Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K
Articles récents
Lire la suite

MOV035

17 Novembre 2012 , Rédigé par Foryblan Bakoula

Lire la suite

Le PCT aux abois reste prisonnier de ses dogmes

17 Novembre 2012 , Rédigé par Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Relation sociale

Napoléon disait : "Le vrai caractère perce presque toujours dans les grandes circonstances". En l’occurrence, les politiques mises en oeuvre depuis 1997 avec leur retour aux affaires sont néanmoins en dessous de tout! Ils manquent de courages, d'ouvertures d'esprits pour aborder de fronts les problèmes du pays,auxquels les congolais font face au quotidien comme l'immigration, la corruption, la vie chère, l'insécurité, le chômage de masse, les anti-valeurs, l'injustice, la non-redistribution, l'islam, les églises de réveilles, la ruralité, les impôts, l'abus d'autorités et l'excès de zèle des fonctionnaires, l'insalubrité, la santé.

Le PCT et ses alliés (MCDDI,RDPS,MAR,MC,etc) sèment la zizanie : un comble pour ceux qui disent apporter l’apaisement au Congo et aux congolais, voila maintenant 28 ans de règnes. Le procès en sectarisme qu’instruit contre eux les congolais et l'opposition dit bien ce qu’est devenu ce parti, qui a décroché de l’air du temps. Sur les questions sociétales, économiques, fiscales, le PCT et ses alliés s’adresse d’abord à lui-même. Son nombrilisme lui fait considérer le monde extérieur comme inexistant, dangereux. La critique lui est insupportable. Son récent congrès en fanfare au parlement, 4 jours pour...RIEN! Ah oui, nous dire que le fils de Sassou entre au bureau politique, et que rien ne change..ah oui, ils adoptent la social-démocratie..une vaste blague. La référence à la social-démocratie (leur nouvelle idéologie, d'après eux et les incrédule) est le poncif agité par ce parti aux abois, contrainte d’imposer ses vues à coups de menton. La société civile se laissera-t-elle intimider ? Peu probable. Le PCT et ses alliés vont à rebours des aspirations des gens. Il refuse, dans une orgueilleuse fuite en avant, les remises en cause qui signeraient la faillibilité de ses dogmes. La social-démocratie sombre, mais le ministre de l’économie, Ondongo, croit voir "une dynamique progressiste". Ngolo, le patron du parti, reconnaît que "l'exaspération de la société congolaise est un phénomène très profond", mais il presse son parti de se lancer dans une "reconquête idéologique" consistant à matraquer les esprits (recrutement farfelues, à coup de millions, de dons tous azimuts, intimidation au club 2002, au CADDMJ). C’est ce militantisme brutal que veulent imposer les ultras, en réintroduisant le droit de flicage, la torture, l'armée toute puissante dont les chefs sont tous membres du parti pour mieux protéger le pouvoir, comme autrefois, Ben Ali en Tunisie, Moubarak en Egypte, Kadhafi en Lybie. Ce despotisme méprise le peuple.

Six mois de prêches déversés sur une société incrédule sont en train de mettre le pays en ébullition.

Lire la suite

Le monde politique congolais n'est pas à la hauteur

17 Novembre 2012 , Rédigé par Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Relation sociale

Le monde politique congolais n'est pas à la hauteur. Mais, le premier d'entre-eux a dit récemment : "les ministres, c'est le président qui les nommes". Donc, s'ils sont là, et ceux, malgré les incompétences éprouvés, il en est pleinement responsable. Donc acte.

Le monde politique congolais, qui a à gérer en urgence une société en crise, plongéons dans un chômage inomable, régresse dans l’infantilisation et l’irresponsabilité. Les dirigéants au pouvoir donnent le spectacle navrant d'un pouvoir qui se baladent à travers le monde avec des effets de manches pour seule politique. La tension devient si vive dans le Congo qu'ils ne fréquentent pas, et qu'ils dirigent de haut, de loin, qu'une rupture est à craindre dans le pays.

A l'opposition, les ressentiments du FPOC, l'UPADS, ce mort-vivant se donne en spectacle, utilisé par le pouvoir pour diviser ce qu'il reste de ce cadavre, qui en sont à se bouffer le nez publiquement. La diaspora elle, c'est presque anecdotique, car c'est la portion congrue de l'échiquier en comparaison de l’illisibilité de leur inaction, carpréférant vociférer en occident, loin du terrain. Ce qui conforte l'illisibilité de la politique suivie par Denis Sassou-Nguesso (car le chemin d'avenir n'est plus qu'un slogan parmis d'autres) et son gouvernement, alors même que le pays se réendette a grande vitesse auprès des pays du BRIC.

Le président Sassou-Nguesso se comporte comme Louis XVI autrefois en France, incapable de bousculer le statu quo et d’imposer à l’Etat une cure de désendettement pour éviter la banqueroute. Mais il sait pertinemment que sa déscendance n'est pas prète et n'en as pas les capacités, pour diriger le Congo, et ceux, même s'il s'active à leurs mettre le pied à l'etrier, ou à préparer le terrain par l'armée et le PCT. Car ceux-ci sont des fêtards, des jouisseurs et rien d'autre. Aucun leaderchip naturel, tout s'acquièrent à coup de millions de dédicaces, de chants, et pas par leurs travails, leurs mérites, car il a toujours oeuvrés pour qu'ils soient ce qu'ils sont aujourd'hui.

Il est peu probable d’attendre du chef de l’Etat qu’il se décide soudainement de se mettre à la hauteur des enjeux.

L'octroi tous azimuts des permis d'exploitations dans les mines, ne permettra évidemment pas à réindustrialiser notre pays, et sortir le Congo de son déclin économique.

Le diagnosticest clair : Au vu des tendances, le développement du Congo cause de plus en plus de souci. Le problème est sérieux, car le Congo n’a rien entrepris pour vraiment rétablir sa compétitivité, favoriser son éssor économique afin de résorber son chômage de masse et elle est même en train d’aller dans la direction opposée, et ceux, depusi 27 ans maintenant!

Le Congo a besoin de réformes du marché du travail, c’est le pays qui travaille le moins dans la zone CEMAC! Avec une puissante absence de réforme structurelles, et rien pour soutenir, favoriser l'entrepreunariat.

En fait, la question qui est posée, par les congolais de tous bords politiques, peu importe l'ethnie, la tribu, la région, est celle de la qualité du personnel politique, à ce moment crucial de notre histoire. Je crois le peuple lui-même plus réaliste et courageux que ses représentants. Ceux-là ne sont pas loin, parfois, de me faire honte.

Lire la suite
Lire la suite
Lire la suite
Lire la suite
Lire la suite

La légèreté congolaise (de tous les côtés) qui plombe l'avenir de la nation!

17 Novembre 2012 , Rédigé par Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission Emploi, Travail, Relation sociale

La légèreté des congolais, surtout des dirigéants congolais, n’a plus aucun charme.

Elle accélère le déclin de la nation congolaise et déses père le peuple oublié, qui veut que ça chage pour tout le monde, pas seulement pour certains. Jamais les périls n’ont été si proches, à commencer par la perspective du décrochage économique (en dépit des octroi des autorisations dans les Mines-Explorations tous azimuts). Nous craignons davantage pour les lendemains du pays, vu l'état de frivolité des dirigéants, des ministres, des députés, des maires, des directeurs généraux. Ces cigales du pétrole, du bois et des immenses ressources naturelles dont regorges nos sols, ne veulent pas devenir fourmis pour prévoir l'avenir autrement. Absence de rigueur. Les dirigéants congolais, et aussi une bonne partie du peuple insouciant ignore le mot. La situation est grave. Denis Sassou-Nguesso l'a reconnue lui même dans son message du 31/12 dernier. Et à tous les niveaux ils le reconnaissent, mais l'insouciance, mêlés à l'incompétence, mais aussi le refus de s'ouvrir aux autres pour se voir prooser des solutions, nous mènent tout droit vers l'abîme, et ceux, malgré les atouts formidables dont regorges le pays..Un vrai crime! Ce déni est puéril!

La politique par tatonnements, par balbutiements est dépassée! Le temps presse.L’insouciance du monde politique le discrédite. Sa superficialité n’est plus cette politesse de l’esprit qui dissimulait jadis des profondeurs. La politique de l'autruche et des trois singes, érigée en exemple par le chef de l’État, conforte les discours aseptisés et creux, déjà anesthésiés par la pensée convenable. Le résultat ? Ils s’observent dans le hiatus d’une société civile exaspérée tandis que ses représentants bavardent sur l’accessoire et s'enrichississent sans vergogne.

Aux nouveaux Lyssenko qui assurent que l’islam au Congo et son cortège de dégâts (prières dans les rues, insalubrité partout où ils sont, etc), l’immigration ou la corruption et le tribalisme ne sont pas des préoccupations pour les Congolais des remontées de terrain des congolais exaspérés rappelle que "l’islam progresse trop au Congo", tandis que d'autres jugent qu’il y a "trop d’immigrés" dans nos villes, dans notre pays et surtout, ils sont irrespectueux de nos modes de vies, de notre culture et que d'autres pensent qu’il y a "trop de tribalisme et de corruption" et d’abus sexuel, que l'on achète le travail au Congo, on achète les notes dans les Facs, les lycées, les examens, dans les hôpitaux, il se pratique une santé à deux vitesses qui lèsent les malades, les plus pauvres surtout, le harcèlement sexuel est un sport national dans les entreprises. La nomination des maires les rends non responsables de leurs bilans souvent médiocres. Il faut y mettre un terme! L'absence de décentralisation, car les grands travaux captent tout l'argent du pays et empêche l'initiative des villes! La liberté de la presse est baffouée. L'armée fait ce qu'il veut, quand il veut, c'est pas tenable dans une VRAIE démocratie! Sassou-Nguésso n’en souffle mot de ces sujets. Serait-il sourd, et la presse partisane avec lui ?

Le gouvernement ignore les problèmes contrariants.

Lire la suite
Lire la suite
<< < 10 20 30 31 > >>