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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

Que Vive l'Espoir en chaque Congolaise et Congolais

31 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Notre pays le Congo-Brazzaville a toutes ses chances, pour peu que son peuple reprenne confiance en lui.

A notre sens, trois de ces enseignements doivent être mis en lumière pour réveiller cette espoir.

Le premier d’entre eux, c’est que le Congolais doit changer pour lui-même d'abord. Je ne le répéterai jamais assez : notre salut ne viendra ni des Occidentaux ni de l'Union Africaine. Pourquoi ? D’abord, parce que les défis que nous devons relever et les freins qui entravent notre mobilisation à chasser le clan Sassou-Nguesso et tout le système au pouvoir ne proviennent pas de l’étranger, mais sont bien dans notre pays. L’un de ces problèmes, c’est le manque de self-confidence , c’est-à-dire de confiance en nous-mêmes, entre-nous. C'est la raisons pour laquelle sassou-ngueso dénis et son système sont tjrs là à la tête de ce pays! Le peuple Burkinabé ns fait une fois de plus la démonstration, après celui du Bénin, que ce sont des peuples mûrs, formés, indignés et qui savent se serrer les coudes pour l’intérêt général, le verrons-ns un jour au Congo??? Pourtant, le pays ne regorge que de talents, de compétences et des énergies nécessaires à sa transformation, qui ne demande qu'à être utiliser en bonne intelligence. D'aucuns ont appelés au "Lisanga", au "dialogue", ils se rendent compte à présent, du haut de leurs inepties d'appels au dialogue, que ce pouvoir ne dialogue avec personne, ils ns rejoignent bien tardivement ds la résistance des constructeurs du nouveau congo, il était temps. Ce pays a besoin de vitalité, de volontarisme, de bon sens, de bonne intelligence, et d'esprit d'initiative. Pour les égos, que chacun fassent ses preuves, pas que ds son quartier, pas que ds son cercle d'amies, mais bien au-delà. Ayant confiance ds notre capacité, ayant confiance dans le Congo-Brazzaville. Changer pour nous-mêmes, cela signifie également moderniser notre pays dans l’intérêt de tous. Non pas changer pour changer mais, partout où cela est possible, pour recréer des droits, des opportunités réelles pour ceux qui n’ont pas ou plus accès à l’activité, au logement, à la santé, à un emploi pérenne, de qualité avec de bonnes rémunérations décentes, à une existence stable et heureuse. Non au déterminisme social! Changer, c’est donc prendre en main notre destin et aller par-delà les résistances, c’est-à-dire par-delà les corporatismes et les particularismes. Ne visons qu’un seul objectif : l’intérêt général du Congo et des Congolais.

Le deuxième enseignement, c’est que la réalité doit être la matrice de l’action publique ds le nouveau congo auquel ns aspirons tous d'ici à 2016. La seule approche qui vaille, c’est celle du pragmatisme : elle est notre rempart et notre garde-fou contre les préjugés, contre les sectarismes, contre l’enfermement, contre le tribalisme et la corruption. Elle représente l’unique moyen de dépasser les tribalismes qui sont trop souvent un carcan et trop rarement une source d’émancipation réelle. Par manque de courage et de discernement, les responsables politiques congolais de l'ère communo-socialistes ont passé plus de 40 ans à reporter les transformations nécessaires pour enrayer le décrochage silencieux qui s’était engagé ds notre industrie, notre économie, nos politiques. Aujourd’hui, nous n’avons pas d’autres choix que d’assumer le réel que va nous laisser cette génération puérile. L’inverse reviendrait à sombrer les yeux fermés. D'ailleurs, compatriotes congolais, fuyez toutes les personnes se revendiquant du socialisme! Car ils st dépasser et prompt à discourir sur des thèses fumeuses, sans jamais de prises réelles sur et ds la vie des gens, encore moins d'un pays ! Point de départ, la réalité doit être aussi notre ligne d’arrivée : une loi, un décret ou une décision n’ont de sens que s’ils transforment concrètement le quotidien des Congolais, que s’ils deviennent tangibles pour nos concitoyens, tant au niveau local que National. Assumer le réel, c’est donc accepter notre société telle qu’elle est, afin de la changer en profondeur !

Enfin, le troisième enseignement, c’est qu’il est urgent de redonner le goût et la passion du Congo à nos concitoyens. La réduction des inégalités, la justice sociale, la prospérité pour tous les congolais, le refus du déterminisme sociale doivent-être budgétaires notre boussole ds l'action publique et politique qui est la nôtre aujourd'hui. Faire en sorte que les congolais de demain, vivent mieux que ns aujourd’hui"hui. Mais ils ne constituent pas, à eux seuls, un projet pour l’avenir. Former les populations, les éduquer, les soignés, les mettre au travail, les rendre créatif, innovant, ingénieux,imaginatif, pour l'essor du congo et dc de l'amélioration substantielle de leurs propres bien-être. Depuis plus de 37 ans, sassou-nguesso dénis est en échec pour les Congolais. C’est la raison pour laquelle il est aujourd’hui impératif de renouer avec un Congo des projets. Projet politique, projets social et culturel, projets visibles et concrets qui améliorent la vie des Congolais, du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, en passant par le Centre : c’est le sens du « Projet GT - Génération Tangible- » que j’appelle de mes vœux.

Les jeunes congolais aussi espèrent et attendent beaucoup de leurs dirigeants, dc de nous : nous ne voulons pas être de ceux qui les décevront.

AU TRAVAIL!

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Toutes les tyrannies sont à combattre

22 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Contrairement à ce qu’affirme le dicton, le ridicule tue – autant que la bêtise. Simplement, ce sont les autres qui en meurent. La preuve par la non-politique des gouvernements successifs de Monsieur Dénis Sassou-Nguesso. Le dégât qu'a subi notre pays en détruisons son appareil de production et son secteur tertiaire est grave, depuis le retour de Dénis Sassou-Nguesso en 1997. Nous devons être l'un des derniers pays de la sous-région qui n'enseigne pas l'économie à l'école, au lycée. Nous regrettant aussi qu'on n'"ait plus le temps de s'informer sur les choses compliquées dans le pays, idem dans ses multiples diasporas. Les gouvernants s'interdisent pratiquement de faire des choses à trop long effet et de qualités, non seulement pour leurs mérites, mais surtout, pour le bien commun. Terrifiant ! Nous sommes, à la Génération Tangible (G.T) très inquiet pour notre magnifique pays.

Dans cette lancée, il veut nous imposer un "poulain" à sa succession, cela serait apocalyptique pour le pays, congolais, congolaises. Et tous ceux qui soutiennent, et tous ceux qui ont des mots qui ne sont pas des mots pour dénoncer cette dictature clanique à la tête du Congo-Brazzaville, méritent le châtiment. Parce que le socle avec lequel Dénis Sassou-Nguesso essaie de gouverner encore le Congo est un socle tellement étroit qu'il empêche une politique sérieuse d'être menée à partir de juillet 2016.

D'autre part, nous tenant à mettre en garde contre "les hommes forts du moments du Congo-Brazzaville" dont le zèle dépasse les limites du raisonnable, tant ils abusent des pouvoirs qui sont les leurs, notamment lorsqu'il s'agit de protéger les congolais, eux, tentent d’intimider, harceler, menacer les congolais, de l'intérieur ou de l'extérieur par des arrestations grotesques et des motifs grotesque aux aéroports, ou dans des expéditions nuitamment. Des colosses aux pieds d'argiles. Même Hitler et ses "SS", ses "SA", finirent par être cloués au piloris, il serait grand en temps de vous rappelez que l'histoire se répète sans cesse. Soit vous, ou votre descendance paieront, tôt ou tard. Nous tenant à dénoncer ces méthodes indignes, le Congo n'est pas la Russie avec sa Gestapo ! Ces méthodes qui déshonorent la justice, la police, la Gendarmerie, les services secrets de l'intérieur ou de l'extérieur.

La tyrannie politique, la tyrannie judiciaire aussi doivent cesser immédiatement à l'encontre des fils et filles de ce pays. Car comment appeler autrement un État dans lequel il serait interdit de lui demander des comptes, ou de le critiquer ? Dans les démocraties murent l'on dit que l'homme politique a droit à une certaine exagération, et même une provocation. Qu'est-ce qu'une démocratie dans laquelle cette provocation serait bannie ? Pourquoi serait-elle autorisée pour tout le monde, et pas vis-à-vis des institutions, des politiciens, fussent-ils président, Généraux, etc ? C'est un combat que nous sommes décidé à mener à la Génération Tangible. Toutes les tyrannies sont à combattre au Congo-Brazzaville.

D’ailleurs nous sommes pour la Totale liberté d'expression des Congolais sur tout le monde, sur tous les sujets qui leurs semblent bons. Il y a quelque chose d'étonnant à être dans un pays qui dit "protéger la liberté d'expression" de ses concitoyens, de sa presse, alors même qu'en sous-marins, elle agit autrement. Les congolais, d'où qu'ils soient, ne peuvent être poursuivis, arrêtés, emprisonner, torturer, intimider, interroger, pour avoir exprimé leur opinion sur des membres du gouvernements, sur les institutions, et sur qui que se soient d'autres dans leur pays. Se doit-on, au Congo de Dénis Sassou-Nguesso, Ndéguet, Obara, Mboulou, Yoka, de ne s'exprimer que lorsque l'on est un laudateur de ce pouvoir médiocre ? Qui peut penser que cette position est raisonnable par rapport aux moeurs de notre époque ? Alors même qu' en son sain, les dissension existent et sont connues ! Les congolais dans leur pays n'auraient-ils donc aucun mot à dire sur la façon dont ils sont gouvernés ET SUR LES GOUVERNANTS ET LES INSTITUTIONS ? Le Congo-Brazzaville c'est CHEZ NOUS! Nous avons toutes et tous le DROIT d'exprimer nos indignations, notre indignation à tout moment sur le Congo ( le bien commun) !

L'histoire nous donnera raison. Vous avez le pouvoir, nous, nous avons le temps.

Comment imaginer dans un pays dit "démocratique et Libre" qu'un Général, fusse-t-il directeur de la sûreté du territoire ou de la police, même des ministres oncle du président, ou cousin ou neveu de ce même président, des juges fassent autant de forfait, autant de zèle sans sourciller, à la guise des uns et des autres ? Alors même que les "frères de lumières et autres apparatchiks passent entre les mailles du "filets" ? Comment cela est-il possible ? Comment qualifier cette attitude ? Ils ont transformés le Congo-Brazzaville en Gabon bis, où être "frères et sœurs de lumières ouvrent grand les portes de la richesse et de la promotion rapide et facile, sinon rien ! Vu d'aujourd'hui, cela est très erroné. Nous estimons avoir, dans notre pays le Congo-Brazzaville, un droit imprescriptible à l'indignation Messieurs et Mesdames du pouvoir autocrate de Brazzaville, et pas d'oyo, ollombo, édou, gamboma, et je ne sais quoi d'autre du Nord.

L'intimidation et la menace, sont des limites à la liberté d'expression, vous devrez le savoir. Oui, nous croyons que la justice congolaise, l'institution judiciaire, les services secrets, les les FAC, la police, la Gendarmerie, pour avoir la confiance de ses citoyens, doivent être servie par des magistrats, des policiers, des gendarmes, des hommes de l'ombres du renseignements efficaces, qui, conscients de l'immensité des pouvoirs qui leur sont conférés, les exercent avec retenue et bonne intelligence, mais aussi de bon sens sans JAMAIS insulté l'avenir. Sinon, nous flirtons avec l'abus de pouvoir et les limites de la démocratie, comme nous le voyons et le déplorons, malheureusement, tous les jours au Congo-Brazzaville d'aujourd'hui.

Nous ne saurions bien finir sans prévenir à nouveau toutes celles et ceux qui se sont illégitimement et illégalement enrichis au Congo de Dénis sassou-nguesso, proches ou non, que nous séviront le moment venu, tôt ou tard..que le cas de "Karim Wade" vous parle d'ores et déjà. Les chefs d'accusation sont déjà là, avec vous, connus de tous et de toutes..: « Blanchiment de fraude fiscale », « corruption » et « blanchiment de corruption ». Toutes vos dissimulations, tous vos comptes offshore, tous vos biens dissimulés à travers le monde avec vos multiples sociétés écrans sont connus. Le Congo-Brazzaville n'a pas besoin de profiteurs sans scrupules, il a besoin d'artisans de son redressement ayant un sens aigu de l'intérêt général, afin d'être à la hauteur d'une histoire difficile après l'ère sassou-nguesso. Il n'y a pas de salut individuel dans notre pays, ça n'existe pas en politique. On ira tous ensemble au succès ou à la défaite du Congo du 21è siècle. Car, lorsque l'on est un moderniste-progrésssite comme nous et que l'on croit à l'action publique, on ne peut pas se contenter de dire : il faut plus de moyens et ça marchera naturellement mieux, ce n'est pas vrai...nous le voyons depuis "La Nouvelle Espérance", puis, aujourd'hui avec "Le Chemin d'Avenir" et les "Grands Travaux", ce puits sans fond. Les Grands Travaux de Dénis Sassou-Nguesso et Jean-Jacques Bouya est un budget considérable mais ses résultats en matière d'infrastructures modernes, confortables, opérationnel, fonctionnel et sure sont mauvais. Donc, il ne s'agit pas de mettre plus d'argent dans quelque chose qui ne marche pas comme ça devrait. Il s'agit d'interroger les résultats concrets et de voir comment on améliore le système pour construire le pays et favoriser son essor, pour le bien de tous et toutes, donc de l’ascenseur social. Les Congolais jugeront.

Alors nous dénonçant tous les petits intérêts, les petits gains et tous les gros gains, tandis que le peuple majoritaire et travailleur se meurt dans la misère, la précarité, la pauvreté la plus extrême et le chômage endémique, plus la double peine du tribalisme à tous les étages et des injustices à tout-va.

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Dénis Sassou-Nguesso, son système et son clan, des "rois" NU!

17 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Dénis Sassou-Nguesso, son système et son clan, des "rois" NU!
Congolaises, Congolais, Ils vous faut toujours distinguer, dans les grandes phases de turbulences d'un pays comme celle que traversent aujourd’hui notre pays le Congo-Brazzaville, même dans sa vie personnelle, la part d’écume de la vague de fond. L’écume pr le pays, c’est l’enchaînement d’indicateurs conjoncturels inquiétants – la production industrielle congolaise qui chute, alors même que son tissu semble se reconstruire mais sans plus, les prix qui ne cessent d'exploser partout dans le pays... Ce sont tous ces signaux qui rappellent que plus rien ne va au Congo-Brazzaville – la brutalité et la violence gratuite à l'égard des congolais qui ne pensent pas comme eux, la dette que chaque congolais devra payer à la Chine, à cause de la non connaissance de l'économie des dirigeants actuels, que ns paierons et devront payer après leurs départ… Les congolais ont le sentiment d'avoir été tromper trop haut trop vite par le clan et le système sassou-nguesso et cie, d'où la nécessité aujourd'hui pour préparer l'avenir de tous et toutes, de nouveaux acteurs mue par l'intérêt général et plein de talent , de compétence, de vision, d'une méthode afin de solder leurs positions d'échec totale à la tête du Congo-Brazzaville depuis 37 ans…

Mais tout cela ne saurait masquer la lame de fond qui est à l’œuvre actuellement au Congo-Brazzaville. Ce n’est évidemment pas un hasard si la majorité des mauvaises nouvelles se concentrent aujourd’hui autour des clans et des quelques 500 familles qui se sont toutes enrichies aujourd'hui au congo-brazzaville grâce à Dénis Sassou-Nguesso.

Pis,les Forces Armées Congolaises (FAC) SONT Utilisées à DES FINS PERSONNELLES ET CLANIQUES, jamais l’absence de leadership n’a semblé aussi flagrante dans notre pays. Le président Dénis Sassou-Nguesso, bien qu'étant un "roi nu et fainéant" devrait comprendre, loin des invectives de celles et ceux qui le flatte et lui monte la tête, que le pays et le peuple est face à une grosse tempête, il est désormais évident qu’il ne pourrait à lui seul et tout à la fois faire baisser le chômage, relancer la consommation des ménages congolais ds toutes les strates, éloigner le spectre de la guerre civile et de la haine et la violence gratuite, de la corruption, de la médiocrité, de l'irrespect des lois et du droit. Le Gouvernement est bien en peine de financer le grand plan d’investissements promis depuis les années 2000. Et le pays est à l’arrêt, chacun refusant de faire un pas – qui sur l'ouverture, qui sur l'ouverture aux novelles générations, a bas les vieux – vers l’autre. Si le pouvoir s’obstine à vouloir avancer sans laisser la place aux nouvelles générations de leaders des Constructeurs et non des opposants ni vision, les secousses actuelles qu'ils vivent de partout ne seront sans doute pas les dernières.

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Projet de loi de finances 2015, de la poudre aux yeux des congolais, encore.

8 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

La politique a en abomination les silences, et les comble généralement de conjectures.

Ce mercredi 7 octobre 2014 à 10h c'est tenue le conseil des ministres à Brazzaville présentant le Projet de Loi de Finances (PLF) pour l'exercice 2015 pour le Congo-Brazzaville.

Génération Tangible tient ici à dénoncer la énième supercherie de ces exercices qui ne produisent rien et qui se tiennent, dit-on dans une démocratie, à des intervalles plus que long.

Que nous dit ce PLF 2015 pour le pays, en voici la substance tel que dit dans le compte-rendu du conseil des ministres : "

En effet, la politique du Gouvernement a retenu pour 2015, conformément au Plan National de Développement (PND) 2012-2016 et au document de programmation économique et budgétaire 2015-2017, la poursuite de l’exécution des actions en cours, tout en mettant l’accent sur celles constituées essentiellement par :

- La construction des hôpitaux généraux sur l’étendue du territoire national ;
- Les projets structurant les zones économiques de Maloukou ;
- L’achèvement des équipements et infrastructures relatifs à l’organisation des Jeux Africains de 2015 à Brazzaville ;
- Le projet ''eau pour tous'' ;
- Les projets liés aux municipalisations accélérées des départements de la Sangha et de la Bouenza ;
- La route Dolisie-Brazzaville.

On se rappellera aussi que les années antérieures ont vu l’investissement public s’accroître qualitativement en faveur de la santé, de l’eau, de l’énergie, de l’éducation de base et de la formation professionnelle.
Outre la poursuite des chantiers ouverts dans ces secteurs de grand intérêt public, le budget 2015 donne tout aussi la priorité à l’entreprise ; la très petite, la petite et la moyenne.

Le choix de la promotion de l’esprit d’entreprise et de l’entreprise se justifie par la nécessité de favoriser la diversification des activités économiques et d’accroître la participation du plus grand nombre de citoyens à l’action économique, en vue de réduire la pauvreté par l’emploi et l’augmentation de la richesse nationale.

Il s’agit ni plus ni moins que de l’affirmation de la volonté du gouvernement de créer les conditions d’une croissance inclusive sur le long terme, débouchant sur l’amélioration des conditions de vie des Congolais.

Tous ces domaines d’intérêt, combinés à la préoccupation permanente relative au développement des infrastructures, forment le socle des progrès économiques et sociaux du pays, acquis indispensables à la réalisation de l’ambition d’émergence du pays à l’horizon 2025."

Une fois de plus, les esprits avertit sur la chose publique au Congo-Brazzaville peut se rendre compte en lisant et en confrontant ce que dit ce PLF à ce qui se fait surplace actuellement au Congo, et même depuis 1997, que c'est une supercherie sans nom, de la vraie vraie poudre aux yeux encore et toujours aux congolais!

Parce que, pas plus que cela ne fût réalisée dans les années antérieures qu'en 2015, rien de tout ce qui est dit là qui ne se produira.

La plupart des éléments évoqués, mis dans ce plan sont virtuelles. Qui peut croire un instant que ces promesses tant assénées à chaque PLF depuis qu'ils sont là, et jamais réalisées, vont être réalisées en 2015 ?

Et pour finir d'achever les congolais avec sa croissance de paille, voici la suite qui montre, s'il le fallait encore, que décidément, ce pays est vraiment géré telle une épicerie!

"En conséquence, pour l’exercice 2015, le budget de l’Etat a été arrêté en recettes à la somme de trois mille six cent trente-neuf milliards huit cent trente-quatre millions (3 639 834 000 000) de francs CFA et en dépenses à la somme de trois mille quatre cent quarante-trois milliards trente millions (3 453 030 000 000) de francs CFA.

Ce budget devrait dégager un excédent budgétaire prévisionnel de l’ordre de cent quatre-vingt-six milliards huit cent quatre millions (186 804 000 000) de francs CFA.

Le budget de l’Etat comporte aussi des dispositions fiscales. Les principales modifications fiscales et parafiscales sont les suivantes :

1- En 2015, les très petites entreprises n’auront d’impôts que la seule contribution de la patente, perçue au profit des collectivités locales ;

2- Sont exonérés de l’impôt, tous les revenus provenant de l’exploitation agricole, agropastorale, piscicole et de la pêche continentale ;

3- Les pensions alimentaires versées aux ascendants et descendants sont désormais déductibles du revenu global imposable ;

4- Pour la période allant du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2016, les droits d’immatriculation et de transcription des propriétés foncières seront forfaitaires et fixés par zone ainsi qu’il suit :

Zone n°1 (centre-ville des communes)…………1.000.000FCFA ;

Zone n°2 (arrondissement des communes et chefs-lieux des départements)……………………………….……..

.500.000FCFA ;

Zone n°3 (Chefs-lieux de districts et autres localités) ………………………………………………………..250.000FCFA

En clair, le titre foncier coûtera désormais 1.000.000FCFA pour une propriété au centre-ville, 500.000FCFA pour une parcelle de terrain dans les arrondissements et 250.000FCFA dans les districts.

5- Au-delà de 2016, les droits d’enregistrement relatifs à l’adjudication, la vente, la revente, la cession, la rétrocession, de biens immeubles seront de 7% de leur valeur au lieu de 15%, comme c’est le cas aujourd’hui ;

6- La taxe d’occupation des locaux, qui avait remplacé en 2014 la taxe d’habitation, de ramassage des ordures, sera recouvrée à partir de 2015 par retenue à la source sur salaire auprès des employeurs, pour des personnes physiques salariées, à raison de 1000FCFA par mois. Cette taxe est versée aux collectivités locales.


Les dispositions nouvelles introduites sont constituées essentiellement par:

1- L’institution d’un impôt forfaitaire sur les antennes ou pylônes des sociétés de télécommunication ;

2- L’institution d’un mode de gestion de l’entrepôt fiscal de stockage ;

3- L’intégration des principes généraux de liquidation et de recouvrement des amendes de la circulation routière, de la police administrative, des amendes pour des infractions dans l’exercice du commerce,..."

L'absence de politique clair et cohérente de ce gouvernement et de ce président depuis 18 ans, fait du Congo-Brazzaville un pays mal géré : en l'espace de 18 ans, toute notre industrie a été laminé, le secteur tertiaire et agricole abandonnés, une fausse gentrification voit le jour, l'entre-sois est devenu la règle, la médiocratie ériger en processus de recrutement, l'éducation et la formation des laisser pour compte, les salariés sont repoussés aux abords des grandes villes, car les prix des loyers, du fonciers ont explosés parce que les "nouveaux riches congolais" ont accaparés tous les centre-villes au prix fort! Nous avons vu émergés une caste de familles riches, dont la richesse n'est basé que sur le pillage, le vol, grâce à l'homme fort à qui ils et elles, doivent tout ça.


L'amateurisme le dispute à l'incohérence : le chômage endémique les laisses pantois, car ils ne savent pas créer le plein emplois pour 4 millions de gens. L'économie réelle, il n'y connaisse rien.

Dénis Sassou-Nguesso est à présent seul, un roi nu, un roi fainéant. Lâché par l'opinion Congolaise, par ses «ex» (ministres, conseiller) et par une partie de sa majorité, le chef de l'État doit aujourd'hui se résoudre à sortir par la "petite porte" en 2016.

On a perdu du temps avec des broutilles de l'ère Sassou-Nguesso depuis 1997.

On ne va pas à l'essentiel avec ce régime!

On s'égare parce qu'on refuse de s'en prendre au seul adversaire qui vaille : la médiocrité, et aux scandaleuses inégalités qu'elle crée parmi les congolais. C'est contre cette injustice odieuse qu'il faut porter le fer. Nulle part ailleurs. Dans quel monde vit-on, dans quel Congo pour que des controverses normales sur le plan intellectuel suscitent un émoi dans les soutiens du camp d'en face, comme on si on venait de découvrir que la contradiction existe, que le langage est capable de brutalité et l'esprit de vérité ? Et qu'aucun pays, aucune société n'est condamnée à la fatalité de la médiocrité à cause de la grisaille insipide et bienséante de la plupart de ses concitoyens, dirigeants ou pas ?

Eux pensent que toute différence est une injustice, nous, nous pensons que c’est une richesse pour le Congo et les Congolais.

Nous le voyons une fois de plus, comment ils abiment le pays avec le statut quo, l'immobilisme, tout dans la communication. Il faut maintenant préparer l'avenir avec comme priorités l'amélioration de la vie des Congolais, le combat du mérite, de l'effort, les avancées économiques et sociales pour nos populations, dès le départ de sassou en 2016. A Génération Tangible, nous voulons vous proposer un chemin extraordinaire où chacun aura un avenir et décidera de sa vie au Congo.

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Que Dieu aide le Congo !

3 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Si on avait besoin de plus de preuves d'un pays en déclin, les voilà. Yoka émmanuel, Zéphirin Boulou, JDO, Obara Philippe, J - F Ndenguet, pr ne citer que ceux-là "dits du Noyau Dur" qui encourage sassou à la politique de la Terre brulée coute que coute au Congo. Voila une infime minorité qui pour préserver des acquis illicites, des fortunes faites de pillages, sont prêts à mettre le Congo à feu et à sang.

Nous faisons le sermon, que non seulement, les enfants Sassou-Nguesso et autres descendants paieront les forfaits de leurs ainés, mais eux-aussi et toutes les descendances paieront de génération en génération leurs forfaits.

Compatriotes congolais, rien n'est encore terminer pour le Congo et les Congolais.

Bien qu’aujourd’hui le pays soit sclérosée, désespérée et pessimiste parce que rien ne fonctionne et personne ne s’en soucie au niveau de celles et ceux qui on en la charge.

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