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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

L'Institut Libéral-Progressiste Franco_Congolais : Génération Tangible, l'Avenir.

27 Mars 2015 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Née pour révolutionné la pensée politique congolaise, l’empêcher de penser en rond, avec pour principale idée de rendre le congolais autonome, autonomie tant mise à mal par ce régime depuis 1997. L'ère numérique, favorable à ce nouveau militantisme en prise réelle, leur sera fatale.

Pour nous libéraux-progressiste congolais et nouveaux constructeurs, plutôt qu'opposants inutiles, le libéralisme ne saurait se réduire au modèle économique dominé par le marché auquel on tend à le ramener si souvent à tord. C'est avant tout la mise en avant comme priorité absolue de l'autonomie, c'est-à-dire de « la capacité de l'individu à effectuer ses propres choix ».

L'économie est notre point fort, tout comme l’entrepreneuriat, la formation permanente, l'éducation, la santé, permettant ainsi de jeter les bases de réformes radicales qui doivent remettre l'individu congolais au centre de la vie publique. Garantir la liberté d'entreprise, la liberté des individus.

Notre boussole, c'est l'autonomie individuelle, pas la liberté aristocratique du privilège qu'ont crées les gens du PCT/RMP. C'est pourquoi nous devrons faire un grand feu de joie des innombrables statuts, corps, catégories, ordres, syndicats et autres chapelles qui cherchent à créer leur propre norme et polluent notre horizon social au Congo-Brazzaville. A la place de ces « rentiers et nouveaux riches grâce à Denis Sassou-Nguesso, l'homme du laisser-faire », et à rebours de nombreux politiciens dits « libéraux », nous proposons d'établir un revenu universel, assuré par l'Etat : Donnons à chacun de quoi se libérer de la peur du lendemain - non pas au nom de la justice ni de la paix sociale, mais de l'autonomie. Loin des inepties des pâles copie du RSA/RMI français svp.

Nous devons sortir de ce Planisme imposé par ces Maoïstes du PCT/RMP, des femmes et des hommes du passé et figés en ex-URSS. Un vrai repoussoir qui plait encore à certains qui se disent politiciens en 2015...cette idée perverse selon laquelle les choix individuels doivent être orientés et limités. Par qui ? Non par la volonté générale, ni par les associations de l'espace civil, mais par des experts, qui ont peu à peu envahi toutes les structures de l'Etat congolais et tracé la diagonale mortifère du pouvoir de Denis Sassou-Nguesso. D'ailleurs, nous avons les preuves de ce planisme mortifère avec : la mise en place de la carte d'identité, le statut de la fonction publique, les ordres professionnels (médecins, experts-comptables...), les différents Codes, la retraite par répartition...en fait, un vaste système de Ponzi qui cause la ruine de notre génération ou l'Ecole Polytechnique du Congo-Brazzaville, l'école de Police et de Gendarmerie, ou encore l'école Militaire Général Leclerc.

Autant d'institutions qui tentent de faire perdurer, s'accommodant très bien de la vision planiste qui est la leurs : Aucune différence, sur le fond, entre "l'économie organisée" et "l'économie dirigée". Faisant De Facto de L'Etat non plus un outil au service d'un certain ordre démocratique, mais s’identifions à la nation elle-même, qu'il couronne et englobe. Pour nous à L'Institut Génération Tangible, une fois tout ceci posé, il ne faut plus chercher plus loin les maux dont souffre le Congo-Brazzaville aujourd'hui .

Et demain pour le nouveau Congo-Brazzaville ? L'avènement que ns devons favoriser des « geek », symbole de l'utopie numérique planétaire promise par les géants du Web : individus connectés en permanence, règne des plates-formes et des algorithmes prédictifs, disparition de la notion de vie privée, remplacement du salarié par le « freelancer » ou le robot, et même transhumanisme, c'est-à-dire transformation de l'humanité par les nouvelles technologies. On les appelle les digital natives, la « nouvelle génération silencieuse » ou tout simplement les « Z ». Une grande partie de cette tranche d'âge qui vont faire le Nouveau Congo de demain, née entre 1995 et 2009, entrera sur le marché du travail dans la prochaine décennie. Dans la même période, leurs aînés de la génération Y, nés dans les années 1980 ( c'est à dire, la notre), s'y installeront et accéderont aux postes à responsabilité.

Le point commun entre ces deux générations ? Elles sont profondément ancrées dans le XXIe siècle. Inutile de leur parler de la crise, du chômage, les Y et les Z sont nés avec et s'y adaptent. Biberonnés à l'Internet, attentifs aux innovations technologiques, sensibilisés aux enjeux écologiques, prêts à travailler après 60 ans, ces travailleurs de demain vont arriver sur un marché du travail en pleine mutation, après avoir été figé pendant de années par le PCT/RMP. Les évolutions rapides de la société congolaise créent de nouveaux besoins, donc de nouvelles compétences qui s'intégreront dans la plupart des métiers existants et créeront de nouveaux métiers pour les congolais demain. Modernisons nos visions. La prise en compte des enjeux environnementaux va bouleverser l'industrie, les services et l'agriculture au Congo-Brazzaville.

Ce monde que la Silicon Valley nous prépare arrivera vite au Congo-Brazzavile, avec des conséquences importantes pour notre conception de l'individu, de l'Etat et de l'autonomie. La numérisation, le développement continu des nouvelles technologies, les évolutions démographiques et les préoccupations écologiques transforment les métiers actuels. Ces mutations sociétales contribuent à l'apparition de nouvelles compétences portées par la génération Y et à la formation en devenir de métiers inédits que pratiqueront dans la prochaine décennie les purs digital natives de la génération Z.

S'il appartient à la génération numérique de transformer le Congo-Brazzaville, elle devra aussi et surtout ce prévaloir de garantir la sécurité te al confidentialité, en plus du respect de la vie privée et des libertés des congolais en ce siècle..

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Les Sassou-Nguesso et le PCT/RMP, des tueurs en série, ont fait du Congo-Brazzaville un champ de ruines économique, sociale, politique, culturelle, éducatif : un vrai KO!

26 Mars 2015 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

L'Institut Libéral_Progressiste, Génération Tangible, accuse le gouvernement congolais de Brazzaville (Mfoa), le clan et les laquais du PCT/RMP, de programmer la mort économique, culturelle, sociale, politique de la nation congolaise. Ces derniers veulent mettre ce pays de 342 000 km² et de 4 millions d'habitants KO !

En favorisant le développement de l'économie congolaise sous la coupe des étrangers (Libanais, Pakistanais, Chinois, Indiens, Mauritaniens, Béninois, Maliens, Sénégalais, etc), ce régime, ce clan et ce gouvernement d'amateurs organise "la mort" certaine de notre peuple qu'ils n'ont jamais aimé. Et au-delà de cette opération volontaire, de ces gens qui n'aiment que l'argent du congo et pas les congolais, encore moins le congo, c'est l'ensemble de nos filières économiques et donc de notre souveraineté qui est lourdement pénalisé par ce choix, et nous le vivons tous les jours, surtout les Vendredis, et tous les matins avec les prières de 5h dans les Minarets des mosquées dans nos villes.

En bradant des pans entiers de notre économie aux étrangers, ces personnes n'hésite pas à prendre le risque de fragiliser des générations entières sans sourciller. Pire, ils vont plus loin en se partageons les filières, sans talents aucun, avec ces mêmes étrangers, créant ainsi les conditions de non-concurrence.

L'Institut Génération Tangible se révolte contre ces assassinats économiques et industriels programmés du pays. Nous exigeons du gouvernement une politique digne, même si le temps joue contre eux.

Enfin, en pillant sans vergogne les ressources économiques du pays, en organisant la fuite des capitaux avec la complicité de ces mêmes "autorités" congolaises avec lesquelles ces étrangers sont en complicités (les scandales et casseroles en témoignent), ces gens mettent en péril la rénovation, le renouvellement et l'essor de notre économie en ce 21è siècle très mondialisé qui exige innovation, créativité, esprit entrepreneurial, fragilisant ainsi tout le pays. Là encore, la logique est la même. Détruire, laminer le pays, son peuple, son économie, alors même que le pays est insolemment riche en ressources et en matière grise, formés à l'étranger, car surplace, le doute sur les compétences et le professionnalisme est fortement de mise. Cauchemar pour les uns, espoir pour les autres: les notions de tribalismes traditionnelles sont définitivement fracassées et le pouvoir, demain au Congo-Brazzaville, ne se gagnera que sur deux axes incontournables : l'économie et l'identité.

Il faut appeler un chat un chat ! C'est notre responsabilité de Leaders politiques des "Nouveaux Constructeurs du Congo-Brazzaville" que de demander à ce régime d'être cohérent et de savoir quitter les choses avant que cela n'arrive de force. Nous voulons alerter l'opinion congolaise sur l'absence de réflexion et de garanties à long terme qui pose des questions sur les choix des politiques de ce régime. Des politiques qui ne sont pas sans conséquence sur l'avenir des filières industrielles, tertiaires et de leurs emplois.

Sortez dans les rues pour manifester et pousser au départ ce régime en 2016.

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