notre souveraineté militaire et industrielle, et les investissements massifs nécessaires à la transition énergétique.

 

Pour que la valeur travail retrouve un lustre perdu sous la dictature Mbochis de 40 ans, il faut redonner de la valeur au travail aux congolais et au Congo.

 

L’époque du « travaille et tais-toi ! » est révolue. L’aspiration à une vraie participation, avec une formation digne de ce nom, et donc un salaire y afférent, se ressent dans toutes les strates de la société congolaise asphyxié qui n’en peut plus de l’oisiveté et de la pression, du nivellement par le bas. Tout comme le virage écologique ( afin de contrer les poussières, l’air de mauvaise qualité, irrespirable, des températures de chaleurs hors normes), la prise en compte de cette donnée est le passage obligé pour une sortie du productivisme effréné, que nous proposons dans cette nouvelle réindustrialisation du pays.

 

Congolaises, Congolais, notre très beau pays était naguère réputé pour l'intensité de son activité économique comme pour l'excellence de son système de formation dans la sous-région et en Afrique. Il doit redevenir cette nation industrieuse et apprenante qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être !

 

Foryblan Dash BAKOULA – Leader Majeur des Conservateurs Congolais & Africains

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POUR UNE INDUSTRIE CONGOLAISE FORTE ET DECARBONEE

26 Mars 2024 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

La dictature de quarante ans au Congo-Brazzaville à saboter les fleurons industriels qu’avaient le Congo-Brazzaville depuis son indépendance, et à dessein. Appauvrir les populations, les rendre dépendante et la main tendue, en plus de tuer l’éducation, la formation et brisant la famille et la politique familiale congolaise, telle a été l’entreprise de ce système.

Aujourd ‘hui, avec les #ConservateursCongolais & Africains avec la vision et le projet #NewStart, nous comptons , avec #CongoIndustrie, reconstruire le Pays et redonner un Avenir aux congolais, à notre jeunesse désœuvrée et manipulée, un espoir solide de naître, étudier, se former, s’éduquer, travailler et fonder sa famille au Congo-Brazzaville. Comment ?  En réindustrialisant nos territoires, car Nous avons pensé le Congo-Brazzaville.

Pour ce faire et donc attirer les investissements, d’abord en rapatriant les capitaux volés et dormant à l’étranger. Ensuite, nous développerons et mettrons en place des  crédits d'impôts et la création d'un nouveau livret d'épargne verte fléché vers tous les projets de création solide, verte, d’industrie, avec de grosses capacités de recrutements, de formations, de pérennités et de valeur ajoutée.

Cette réindustrialisation de notre pays pour le PLEIN EMPLOI AU CONGO EN DIX ANS, avec plus de 1000 Milliards de FCFA d’investissements directs ou de crédits d’impôts, va s’amorcer grâce à l'innovation. On ne refera pas l’industrie des années 80 !

Nous encouragerons, formerons au lancement des entreprises « Licornes » et des « entreprises de Tailles Intermédiaires » industrielles. Ce seront elles, le terreau de cette réindustrialisation portée dans le projet, la vision #NewStart.

 

Nous visons 70 nouveaux sites industriels dans tout le pays, à raison de 7 site par régions, si nous partons sur 10 régions (Kouilou, Niari, Lékoumou, Pool, Plateaux, Cuvette-Ouest, Sangha, Likouala, Pointe-Noire, Brazzaville).

L’objectif public numéro 1 pour #NousLesConservateursCongolais.

Nous visons l’excellence en Afrique.  Nous devons, en dix ans, redorée notre réputation pour l'intensité de notre activité économique comme pour l'excellence de notre système de formation qui devra nous produire de la main d’œuvre hautement qualifiée à tous les niveaux. Pas de diplomîtes, mais du métiers, de la rigueur, de l’excellence.

 

Foryblan Dash BAKOULA – Leader Majeur des Conservateurs Congolais & Africains

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INSTALLER DES USINES PARTOUT AU CONGO-BRAZZAVILLE EN 9 MOIS.

26 Mars 2024 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Pour une industrie congolaise décarbonée, donc, verte, d’ici avant 2050 et permettre le Plein-emploi aux Congolais, tel est notre objectif porté par la vision #NewStart chez LES #ConservateursCongolais & Africains.

Une façon de dire aux congolais, à notre jeunesse, que TOUT EST POSSIBLE POUR VOUS ; UN Avenir radieux est possible dans votre pays grâce à des industrie propres sur tout le territoire national.

A #CongoIndustrie, nous portons la vision d’un objectif de 9 mois, l’installation d’une usine sur un territoire au Congo-Brazzaville.

Nonobstant ce puissant délai, nous allons réduire toutes les incertitudes qui pèsent dans la tête des créateurs, porteurs de projets industriels, financeurs, business Angels, notamment, les question autours de l’accès à une énergie de haute qualité pas ou peu cher. Lourdeurs administratives, manque de terrains à bâtir, absence de visibilité sur les prix de l'énergie. La réindustrialisation verte voulue par les #ConservateursCongolais & Africains a tout d'une bouffée d’oxygène et d’avenir pour notre jeunesse, nos aînés encore en âge de travailler pour un taux d’emplois à 100%. Ils exigent un soutien public plus fort des Congolais. Donc, le départ de la dictature de 40 ans au Congo-Brazzaville, Maintenant !

C'est le moment d'afficher sa détermination. Pour donner une belle vitrine à nos territoires et notre Politique Industrielle, nous créerons une Foire de l’Industrie Congolaise qui se déroulera chaque année dans le pays. Une occasion de démontrer aux futurs industriels congolais, mais surtout à nos populations, à notre jeunesse, que L’AVENIR LEUR APPARTIENT.

 

Foryblan Dash BAKOULA - Leader Majeur des #ConservateursCongolais & Africains

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