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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K
Articles récents

Dénis Sassou-Nguesso, le président "Tout Va Bien"

12 Août 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Pour Dénis Sassou-Nguesso et son entourage, son système, tout va très bien au Congo, le Congo-Brazzaville est un pays beau pays, la croissance est là les crises profonde de la société congolaise s'estompent. Amusant, non?

Ce président de la république a le don et la faculté de faire des phrases creuses. On en retient rien parce qu' il n'y a rien à retenir. Il récite, lit du texte rédiger par ses conseillers, ses enfants, débites des chiffres, des plans, des projets dont il n'a même pas le suivi, encore moins la maîtrise dans l'avancement. Il ne peut d'ailleurs pas l'étayer. Du vent et un air bonhomme. Tout va très bien dans leurs monde. Il est un président Tout Va Bien. Et le pire, c'est qu'il ne le fait pas exprès. Ses stratèges lui disent : on ne dit rien, on tient la longueur, on ne prend aucun risque. Dans cette pseudo stratégie mortifère c'est le Congo qui est perdant.

A aucun moment lors de son interview, ce dernier n'a eu la lucidité et l’honnêteté de dire sa position profonde, l'état réel du pays dont il n'arrive pas à gérer et favoriser l'essor sur tous les plans.

Son discours de ce12 Août 2014 devant le parlement est en tous points a-hu-ri-ssant! Alors que le consensus sur l'état réel et calamiteux du pays est enfin général, sur le fait qu'il doit avouer son échec et son amateurisme depuis trente cinq ans à la tête de ce pays, et alors que les congolais attendaient qu'ils disent enfin sa vérité sur sa vraie position pour son départ, lui et les siens en 2016, alors que le pays se meurt de son chômage endémique, de la corruption, de l'absence d’effort, de imméritée, du tribalisme, de réelle vision, stratégie et méthode pour favoriser son essor, le président, lui n'a comme réponse au désarroi de ce peuple, que des slogans, des promesses, de la récitation de texte, de chiffres creux! Mais qui conseille ce monsieur!? Lis t-il la presse, écoute il les avis divergents qui mettent les pieds dans le plats?! Même s'ils fâchent?!

A la fin de ce cinéma médiocre, devant un parlements de vassales, des potiches, tout comme le sont toutes les institutiosn du Congo actuellement, méthode Coué. Tout Va Bien, encore, il ne s'est en fait rien passé. Nous en sommes toutes et tous si-dé-ré!

Le président nous a rappelés que Tout Va Bien au Congo, dans Son Congo, dans Leurs Congo, il fait bon, l'air est doux, les fleurs bien en place, les tapis bien propres, le trésor paie sans compter ni regarder. On croyait que notre pays prenait l'eau, mais non! Le président l'a dit! Tout va aller mieux très bientôt. Ah bon, il l'avait déjà dit l'année dernière ? Alors, c'est que cela ne devrait plus tarder. Étrange présidence en apesanteur. Car les congolais regardant le discours, ou lisons le discours, attendent qu'il se passe quelque chose, mais il ne se passe rien, il ne s'est rien passé.

Que l'on ne s'y trompe pas. Cette apparence de lévitation ne cache pas une maîtrise des évènements telle qu'il ne serait pas nécessaire de faire comprendre qu'on a la situation en main : cette apparence de lévitation cache une lévitation. Les politiciens des Lumières disaient autrefois : "Il faut toujours se méfier de la première impression...car c'est la bonne". Il suffit de voir comment son traités les congolais qui n’appartiennent pas à la caste, à l abonne ethnie, à la bonne région, au bons départements, pour comprendre que ce n'est pas sous ce gouvernement, encore moins sous ce pouvoir, père, fils, oncle, fille, neveu, cousins, qu'on réformera le Congo, ni favoriser son essor, sauf le leurs. La novlangue, ou langue de vois sassouiste, nguessoiste tourne à plein régime, orchestré par la fille et autres dans la coulisse pour façonner du creux, de la vacuité. Les usines à gaz, les éléphants blancs jonchent ce pouvoir, ce régime. Ils sabotent tout ce qu'ils prétendent construire! De vrais pompiers-pyromanes. Ils conduisent le pays de plus en plus vers la dérive vers les côte rocheuses de la faillite.

Le président Dénis Sassou-Nguesso a ce côté très déprimant des gens qui sourient quand tout va mal, alors qu'ils savent que tout va mal et qu'ils en sont pour partie responsables, des gens qui sont contents de n'avoir aucun goût, de vivre en dehors de tout art, de toute transcendance, de toute création, ou de toute altitude, qui se contentent d'une bonhomie basée sur rien, une bonhomie autosuffisante, nourrie par elle-même, masquant une ambition et une dureté sèche, inutiles et égoïstes. Derrière ses grands airs et ses petits sourire, le chef de l'état ne croit pas un seul mot de ce qu'il raconte, il ne pourrait d'ailleurs pas l'expliquer ni le défendre en débat de tête-à-tête, il se moque absolument des concepts qu'il brandit pour manipuler les âmes faibles, affamés, avide de réussite facile, d'argent facile, il veut se maintenir là, parce que craignant sa fin, et les autres aussi, craignant la fin. Alors même si c'est pour présider une république à terre, ils veulent couler le pays. Mais peine perdue.

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L'HEURE EST GRAVE AU CONGO-BRAZZAVILLE. CONGOLAIS REVEILLEZ-VOUS! MOBILISEZ-VOUS PARTOUT!

2 Août 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

La messe est dite à présent! Dénis Sassou-Nguesso s'est prononcé lui même depuis New-York sur RFI sur sa volonté de modifier la constitution par référendum! Un comble! Les masques sont tombés à présent après moult tergiversations! Les utopiques vont devoir se réveiller, car l'heure est grave dans ce pays qui risque, de revivre ses heures sombres de 1997.

S'opposer vigoureusement à ce personnage et son système! Car personne ne pourra plus dire qu'il ne savait pas!

Au-delà de la critique, nous devons passer aux actes! Car le pays va dans le chaos économique, social avec de puissantes tensions civiles! L'heure n'est plus à jour avec le feu, car en face, ils sont décidés à ne rien lâcher sauf par la force et/ou la contrainte grâce à la mobilisation de tous et toutes!

En deux décennies, ces gens n'ont rien apportés aux congolais et au Congo! La constitution, en l'état doit demeurer et gérer par ordonnance, puis dissolution du parlement et remises à plat des institutions pour un régime parlementaire. Donc, en l'état, monsieur Sassou-NGuesso doit partir en juillet 2016, sans négociatosn aucunes, sans chantages aucuns!

Que n'ont-ils pas si bien fait qui nécessiterait cinquante ou soixante ans de pouvoir à la tête du Congo?!

Nous n'en voulons plus, car l'heure est à la remise des copies! Des bilans et des comptes-rendu des années de pouvoir et d’impunités, de passes-doits, de clientélisme, de corruption, de laisser-aller, d'enrichissement personnels tous azimuts sans sourciller, sans scrupules!

Ils nous parlent de paix! Un pays n'a pas besoin d"'hommes forts pour sa tranquillité! Il suffit de respecter les droits humains des personnes, de la liberté économique, de la liberté de la presse, de la sécurité entière du territoire, des biens et des personnes, des emplois pérennes et de qualités, de l'éducation et de la santé pour tous, et la paix tant souvent décrété dans ce pays, s'installera seule et de manière sereine et confortable, annihilant de fait toutes les anti-valeurs nées sous ce règne abominable et qui nous a tant fait perdre de temps.

Ma rigueur intellectuel exige d'appeler à la mobilisation des congolais partout dans le monde car nous sommes à un tournant pour notre pays, nos populations!

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Le Think tank Génération Tangible donne envie de croire en la politique au Congo

26 Mai 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Participer et lire nos travaux c’est goûté la fougue des leaders congolais de la nouvelle génération trentenaire. Le courage et les idées associés à notre vision pour la jeunesse congolaise redonne envie de croire de nouveau en la politique au Congo.

L’audace et un temps d’avance toujours sur nos adversaires. C'est notre tempérament de le faire, c'est une de nos qualités. Nous savons aussi que le pire risque aujourd’hui consiste à ne pas prendre de risques, et porter le débat sur nos idées. Nous aimons descendre dans une arène moribonde où des troisièmes couteaux et un clan plus poissonnarde que jamais ont échangé des arguments soit inaudibles, soit démagogiques au dernier degré. On a connu bataille plus engageante. Que de vouloir nous rabaisser à des faux-débat sur la constitution.

Quelle que soit l'opinion que chacun se fait de la politique au Congo-Brazzaville, on ne peut que constater que les membres du Think tank Génération Tangible font preuve d'audace et, que l'on partage ou non notre vision des choses, que nous parvenons à intéresser, à faire émerger des propositions nouvelles, fortes et à donner une direction.

Le think tank Génération Tangible a raison d'insister sur le caractère vital d’une vision d’avenir pour les populations congolaises elles-mêmes : à l'heure des grands empires, c'est à l'échelle du continent qu'il faut se placer pour combattre dans la grande guerre économique mondialisée qui sévit depuis une cinquantaine d'années. Il faut expliquer à nos populations l’intérêt, mais aussi l’impact de la « Globalisation ». Les sassou-nguesso et autres pcétistes sont en train de détruire notre pays à coups d'overdose tribale, de médiocratie, clientélisme et une immigration non voulue à outrance. Nous vivons un délire tribaliste qui pourrait être bien dangereux, si celui-ci ne s’arrête pas d’ici 2016, le tout comme ils le veulent, en passant au tout-administratif dont rêvent bien des hiérarques du PCT. Il est temps de remettre de la démocratie au Congo.

Quand Génération Tangible défend une vision pragmatique de la politique d'immigration qu'il faudrait adopter au Congo, loin des agitations du moment avec la RDC, quand Génération Tangible évoque sans fard l’absence de stratégie industrielle et de stratégie et vision économique du pays, quand Génération Tangible fait allusion à ces vaux-rien de conseillers, ministres, professeurs en estimant qu'ils sont nos plus gros escrocs ‘intellectuels’ et quand, ce faisant, nous n'hésitons pas à invoquer l'identité de notre peuple qui est menacée, Génération Tangible parle vrai. Contrairement à bien des responsables politiques qui craignent d'aborder certains sujets de peur de faire l'objet de l'opprobre du clan, nous, nous ne nous défaussons pas, ne nous embarrassons pas de périphrases ni de langue de bois. C'est notre principale différence avec les autres.

Le Think tank Génération Tangible a plus qu’un mérite, c'est qu'il donne envie de croire en la politique au Congo-Brazzaville, en l'action publique nouvelle. Non, la mondialisation n'a pas anéanti toute possibilité de changer la vie des gens par l'action politique au Congo- il faut simplement le faire sans idéologie ni hypocrisie, à notre avis.

Ce qui est certain, c'est que le peuple congolais est un peuple désenchanté, exsangue et fatigué, au bord du renoncement. Nous vivons le déclin de notre pays depuis trente ans avec le retour de sassou-nguesso aux affaires par le coup d’état de 1997. Les nouveaux tauliers sont asiatiques et nous sommes déjà à bien des égards à leur service. Dans les siècles qui nous ont précédés, des peuples ont perdu leur génie et des civilisations se sont effondrées. Les cartes ont été rebattues, le pouvoir redistribué. Il semble que ce soit notre tour. Faut-il tout de même être optimiste ? Faut-il espérer encore que nous pourrons enrayer ce phénomène qui semble appartenir simplement à l'ordre des choses ? Le peuple congolais porte l'un des héritages culturels les plus riches de la sous-région. Le Congo de Fulbert Youlou, Massambat Débat, Yhombi, c'était le pays de la beauté, le pays de l'architecture, des lettres, de la grande musique et de la peinture. Sous réserve de parvenir à transmettre cet héritage, le Congo peut-il se régénérer par sa jeunesse ? Nous voulons le croire à la Génération Tangible. Ce mot de "jeunesse" ne doit jamais être absent dans noter vision. C'est le seul qui vaille car c'est l'avenir qui nous intéresse. Comme l'a écrit Bernanos, "c'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à température normale. Quand la jeunesse refroidit, le reste du monde claque des dents". La survie du Congo et du peuple congolais passera par ses enfants, et ils ont besoin d'y croire et d’être à son service.

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Les congolais ont besoin de Liberté, de Démocratie et de Prospérité. Pas de paix.

25 Mai 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Centrée sur les faux sujets lancés par les RMPéistes, PCTistes du Congo-Brazzaville, et tous les pseudos partis-associations satellites, voir des individus sans intérêts comme Sassou-Nguesso Dénis et ses laquais proche ou éloignés – la famille et autres proche du système actuel - la campagne portant sur le non-sujet de modification constitutionnelle au Congo-Brazzaville occulte les débats de fond et néglige les pistes, pourtant bien réelles, d'un redressement drastique et ferme de la grande idée d’un Congo-Brazzaville (M’FOA) moderne et prospère économiquement, initiée par feu le Président Massamba Débat. Le Think tank Génération Tangible est sur cette ligne.

Les politiques congolais comme des lapins paralysés dans les phares, de même que certains médias zélés et des pseudos ministres, parlementaires en mal de notoriété, ont focalisé l’attention des congolais sur tous les faux sujets lancés par la majorité présidentielle, et quelques individus : modification constitutionnelle, mettre les Zaïrois dehors, ne rien changer, ou le changement dans la continuité comme le veut le ministre Nsilou dans sa tribune dans le journal « le Patriote ». Le résultat de ces opérations de diversions ne devra étonner personne.

Nous à la Génération Tangible nous disons et redisons toujours que les choses au Congo-Brazzaville doivent tendre vers l’essor du pays en tous points, avec des propositions concrètes, précises, claires et pas que les grandes lignes, notamment dans le sens de la raison : mesurer les mérites de la démographie congolaise, bien diagnostiquer nos échecs et dire comment relancer le pays (Où, Quand, Comment, Avec qui, Pourquoi, Méthode, Calendrier). Contrairement à ce qu'on entend, il y a énormément d'options et de projets sur la table concernant l'économie, les institutions, la politique du Nouveau Congo-Brazzaville après l’ère immobile des Sassou-Nguesso et autres. Mais il eût fallu en préalable combattre avec des faits, donc des bilans des uns et des autres cette caricature première de l’opération de tentative de modification constitutionnelle. On ne saurait trop recommander pour ce faire, à Monsieur Sassou-Nguesso et ses sbires, de quitter les affaires et la gestion, ou plutôt, la non-gestion du pays en trente ans. Rappelons que le Congo-Brazzaville offrait une qualité de vie inégalée avant 1997, l’un des peuples qui immigrait moins en Afrique centrale, et surtout, dont les populations parties, revenaient au pays, même en ayant eues les papiers en occident, des prestations sociales exceptionnelles pour les populations dans les années 70-80, une fonction publique plus que performante, tout le contraire de ce qu’elle est devenue aujourd’hui, un régime de droits très étendus pour les nouveaux nés, mais aussi les retraités, les étudiants boursiers, un niveau d'éducation perfectible mais très haut depuis les années 60 jusqu’en 90. Aujourd’hui le Congo-Brazzaville est devenu un pays méga inégalitaires, ou les richesses sont captées par une portion infime de personnes avec une absence de redistribution volontaire. Les congolais, un peuple épris autrefois de liberté et de solidarité. Autour, il y a des pays partenaires, pas frères, qui sont très différents. Il nous fait donc nous défendre, en préparant le pays à la « Globalisation » en l’expliquant, sans se replier sur soi.

L’absence de politique économique et de stratégie industrielle sous sassou-nguesso est bien établi, et ce en dépit des taux de croissance farfelue du FMI et de la Banque Mondiale pour le Congo-Brazzaville. La faute est détruit tout le tissu industrielle de l’époque de Massamba Débat tout en cédons des pans de notre économie aux occidentaux, Libanais, et autres ouest-africains, ainsi qu’à ces proches dénués de toutes qualifications et compétence pour créer de la valeur ajoutée. Abandonnons les banques à elle-même au lieu d’exiger le financement de l’économie réelle par ces dernières. Et ne sachant pas créer le plein emploi dans un Congo qui n’a jamais été aussi riche depuis 1960 !

Quel redressement au Congo-Brazzaville ? Commençons par l'économie. Le diagnostic est encore débattu chez les professeurs, avocats, etc, dans leurs salons, classes, bureaux et maisons, mais, au fond, un consensus se dessine majoritairement chez les cartésien-pragmatique et visionnaire de la Génération Tangible : 1. Remise à plat des missions de l’Etat car c’est le seul moyen disponible pour forcer le pays à des réformes structurelles ; 2. Il faut de nouvelles politiques de croissance réelle au Congo-Brazzaville (plan pour les PME/PMI-TPE-ETI, mettre la semaine de travail à 40h, réduction du taux d’impôts sur les sociétés au Congo autour de 10-15%, supprimer toutes les formes d’impôts aux ménages et individus, sauf les taxes et autres TVA, suppressions des cotisations sociales hors santé, famille et retraites, remise à plat de la fonction publique, en la basculant en statut de droit privé avec des contrat de travail du privé et réduction drastique de fonctionnaire à 10000, puissance réforme du code du travail congolais, de la propriété, du marché du travail congolais et de la création d’entreprises et d’emplois) comme la création d’un fonds pour l’investissement dans les études supérieures de nos futurs et meilleurs étudiants congolais, l’investissement dans la recherche et développement pour préparer les emplois de demain au Congo-Brazzaville, investissements pour développer des banques congolaises qui financeront l’économie réelle et encouragera l’épargne qui sera fléchée aux entreprises industrielles congolaises pour se développer et développer une industrie de qualité pour les congolais et au service des congolais, et après vers l’export, réorienter l’investissement dans l'infrastructures financés par un fond créer et suivi de tous, des coordinations fortes dans la fiscalité, l'énergie, les transports avec les occidentaux qui sont aguerris dans ces domaines, des partenariats avec les pays du monde pour favoriser l’apprentissage des congolais dans les meilleurs écoles, universités afin de former nos cadres aux emplois de demain. Un deal de confiance peut être passé entre les Kongolais et les Latins : à la condition que nous fassions les réformes structurelles de compétitivité que nous jugeons indispensables, alors nous pouvons être acceptés par les autres. Génération Tangible accepte d’ores et déjà sa part du deal.

Les institutions congolaises. Là aussi, un consensus se dégage pour bâtir un Nouveau Congo. Le tout autour d’un Congo-Brazzaville débarrassé de ses poids-morts. Donc un nouveau Modèle Economique et Social bâtit autour de : la Démocratie – une économie de Marché – Un grand respect des droits de l’homme et des libertés – une forte protection sociale. La fin du sénat, la réduction du nombre d’élus à 50, non rémunérés, non véhiculés, deux mandats limités à 4 ans pour susciter de vrais vocations, des défenseurs du peuple, du pays. La non-accession des enfants de sang mêlés aux hautes responsabilités, l’élection des Maires au suffrage universel direct, refonte de l’administration territoriale pour faire émerger une nouvelle carte électorale et de nouveaux modes de scrutins plus fiables.

La politique. Mener de front la refonte de la zone CEMAC et CEAC, afin d’en faire des instruments de partenariats économiques et de paix. Plus e coopération économique en Afrique, dans les respects des souverainetés. Le tout tourné vers le progrès. Travailler sur la fraude et l’évasion fiscale. Afin de ne pas laisser impuni les enrichissements illicites des autocrates et leurs familles pendant leurs ères.

Il faut donc parler du fond, et pas faire des tribunes, interviews, autour de ce non-évènement, non-débat du changement constitutionnel au Congo-Brazzaville. Travailler à redonner de la foi aux populations congolaises perdue, des valeurs devenues confuses volontairement depuis 30 ans. Le tout, congolaises, congolais, ce n’est pas de savoir si Nous ferons Mieux ou bien ou moins bien que sassou-nguesso dénis et les autres, la question la seule qui vaille est celle de savoir après lui, après eux, serions-nous capable de renouer avec la confiance des congolais, pouvoir représenter un nouvel espoir, pour préparer et donner un nouvel avenir à nos jeunes désœuvrés et au chômage, afin que celle-ci revoit en l’avenir une possibilité et plus une menace, et qu’ils en soient les maîtres.

Ce Congo-là, ce beau Congo, va sans doute recueillir beaucoup de suffrages et d’adhésion de votre part. Mais les lapins ont peur, ils auront le sort réservé aux lapins.

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Dénis Sassou-Nguesso, l'homme qui rêvait le Congo. Le clan Sasou-Nguesso, Un symbole d'immobilisme.

8 Mai 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Pascal Lissouba avait rêvé le Congo en « petite Suisse », lui, Dénis Sassou-Nguesso, le roi fainéant, rêve le Congo en permanence. Malgré tout ce qu'il affirme, Dénis Sasou-Nguesso est bel et bien un homme du passé et du passif congolais : incapable d'affronter le réel, il se contente de rêver la transformation de ce pays.

Dénis Sassou-Nguesso gouverne le Congo-Brazzaville depuis trente ans aujourd'hui. La presse dresse un bilan sévère de l'action du président, dont la popularité est nulle dans l'opinion congolaise. Les corps intermédiaires, mais aussi tous les opposants censés font le même constat d’échec de ce monsieur et de son clan. Cet échec, chaque jour en apporte la démonstration. Il tient à des raisons multiples et que l'on ne cesse de décliner à Génération Tangible : une politique illisible, des engagements économiques et sociaux non tenus, une communication déficiente avec sa fille et ses ami(e)s, un défaut d'autorité à la fois sur le gouvernement et sur la majorité, etc. Mais qu'y a-t-il à la source du mal, qui explique cette incroyable incapacité à gouverner ?

Le motif profond de cet échec de Dénis Sassou-Nguesso à la tête du Congo-Brazaville nous semble essentiellement tenir au refus de ce dernier non pas de reconnaître la réalité du monde, du Congo de 2010, mais de s'y adapter. Ce n'est pas qu'il la nie, certaines de ses analyses, de ses analystes et certains de ses engagements le prouvent, fussent-ils idéologiquement contestables. Mais c'est qu'il a peur de l'affronter. Il pallie ce manque de courage par le recours à la force, à l’argent facile donné ici ou là, au rêve, un rêve dont il devient dupe. Il rêve le maintien éternel à la tête du Congo, il rêve la réforme, il rêve le changement, celui de la société congolaise qu’il a lui-même favoriser aux antivaleurs, celui du destin du Congo et du Congolais, et ce rêve le tient quitte d'agir. Il se donne l'illusion de la puissance en développant une idée du Congo-Brazzaville hors de proportion avec les moyens dont celui-ci dispose dans sa situation actuelle (mannes pétrolières, situation sous régionale tendue). Il essaie de communiqué cette illusion au pays en lui promettant la lune, ou en usant du discours martial menaçant envers ce même peuple, en lui proposant un programme extravagant nommé chemin d’avenir, dont la réalité a tôt fait de révéler la vanité. Tout comme l’a été la nouvelle espérance en son temps…

Son crime est d'avoir proclamé : " créer 40000 emplois par an au Congo lors de ces deux mandats." Il savait que le pays sous son règne militarisé n'avait pas la technicité et les leviers pour le faire, lui-même s’étant entouré que d’incompétents ne courant qu’après l’enrichissement personnel. N'est-ce pas là abuser de la confiance de ceux qui l'ont porté au pouvoir ? C'est ce mensonge, dévoilé par les faits, qui est à l'origine de son discrédit aujourd’hui au Congo. Un péché originel qui le condamne à jamais dans l'esprit public. Et voilà qu’il veut, par un énième tour de passe-passe, modifier « sa » constitution sur-mesure à coups de billets et de biais mensongers pour rester au pouvoir sans résultats aucuns.

L’Homme politique, l’Homme d’état, doit savoir épouser son temps pour ne pas passer à côté du réel et être capable d'agir. Dénis Sassou-Nguesso, apparatchik de profession, vieilli à la tête d'un vieux parti le PCT, héritier d'un long passé pétrifié, étranger à la vérité et au mouvement de la vraie vie, n'est-il pas le symbole du conservatisme et de l'immobilisme au Congo, à charge pour la nostalgie de la transformation - voire de la révolution - de donner le change ?

La coquetterie de l'histoire veut que ce dernier appel son fils ou ses proches à partager le pouvoir après lui, puisqu’ils le partage déjà avec lui depuis 1997. La famille et les hommes du sérail de ce régime cleptocratique chargé d'assumer le rêve que ce dernier avait la prétention et n'a pas eu l'audace de réaliser ! Peut-on imaginer pire humiliation pour ce Monsieur roi fainéant ? Pire sanction, que son départ, lui et sa famille de la tête du pays et du pays ? C'est cela, le bilan.

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Foryblan Dash BAKOULA. K, le Congo a besoin de toi pour réinventer son Avenir. Pourquoi l’école congolaise sombre ?

20 Avril 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

L’Education nationale est en péril au Congo-Brazzaville depuis l’ère Sassou-Nguesso II (97) (le roi fainéant du Congo et sa famille de « bolosse-loosers », jonchés par des ambitions puériles nées de frustrations enfantines).

Sa lenteur à évoluer l’asphyxie depuis plus de trente ans maintenant. L’internet ouvre une nouvelle voie d’accès de tous au savoir, qui remet en cause le dogme élitiste de notre système éducatif. Aujourd’hui abandonner à l’ignorance, à l’absence de mérite et de talents capables de transmettre les savoirs nécessaires à nos enfants pour être les cadres du Congo de demain sereinement et de qualité. L’écosystème qui a converti en quelques décennies des milliards d’êtres humains au smartphone et à Internet a mis toute sa puissance de travail et d’innovation au service d’un objectif : réinventer l’éducation.

L’Education nationale Congolaise et l’université le comprendront-elles à temps sous l’ère sassou_nguesso ? Une institution qui semble incapable de se repenser. Et qui –pire- ne croit pas aux vertus de la formation. Tétanisée et minée par le tribalisme, les pots-de-vin, la corruption, les Notes Sexuellement Transmissibles, l’école congolaise est gangrenée et n’a jamais su résoudre le cas des élèves issus des zones et familles défavorisées, qui exigent une prise en charge réellement différenciée, mais surtout une façon de travailler qui ne colle pas avec l’actuel statut ou plutôt non-statut des enseignants, un corpus administratif datant de 1950, jamais toiletté.

L’Education Nationale Congolaise est entravée par ses archaïsmes, et ses facilités : Partout dans le monde, l’école 'à la papa', celle de l’enseignement frontal et du psittacisme ('fait de répéter comme un perroquet'), a vécu. Mais ça, ils ne sont pas capables de le comprendre que le monde change, à changer. Les lunes d’hier ne sont plus celles d’aujourd’hui, et ne seront en rien pareilles à celles de demain.

Nous allons apprendre autrement, et de plus en plus sans frontières, c’est un fait. Ici parle un expert de la formation, de l’emploi, du Handicap, du travail et de l’éducation. L’irruption des MOOCs (Massive online open courses), des cours en ligne gratuits, oblige déjà aujourd’hui à réinventer la relation au maître en Fac ou das la Formation Professionnelle Continue (Initial ou alternée).

Dans ces cours, les "élèves" se forment mutuellement via les forums internet. Apparaissent ainsi des écoles, des universités numériques à l’image de Minerva University en Californie (USA).

L’internet va transformer certaines universités ou écoles en marques mondiales que se disputeront les meilleurs talents. Dans ce domaine, le Congo actuel n’en est même pas aux balbutiements…

En tous points au Congo-Brazzaville, nous manquant d’idées novatrices, innovantes, d’énergie, de carburant. Les menaces qui pèsent sur notre école, notre université, ne lui vaudront sans doute pas un tel sort, mais le privé triomphe partout, et en mal ! !

Ce qui apparait aujourd’hui au Congo comme un moindre mal à creuser la tombe du service public d’éducation dans le Primaire, le Secondaire et le Supérieur. Une éducation nationale incapable d’encourager l’innovation…

Qu’a fait l’Education Nationale Congolaise pour promouvoir la formation des enseignants, des maîtres, instituteurs, financer les intervenants extérieurs ? Rien ! Peu d’explications, pas de formation, peu de moyens, pas d’évaluation pas de gratification. Au Congo de sassou-nguesso, cette épicerie familiale, un enseignant peut traverser 40 ans de métier sans jamais avoir actualisé ses savoirs et compétences, autrement que par des discussions avec des collègues. Un comble !

Le problème de l’Education Nationale Congolaise c’est de non seulement manquer de capacités d’innovation en interne, mais d’être incapable de les porter, de les encourager, de les récompenser. Il nous faut absolument lutter contre toutes les formes d’échecs scolaires, ramenés le taux d’alphabétisation au-delà de la barre des 95% pour les populations.

On voit bien que tout ça donne la vision d’une machinerie à bout de souffle, qui n’a jamais su résoudre le cas des élèves issus des familles et zones défavorisées, datant et copiée sur l'ex URSS. Les initiatives qui ont réussi au Congo-Brazzaville n’ont jamais convaincu l’Education Nationale Congolaise d’entreprendre les réformes qui permettraient de limiter la casse. D'autant plus que les ministres sont eux-mêmes issus de l'ex union soviétique, donc minés par un archaïsme sans nom.

Pourquoi une telle inertie de la machine Education nationale Congolaise alors que tant de profs sont prêts à bouger en tous points ?

Il ne faut pas remettre en cause un petit business model qui permet aux castes issues de la méritocratie de prospérer, un modèle qui permet aux cadres dirigeants et hauts fonctionnaires et enseignants nordistes, fanatiques de tribalisme, d’immobilisme, du statut quo, du non mérite, de protéger leur territoire en en interdisant l’accès aux non-initiés (selon eux). C’est une hypothèse que confortent toutes les études sociologiques au Congo.

Nous allons amorcer le changement, en tous points dans notre système éducatif congolais. L’apprentissage, renforcer par l’apprentissage via le numérique, pour évaluer, communiquer ou donner des devoirs. Pour nous à Génération Tangible (G.T), le numérique est un plus pour diversifier les pratiques pédagogiques et faire des préparations de cours. Avec la création d’un service public du numérique éducatif et le développement du numérique.

 

Une puissante réforme structurante sur l’école congolaise, qui portera sur tous les sujets, jusqu’aux bâtiments, qui sont d’un autre temps, pour refonder notre école, nos universités !!! Autant de pistes d’espoir pour un Nouveau Congo éduquer et bien former.

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Le système absurde touche à sa fin au Congo-Brazzaville

17 Avril 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

L'absurde est depuis longtemps le quotidien du peuple congolais. Absurde, en effet, la pauvreté, le désespoir et la violence rentrée de sa société en regard de l'incroyable richesse d'un pays - troisième producteur d'hydrocarbures d'Afrique Subsaharienne - fort de centaines de milliards de dollars de réserves de change, tirant 90 % de ses recettes budgétaires des exportations de pétrole et de gaz. Absurde aussi la captation de cette manne par une poignée de dirigeants incompétents quand la majorité des citoyens - et notamment les jeunes qui forment la moitié de la population mais aussi des chômeurs - ne doit se contenter que de miettes chichement calibrées pour maintenir un semblant de paix sociale. Absurde le manque de clairvoyance de cette pseudo élite, incapable de sortir son modèle de gouvernance d'un statu quo mortifère, de préparer l'après-pétrole qui viendra bien un jour, de porter au-delà une croissance qui pourrait être dès aujourd'hui deux fois plus élevée et surtout durable. Absurde, évidemment, le spectacle des pseudos baronnies de « sages » etc, pour la modification et le maintien de sassou-nguesso dénis au pouvoir, où un candidat sortant, dont sa propre constitution lui interdit de se représenter, tente de la modifier rapidement pour se représenter, sentent que la piste de son fils et d’un de ses proches mettrais le pays à feu et à sang, car plus incompétents encore que lui-même, et manifestement incapable de tenir les fonctions qu’ils leurs a donnés vu les casseroles et les scandales qui les précèdent, illustrant ainsi la guerre des clans qui, au sommet, paralyse toute désignation d'un successeur crédible. Alors, ne voulons pas laisser le pouvoir, car la est leur seule stratégie. Nous pouvons donc ainsi résumer dans une formule cinglante la situation de notre pays aujourd’hui : c'est la « malédiction des matières premières sous l’ère sassou », ce phénomène bien connu d'une richesse donnée qui justifie tous les conservatismes et rend très difficile toute tentative de modernisation. Voici des années que le Congo se noie dans ce paradoxe depuis l’avènement de sassou I et sassou II aujourd’hui. Et chacun sait ce n'est pas lui qui sortira ce peuple et ce pays de sa malédiction. D’autant plus que c’est lui et sa bande qui la crée et la conforte.

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TRISTE BILAN DES BRANQUIGNOLS A LA TETE DU CONGO-BRAZZAVILLE

9 Avril 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Que restera-t-il des Sassou-Nguesso à la tête du Congo-Brazzaville et des structures et institutions de pouvoir et de gestion du Congo ? Au mieux, pas grand-chose. Depuis leurs accessions à la tête du Congo-Brazzaville en Juillet 97 (sassou II après une âpre guerre civile financée et soutenue par Total et la France), la "Firme au pouvoir" a des allures de morne plaine. Pierre Ngolo et les élus Pcétistes_Rmpéistes, députés et sénateurs, lèvent les yeux au ciel ou soufflent d'exaspération à la moindre question sur le rôle du parti et des coups de boutoirs du père_DRH de la famille, pour favoriser l'accession de son fils à la tête du Congo. Ils les jugent tellement inutile, incompétent, tribalistes qu'ils préfèrent ne pas en parler. Avec des gouvernements successifs de Branquignols à la tête du congo, sans jamais avoir de résultats probants dans la vie des congolais et du congo, sauf pour eux-mêmes, leurs proches et leurs comptes en banque dans les paradis fiscaux. On retiendra de tous ces saltimbanques aux manettes de la no-gestion du Congo un Méga amateurisme qui frôle l’indicible. La plus spectaculaire : l'explosion du chômage devenu endémique... Surréaliste, après de voir, entendre, lire, que les fils, filles, cousins, neveux, oncles, veulent succéder au roi fainéant, au nom, disent-ils…Des droits constitutionnels....occultent le débat de fond..: les bilans de gestion, car cogestionaire et coresponsable de l'état dans lequel se trouve le congo-brazzaville. Pour preuve, n'est-ce pas eux qui vivent à coup de millions d'euros par jours...? Inouï cette naïveté confondante pour ses amuseurs amateurs de first et business class. Alors, allez vs en, et nous vous assignons une mission : celle de vous tenir prêt à rendre tous ce que vous avez volés et pris indument. Ils devraient y parvenir sans trop de difficultés. A BON ENTENDEUR.

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LUTTONS CONTRE LES NEOCONS CONGOLAIS EN EUROPE ET AU CONGO

31 Mars 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

La « firme » c-à-dire, les enfants du roi fainéant dénis sassou-nguesso, ses cousins, neveux et autres affidés qui rêve de pérenniser le régime après lui, sont le produit de la névrose nationale qu’ils ont contribuer à construire et injecter au sein des populations congolaises en Occident ou surplace, sur fond de déclin et de défaitisme. Alors, les dégâts économiques et sociaux au sein de ce même peuple paraissent, pour certains, d’une normalité sidérante. Mais il y a aussi quelques raisons psychologiques, voire métaphysiques, qui alimentent le phénomène de la succession de la « firme » ou du père_oncle par lui-même en 2016 : le Congo est en deuil. Défaitisme, laisser-aller et désolation sont les trois mamelles du mal congolais. C'est avec ça qu'il faut en finir.

Ne comptons pas sur le pouvoir amateurs mbochi au pouvoir pour insuffler au Congo l'énergie et l'optimisme dont il a tant besoin pour se déssaouiser. Par temps de bran, il est à peine audible. Il ne fait cependant pas de doute que la lutte contre le clan au pouvoir au Congo sera idéologique ou ne sera pas. Et la morale là-dedans, elle a toute sa place le moment venu.

Alors de grâce, laissons donc un moment la morale : elle valorise surtout ceux qui s'en drapent. C'est sur le terrain des faits qu'il faut aller chercher ce clan et toutes et ceux qui se disent prêts à succéder ou pérenniser ce régime et déconstruire sa matrice idéologique, qui, hélas, contamine une grande partie du spectre politique, les affamés en occident et surplace, des "néocons" de plus en plus répandus sur les réseaux sociaux surtout.

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Nous assistons au triomphe du Congo-Brazzaville qui tourne en rond.

26 Mars 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Quel dirigeant politique osera le dire ?

Génération Tangible le dit et le dira toujours haut et fort, n’en déplaise aux supporters fanatiques du vide.

Notre potentiel de croissance est durablement nul. Aucune des composantes de la croissance n'est aujourd'hui présente ni disponible au Congo, car nous ne savons pas en faire. C’est pour cela que nous avons une exposition du chômage, de la pauvreté et de la précarité depuis maintenant 30 ans ! Notre modèle de croissance est en réalité cassé depuis les années 1980, mais nous nous le sommes caché à nous-mêmes pendant trente ans.

La fin de l'illusion en 2016 devrait permettre de nous intéresser au vrai problème: la productivité congolaise.

Non seulement notre population croît à grande vitesse, mais surtout, elle ne parvient plus à produire mieux et plus efficacement. Ce n'est plus la division du travail qui peut apporter des gains de productivité, mais d'autres facteurs: la durée du travail, le niveau de formation et de qualification de la population, l'effort d'innovation. Ces trois facteurs jouent cependant aujourd'hui négativement. Cette « firme au pouvoir » à tout fait, et va continuer à tout faire pour mettre « le cadavre du Congo » à la renverse. Ils croient qu’eux seuls peuvent, avec leurs enfants, diriger le Congo. Un leurre dangereux.

Ce qui est en cause aujourd'hui, c'est l'existence même de notre système démocratique sénile. La faute à l'incapacité à faire face à la transformation du pays et des populations, à lutter contre la pauvreté et le chômage, la croissance explosive des inégalités, l’immigration explosive et non désirée, la dégradation continue des grandes infrastructures, la recherche du profit immédiat avec le tribalisme, la médiocrité des dirigeants, leur manque de souffle, de vision, d'ambition, les scandales à répétition et à l'absence de grand dessein collectif. Voilà ce qui tue à ce pays !

Cher(e)s compatriotes, nous vivons des temps de profondes mutations, économiques, sociales, culturelles, politiques, et d’exceptionnels de gravité. Notre pays (mais même le monde d’ailleurs) n'a pas besoin d'âmes tièdes, il a besoin de cœurs brûlants disait Albert Camus. Chassons la normalité, la procrastination, l’incurie, renouons avec l'exceptionnel.

Think tank Génération Tangible

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