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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K
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Que Vive l'Espoir en chaque Congolaise et Congolais

31 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Notre pays le Congo-Brazzaville a toutes ses chances, pour peu que son peuple reprenne confiance en lui.

A notre sens, trois de ces enseignements doivent être mis en lumière pour réveiller cette espoir.

Le premier d’entre eux, c’est que le Congolais doit changer pour lui-même d'abord. Je ne le répéterai jamais assez : notre salut ne viendra ni des Occidentaux ni de l'Union Africaine. Pourquoi ? D’abord, parce que les défis que nous devons relever et les freins qui entravent notre mobilisation à chasser le clan Sassou-Nguesso et tout le système au pouvoir ne proviennent pas de l’étranger, mais sont bien dans notre pays. L’un de ces problèmes, c’est le manque de self-confidence , c’est-à-dire de confiance en nous-mêmes, entre-nous. C'est la raisons pour laquelle sassou-ngueso dénis et son système sont tjrs là à la tête de ce pays! Le peuple Burkinabé ns fait une fois de plus la démonstration, après celui du Bénin, que ce sont des peuples mûrs, formés, indignés et qui savent se serrer les coudes pour l’intérêt général, le verrons-ns un jour au Congo??? Pourtant, le pays ne regorge que de talents, de compétences et des énergies nécessaires à sa transformation, qui ne demande qu'à être utiliser en bonne intelligence. D'aucuns ont appelés au "Lisanga", au "dialogue", ils se rendent compte à présent, du haut de leurs inepties d'appels au dialogue, que ce pouvoir ne dialogue avec personne, ils ns rejoignent bien tardivement ds la résistance des constructeurs du nouveau congo, il était temps. Ce pays a besoin de vitalité, de volontarisme, de bon sens, de bonne intelligence, et d'esprit d'initiative. Pour les égos, que chacun fassent ses preuves, pas que ds son quartier, pas que ds son cercle d'amies, mais bien au-delà. Ayant confiance ds notre capacité, ayant confiance dans le Congo-Brazzaville. Changer pour nous-mêmes, cela signifie également moderniser notre pays dans l’intérêt de tous. Non pas changer pour changer mais, partout où cela est possible, pour recréer des droits, des opportunités réelles pour ceux qui n’ont pas ou plus accès à l’activité, au logement, à la santé, à un emploi pérenne, de qualité avec de bonnes rémunérations décentes, à une existence stable et heureuse. Non au déterminisme social! Changer, c’est donc prendre en main notre destin et aller par-delà les résistances, c’est-à-dire par-delà les corporatismes et les particularismes. Ne visons qu’un seul objectif : l’intérêt général du Congo et des Congolais.

Le deuxième enseignement, c’est que la réalité doit être la matrice de l’action publique ds le nouveau congo auquel ns aspirons tous d'ici à 2016. La seule approche qui vaille, c’est celle du pragmatisme : elle est notre rempart et notre garde-fou contre les préjugés, contre les sectarismes, contre l’enfermement, contre le tribalisme et la corruption. Elle représente l’unique moyen de dépasser les tribalismes qui sont trop souvent un carcan et trop rarement une source d’émancipation réelle. Par manque de courage et de discernement, les responsables politiques congolais de l'ère communo-socialistes ont passé plus de 40 ans à reporter les transformations nécessaires pour enrayer le décrochage silencieux qui s’était engagé ds notre industrie, notre économie, nos politiques. Aujourd’hui, nous n’avons pas d’autres choix que d’assumer le réel que va nous laisser cette génération puérile. L’inverse reviendrait à sombrer les yeux fermés. D'ailleurs, compatriotes congolais, fuyez toutes les personnes se revendiquant du socialisme! Car ils st dépasser et prompt à discourir sur des thèses fumeuses, sans jamais de prises réelles sur et ds la vie des gens, encore moins d'un pays ! Point de départ, la réalité doit être aussi notre ligne d’arrivée : une loi, un décret ou une décision n’ont de sens que s’ils transforment concrètement le quotidien des Congolais, que s’ils deviennent tangibles pour nos concitoyens, tant au niveau local que National. Assumer le réel, c’est donc accepter notre société telle qu’elle est, afin de la changer en profondeur !

Enfin, le troisième enseignement, c’est qu’il est urgent de redonner le goût et la passion du Congo à nos concitoyens. La réduction des inégalités, la justice sociale, la prospérité pour tous les congolais, le refus du déterminisme sociale doivent-être budgétaires notre boussole ds l'action publique et politique qui est la nôtre aujourd'hui. Faire en sorte que les congolais de demain, vivent mieux que ns aujourd’hui"hui. Mais ils ne constituent pas, à eux seuls, un projet pour l’avenir. Former les populations, les éduquer, les soignés, les mettre au travail, les rendre créatif, innovant, ingénieux,imaginatif, pour l'essor du congo et dc de l'amélioration substantielle de leurs propres bien-être. Depuis plus de 37 ans, sassou-nguesso dénis est en échec pour les Congolais. C’est la raison pour laquelle il est aujourd’hui impératif de renouer avec un Congo des projets. Projet politique, projets social et culturel, projets visibles et concrets qui améliorent la vie des Congolais, du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest, en passant par le Centre : c’est le sens du « Projet GT - Génération Tangible- » que j’appelle de mes vœux.

Les jeunes congolais aussi espèrent et attendent beaucoup de leurs dirigeants, dc de nous : nous ne voulons pas être de ceux qui les décevront.

AU TRAVAIL!

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Toutes les tyrannies sont à combattre

22 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Contrairement à ce qu’affirme le dicton, le ridicule tue – autant que la bêtise. Simplement, ce sont les autres qui en meurent. La preuve par la non-politique des gouvernements successifs de Monsieur Dénis Sassou-Nguesso. Le dégât qu'a subi notre pays en détruisons son appareil de production et son secteur tertiaire est grave, depuis le retour de Dénis Sassou-Nguesso en 1997. Nous devons être l'un des derniers pays de la sous-région qui n'enseigne pas l'économie à l'école, au lycée. Nous regrettant aussi qu'on n'"ait plus le temps de s'informer sur les choses compliquées dans le pays, idem dans ses multiples diasporas. Les gouvernants s'interdisent pratiquement de faire des choses à trop long effet et de qualités, non seulement pour leurs mérites, mais surtout, pour le bien commun. Terrifiant ! Nous sommes, à la Génération Tangible (G.T) très inquiet pour notre magnifique pays.

Dans cette lancée, il veut nous imposer un "poulain" à sa succession, cela serait apocalyptique pour le pays, congolais, congolaises. Et tous ceux qui soutiennent, et tous ceux qui ont des mots qui ne sont pas des mots pour dénoncer cette dictature clanique à la tête du Congo-Brazzaville, méritent le châtiment. Parce que le socle avec lequel Dénis Sassou-Nguesso essaie de gouverner encore le Congo est un socle tellement étroit qu'il empêche une politique sérieuse d'être menée à partir de juillet 2016.

D'autre part, nous tenant à mettre en garde contre "les hommes forts du moments du Congo-Brazzaville" dont le zèle dépasse les limites du raisonnable, tant ils abusent des pouvoirs qui sont les leurs, notamment lorsqu'il s'agit de protéger les congolais, eux, tentent d’intimider, harceler, menacer les congolais, de l'intérieur ou de l'extérieur par des arrestations grotesques et des motifs grotesque aux aéroports, ou dans des expéditions nuitamment. Des colosses aux pieds d'argiles. Même Hitler et ses "SS", ses "SA", finirent par être cloués au piloris, il serait grand en temps de vous rappelez que l'histoire se répète sans cesse. Soit vous, ou votre descendance paieront, tôt ou tard. Nous tenant à dénoncer ces méthodes indignes, le Congo n'est pas la Russie avec sa Gestapo ! Ces méthodes qui déshonorent la justice, la police, la Gendarmerie, les services secrets de l'intérieur ou de l'extérieur.

La tyrannie politique, la tyrannie judiciaire aussi doivent cesser immédiatement à l'encontre des fils et filles de ce pays. Car comment appeler autrement un État dans lequel il serait interdit de lui demander des comptes, ou de le critiquer ? Dans les démocraties murent l'on dit que l'homme politique a droit à une certaine exagération, et même une provocation. Qu'est-ce qu'une démocratie dans laquelle cette provocation serait bannie ? Pourquoi serait-elle autorisée pour tout le monde, et pas vis-à-vis des institutions, des politiciens, fussent-ils président, Généraux, etc ? C'est un combat que nous sommes décidé à mener à la Génération Tangible. Toutes les tyrannies sont à combattre au Congo-Brazzaville.

D’ailleurs nous sommes pour la Totale liberté d'expression des Congolais sur tout le monde, sur tous les sujets qui leurs semblent bons. Il y a quelque chose d'étonnant à être dans un pays qui dit "protéger la liberté d'expression" de ses concitoyens, de sa presse, alors même qu'en sous-marins, elle agit autrement. Les congolais, d'où qu'ils soient, ne peuvent être poursuivis, arrêtés, emprisonner, torturer, intimider, interroger, pour avoir exprimé leur opinion sur des membres du gouvernements, sur les institutions, et sur qui que se soient d'autres dans leur pays. Se doit-on, au Congo de Dénis Sassou-Nguesso, Ndéguet, Obara, Mboulou, Yoka, de ne s'exprimer que lorsque l'on est un laudateur de ce pouvoir médiocre ? Qui peut penser que cette position est raisonnable par rapport aux moeurs de notre époque ? Alors même qu' en son sain, les dissension existent et sont connues ! Les congolais dans leur pays n'auraient-ils donc aucun mot à dire sur la façon dont ils sont gouvernés ET SUR LES GOUVERNANTS ET LES INSTITUTIONS ? Le Congo-Brazzaville c'est CHEZ NOUS! Nous avons toutes et tous le DROIT d'exprimer nos indignations, notre indignation à tout moment sur le Congo ( le bien commun) !

L'histoire nous donnera raison. Vous avez le pouvoir, nous, nous avons le temps.

Comment imaginer dans un pays dit "démocratique et Libre" qu'un Général, fusse-t-il directeur de la sûreté du territoire ou de la police, même des ministres oncle du président, ou cousin ou neveu de ce même président, des juges fassent autant de forfait, autant de zèle sans sourciller, à la guise des uns et des autres ? Alors même que les "frères de lumières et autres apparatchiks passent entre les mailles du "filets" ? Comment cela est-il possible ? Comment qualifier cette attitude ? Ils ont transformés le Congo-Brazzaville en Gabon bis, où être "frères et sœurs de lumières ouvrent grand les portes de la richesse et de la promotion rapide et facile, sinon rien ! Vu d'aujourd'hui, cela est très erroné. Nous estimons avoir, dans notre pays le Congo-Brazzaville, un droit imprescriptible à l'indignation Messieurs et Mesdames du pouvoir autocrate de Brazzaville, et pas d'oyo, ollombo, édou, gamboma, et je ne sais quoi d'autre du Nord.

L'intimidation et la menace, sont des limites à la liberté d'expression, vous devrez le savoir. Oui, nous croyons que la justice congolaise, l'institution judiciaire, les services secrets, les les FAC, la police, la Gendarmerie, pour avoir la confiance de ses citoyens, doivent être servie par des magistrats, des policiers, des gendarmes, des hommes de l'ombres du renseignements efficaces, qui, conscients de l'immensité des pouvoirs qui leur sont conférés, les exercent avec retenue et bonne intelligence, mais aussi de bon sens sans JAMAIS insulté l'avenir. Sinon, nous flirtons avec l'abus de pouvoir et les limites de la démocratie, comme nous le voyons et le déplorons, malheureusement, tous les jours au Congo-Brazzaville d'aujourd'hui.

Nous ne saurions bien finir sans prévenir à nouveau toutes celles et ceux qui se sont illégitimement et illégalement enrichis au Congo de Dénis sassou-nguesso, proches ou non, que nous séviront le moment venu, tôt ou tard..que le cas de "Karim Wade" vous parle d'ores et déjà. Les chefs d'accusation sont déjà là, avec vous, connus de tous et de toutes..: « Blanchiment de fraude fiscale », « corruption » et « blanchiment de corruption ». Toutes vos dissimulations, tous vos comptes offshore, tous vos biens dissimulés à travers le monde avec vos multiples sociétés écrans sont connus. Le Congo-Brazzaville n'a pas besoin de profiteurs sans scrupules, il a besoin d'artisans de son redressement ayant un sens aigu de l'intérêt général, afin d'être à la hauteur d'une histoire difficile après l'ère sassou-nguesso. Il n'y a pas de salut individuel dans notre pays, ça n'existe pas en politique. On ira tous ensemble au succès ou à la défaite du Congo du 21è siècle. Car, lorsque l'on est un moderniste-progrésssite comme nous et que l'on croit à l'action publique, on ne peut pas se contenter de dire : il faut plus de moyens et ça marchera naturellement mieux, ce n'est pas vrai...nous le voyons depuis "La Nouvelle Espérance", puis, aujourd'hui avec "Le Chemin d'Avenir" et les "Grands Travaux", ce puits sans fond. Les Grands Travaux de Dénis Sassou-Nguesso et Jean-Jacques Bouya est un budget considérable mais ses résultats en matière d'infrastructures modernes, confortables, opérationnel, fonctionnel et sure sont mauvais. Donc, il ne s'agit pas de mettre plus d'argent dans quelque chose qui ne marche pas comme ça devrait. Il s'agit d'interroger les résultats concrets et de voir comment on améliore le système pour construire le pays et favoriser son essor, pour le bien de tous et toutes, donc de l’ascenseur social. Les Congolais jugeront.

Alors nous dénonçant tous les petits intérêts, les petits gains et tous les gros gains, tandis que le peuple majoritaire et travailleur se meurt dans la misère, la précarité, la pauvreté la plus extrême et le chômage endémique, plus la double peine du tribalisme à tous les étages et des injustices à tout-va.

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Dénis Sassou-Nguesso, son système et son clan, des "rois" NU!

17 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Dénis Sassou-Nguesso, son système et son clan, des "rois" NU!
Congolaises, Congolais, Ils vous faut toujours distinguer, dans les grandes phases de turbulences d'un pays comme celle que traversent aujourd’hui notre pays le Congo-Brazzaville, même dans sa vie personnelle, la part d’écume de la vague de fond. L’écume pr le pays, c’est l’enchaînement d’indicateurs conjoncturels inquiétants – la production industrielle congolaise qui chute, alors même que son tissu semble se reconstruire mais sans plus, les prix qui ne cessent d'exploser partout dans le pays... Ce sont tous ces signaux qui rappellent que plus rien ne va au Congo-Brazzaville – la brutalité et la violence gratuite à l'égard des congolais qui ne pensent pas comme eux, la dette que chaque congolais devra payer à la Chine, à cause de la non connaissance de l'économie des dirigeants actuels, que ns paierons et devront payer après leurs départ… Les congolais ont le sentiment d'avoir été tromper trop haut trop vite par le clan et le système sassou-nguesso et cie, d'où la nécessité aujourd'hui pour préparer l'avenir de tous et toutes, de nouveaux acteurs mue par l'intérêt général et plein de talent , de compétence, de vision, d'une méthode afin de solder leurs positions d'échec totale à la tête du Congo-Brazzaville depuis 37 ans…

Mais tout cela ne saurait masquer la lame de fond qui est à l’œuvre actuellement au Congo-Brazzaville. Ce n’est évidemment pas un hasard si la majorité des mauvaises nouvelles se concentrent aujourd’hui autour des clans et des quelques 500 familles qui se sont toutes enrichies aujourd'hui au congo-brazzaville grâce à Dénis Sassou-Nguesso.

Pis,les Forces Armées Congolaises (FAC) SONT Utilisées à DES FINS PERSONNELLES ET CLANIQUES, jamais l’absence de leadership n’a semblé aussi flagrante dans notre pays. Le président Dénis Sassou-Nguesso, bien qu'étant un "roi nu et fainéant" devrait comprendre, loin des invectives de celles et ceux qui le flatte et lui monte la tête, que le pays et le peuple est face à une grosse tempête, il est désormais évident qu’il ne pourrait à lui seul et tout à la fois faire baisser le chômage, relancer la consommation des ménages congolais ds toutes les strates, éloigner le spectre de la guerre civile et de la haine et la violence gratuite, de la corruption, de la médiocrité, de l'irrespect des lois et du droit. Le Gouvernement est bien en peine de financer le grand plan d’investissements promis depuis les années 2000. Et le pays est à l’arrêt, chacun refusant de faire un pas – qui sur l'ouverture, qui sur l'ouverture aux novelles générations, a bas les vieux – vers l’autre. Si le pouvoir s’obstine à vouloir avancer sans laisser la place aux nouvelles générations de leaders des Constructeurs et non des opposants ni vision, les secousses actuelles qu'ils vivent de partout ne seront sans doute pas les dernières.

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Projet de loi de finances 2015, de la poudre aux yeux des congolais, encore.

8 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

La politique a en abomination les silences, et les comble généralement de conjectures.

Ce mercredi 7 octobre 2014 à 10h c'est tenue le conseil des ministres à Brazzaville présentant le Projet de Loi de Finances (PLF) pour l'exercice 2015 pour le Congo-Brazzaville.

Génération Tangible tient ici à dénoncer la énième supercherie de ces exercices qui ne produisent rien et qui se tiennent, dit-on dans une démocratie, à des intervalles plus que long.

Que nous dit ce PLF 2015 pour le pays, en voici la substance tel que dit dans le compte-rendu du conseil des ministres : "

En effet, la politique du Gouvernement a retenu pour 2015, conformément au Plan National de Développement (PND) 2012-2016 et au document de programmation économique et budgétaire 2015-2017, la poursuite de l’exécution des actions en cours, tout en mettant l’accent sur celles constituées essentiellement par :

- La construction des hôpitaux généraux sur l’étendue du territoire national ;
- Les projets structurant les zones économiques de Maloukou ;
- L’achèvement des équipements et infrastructures relatifs à l’organisation des Jeux Africains de 2015 à Brazzaville ;
- Le projet ''eau pour tous'' ;
- Les projets liés aux municipalisations accélérées des départements de la Sangha et de la Bouenza ;
- La route Dolisie-Brazzaville.

On se rappellera aussi que les années antérieures ont vu l’investissement public s’accroître qualitativement en faveur de la santé, de l’eau, de l’énergie, de l’éducation de base et de la formation professionnelle.
Outre la poursuite des chantiers ouverts dans ces secteurs de grand intérêt public, le budget 2015 donne tout aussi la priorité à l’entreprise ; la très petite, la petite et la moyenne.

Le choix de la promotion de l’esprit d’entreprise et de l’entreprise se justifie par la nécessité de favoriser la diversification des activités économiques et d’accroître la participation du plus grand nombre de citoyens à l’action économique, en vue de réduire la pauvreté par l’emploi et l’augmentation de la richesse nationale.

Il s’agit ni plus ni moins que de l’affirmation de la volonté du gouvernement de créer les conditions d’une croissance inclusive sur le long terme, débouchant sur l’amélioration des conditions de vie des Congolais.

Tous ces domaines d’intérêt, combinés à la préoccupation permanente relative au développement des infrastructures, forment le socle des progrès économiques et sociaux du pays, acquis indispensables à la réalisation de l’ambition d’émergence du pays à l’horizon 2025."

Une fois de plus, les esprits avertit sur la chose publique au Congo-Brazzaville peut se rendre compte en lisant et en confrontant ce que dit ce PLF à ce qui se fait surplace actuellement au Congo, et même depuis 1997, que c'est une supercherie sans nom, de la vraie vraie poudre aux yeux encore et toujours aux congolais!

Parce que, pas plus que cela ne fût réalisée dans les années antérieures qu'en 2015, rien de tout ce qui est dit là qui ne se produira.

La plupart des éléments évoqués, mis dans ce plan sont virtuelles. Qui peut croire un instant que ces promesses tant assénées à chaque PLF depuis qu'ils sont là, et jamais réalisées, vont être réalisées en 2015 ?

Et pour finir d'achever les congolais avec sa croissance de paille, voici la suite qui montre, s'il le fallait encore, que décidément, ce pays est vraiment géré telle une épicerie!

"En conséquence, pour l’exercice 2015, le budget de l’Etat a été arrêté en recettes à la somme de trois mille six cent trente-neuf milliards huit cent trente-quatre millions (3 639 834 000 000) de francs CFA et en dépenses à la somme de trois mille quatre cent quarante-trois milliards trente millions (3 453 030 000 000) de francs CFA.

Ce budget devrait dégager un excédent budgétaire prévisionnel de l’ordre de cent quatre-vingt-six milliards huit cent quatre millions (186 804 000 000) de francs CFA.

Le budget de l’Etat comporte aussi des dispositions fiscales. Les principales modifications fiscales et parafiscales sont les suivantes :

1- En 2015, les très petites entreprises n’auront d’impôts que la seule contribution de la patente, perçue au profit des collectivités locales ;

2- Sont exonérés de l’impôt, tous les revenus provenant de l’exploitation agricole, agropastorale, piscicole et de la pêche continentale ;

3- Les pensions alimentaires versées aux ascendants et descendants sont désormais déductibles du revenu global imposable ;

4- Pour la période allant du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2016, les droits d’immatriculation et de transcription des propriétés foncières seront forfaitaires et fixés par zone ainsi qu’il suit :

Zone n°1 (centre-ville des communes)…………1.000.000FCFA ;

Zone n°2 (arrondissement des communes et chefs-lieux des départements)……………………………….……..

.500.000FCFA ;

Zone n°3 (Chefs-lieux de districts et autres localités) ………………………………………………………..250.000FCFA

En clair, le titre foncier coûtera désormais 1.000.000FCFA pour une propriété au centre-ville, 500.000FCFA pour une parcelle de terrain dans les arrondissements et 250.000FCFA dans les districts.

5- Au-delà de 2016, les droits d’enregistrement relatifs à l’adjudication, la vente, la revente, la cession, la rétrocession, de biens immeubles seront de 7% de leur valeur au lieu de 15%, comme c’est le cas aujourd’hui ;

6- La taxe d’occupation des locaux, qui avait remplacé en 2014 la taxe d’habitation, de ramassage des ordures, sera recouvrée à partir de 2015 par retenue à la source sur salaire auprès des employeurs, pour des personnes physiques salariées, à raison de 1000FCFA par mois. Cette taxe est versée aux collectivités locales.


Les dispositions nouvelles introduites sont constituées essentiellement par:

1- L’institution d’un impôt forfaitaire sur les antennes ou pylônes des sociétés de télécommunication ;

2- L’institution d’un mode de gestion de l’entrepôt fiscal de stockage ;

3- L’intégration des principes généraux de liquidation et de recouvrement des amendes de la circulation routière, de la police administrative, des amendes pour des infractions dans l’exercice du commerce,..."

L'absence de politique clair et cohérente de ce gouvernement et de ce président depuis 18 ans, fait du Congo-Brazzaville un pays mal géré : en l'espace de 18 ans, toute notre industrie a été laminé, le secteur tertiaire et agricole abandonnés, une fausse gentrification voit le jour, l'entre-sois est devenu la règle, la médiocratie ériger en processus de recrutement, l'éducation et la formation des laisser pour compte, les salariés sont repoussés aux abords des grandes villes, car les prix des loyers, du fonciers ont explosés parce que les "nouveaux riches congolais" ont accaparés tous les centre-villes au prix fort! Nous avons vu émergés une caste de familles riches, dont la richesse n'est basé que sur le pillage, le vol, grâce à l'homme fort à qui ils et elles, doivent tout ça.


L'amateurisme le dispute à l'incohérence : le chômage endémique les laisses pantois, car ils ne savent pas créer le plein emplois pour 4 millions de gens. L'économie réelle, il n'y connaisse rien.

Dénis Sassou-Nguesso est à présent seul, un roi nu, un roi fainéant. Lâché par l'opinion Congolaise, par ses «ex» (ministres, conseiller) et par une partie de sa majorité, le chef de l'État doit aujourd'hui se résoudre à sortir par la "petite porte" en 2016.

On a perdu du temps avec des broutilles de l'ère Sassou-Nguesso depuis 1997.

On ne va pas à l'essentiel avec ce régime!

On s'égare parce qu'on refuse de s'en prendre au seul adversaire qui vaille : la médiocrité, et aux scandaleuses inégalités qu'elle crée parmi les congolais. C'est contre cette injustice odieuse qu'il faut porter le fer. Nulle part ailleurs. Dans quel monde vit-on, dans quel Congo pour que des controverses normales sur le plan intellectuel suscitent un émoi dans les soutiens du camp d'en face, comme on si on venait de découvrir que la contradiction existe, que le langage est capable de brutalité et l'esprit de vérité ? Et qu'aucun pays, aucune société n'est condamnée à la fatalité de la médiocrité à cause de la grisaille insipide et bienséante de la plupart de ses concitoyens, dirigeants ou pas ?

Eux pensent que toute différence est une injustice, nous, nous pensons que c’est une richesse pour le Congo et les Congolais.

Nous le voyons une fois de plus, comment ils abiment le pays avec le statut quo, l'immobilisme, tout dans la communication. Il faut maintenant préparer l'avenir avec comme priorités l'amélioration de la vie des Congolais, le combat du mérite, de l'effort, les avancées économiques et sociales pour nos populations, dès le départ de sassou en 2016. A Génération Tangible, nous voulons vous proposer un chemin extraordinaire où chacun aura un avenir et décidera de sa vie au Congo.

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Que Dieu aide le Congo !

3 Octobre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Si on avait besoin de plus de preuves d'un pays en déclin, les voilà. Yoka émmanuel, Zéphirin Boulou, JDO, Obara Philippe, J - F Ndenguet, pr ne citer que ceux-là "dits du Noyau Dur" qui encourage sassou à la politique de la Terre brulée coute que coute au Congo. Voila une infime minorité qui pour préserver des acquis illicites, des fortunes faites de pillages, sont prêts à mettre le Congo à feu et à sang.

Nous faisons le sermon, que non seulement, les enfants Sassou-Nguesso et autres descendants paieront les forfaits de leurs ainés, mais eux-aussi et toutes les descendances paieront de génération en génération leurs forfaits.

Compatriotes congolais, rien n'est encore terminer pour le Congo et les Congolais.

Bien qu’aujourd’hui le pays soit sclérosée, désespérée et pessimiste parce que rien ne fonctionne et personne ne s’en soucie au niveau de celles et ceux qui on en la charge.

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Pourquoi les jours du Clan d'édou-oyo-olombo-gamboma sont comptés...Le régime despotique des Nguesso-Sassou, ou le chant du cygne du Congo d'hier

24 Septembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

La dernière et fulgurante offensive de l'état des nguesso-sassou au Congo-Brazzaville ne cesse de surprendre (expulsions tous azimuts, excès de violences gratuites aux populations disons non à leurs perfidies, opérations Mbata ya ba kolo,etc). La lâcheté tactique, combinée à de si nombreuses erreurs stratégiques, est pourtant le propre des veuls, pleutres, des perdants en fin de règne.

Tactiquement, le clan d'edou-Oyo-Olombo-Gamboma fait preuve d'une témérité dans la bêtise ahurissante. Comme si le chef du clan, le dictateur roi fainéant Dénis Sassou-Nguesso avait trop lu Foch et son obsession de l'offensive à tout crin envers les populations dont il a oublier qu'il avait la charge de protéger et d'assurer une ascension sociale, et pas qu'aux siens. Sentant que son plan s'enlise, il ouvre ainsi des fronts tous azimuts pour installer la tension, la peur, la terreur dans le coeur et la tête de chaque congolais. Peu importe les pertes et les méthodes peu amènes; il faut que le mouvement ne cesse jamais, ou c'est l'ensemble qui tombe d'ici à 2016.

Ensuite, les provocations en direct au peuple congolais incarnent la résistance de ce petit clan d'ineptes d'ici à 2016. Quoi de mieux que les expulsions de journalistes, des expulsions manu-milita ries des populations de la RDC, des agressions gratuites et lâches des opposants, pour sidérer une opinion publique ? Elles fédèrent tous les paumés du Nord, à paris ou partout ailleurs. Par sa brutalité, le clan d'édou-oyo-olombo-gamboma ne comprend pas qu'il a dépassé dans l'horreur face à ses propre frères, sœurs, fils, filles du même pays, qu'on croyait pourtant indépassable dans ce domaine depuis les pseudos guerres que le Congo-Brazzaville a connue durant sa petite histoire en cinquante ans. Ils sont devenue de jeunes et de vieux fous réunis, rassembler pour une cause à présent perdue d'avance, car la CPI et la communauté internationale les guettent.

Galvanisés par sa propagande Pcétistes et ivres de ses pseudos-victoires (soudoiements de braves villageois en claquettes affamés pour un maintien coute que coute) les mercenaires venus de tous horizons, les bandes de séléka, Anti-balakas, les milices, l'armée, la police, la gendarmerie à sa solde, fort de tout ceci, ce clan terrorise et frime dans une morbide cavalcade dans tout le Congo-Brazzaville.

Mais tout avantage a ses points faibles. L'ivresse du pouvoir pousse le clan d'édou-oyo-olombo-gamboma à de grossières erreurs stratégiques. Alors qu'il se sont rendu maître du Congo-Brazzaville sur toute son étendue grâce aux forces armées et autres milices et mercenaires (FAC - Gendarmerie-Police-Ntsombi-tso-séléka-anti-balakas) il n'arrive pas se retenir, encore moins à retenir ses troupes qui terrorisent les congolais à tout-va. Les congolais sont menacé chez eux par leurs propres dirigeants, la communauté internationale ne ferme plus les yeux et ils le savent.

Kadhafi avait fait la même erreur en Libye. On ne fait pas mieux comme ennemi pour fédérer les autre contre vous.

Le clan d'édou-oyo-olombo-gamboma, aveuglé par sa témérité à vouloir rester au pouvoir et son ambition mal placée, alimente lui même la coalition de ses ennemis, tant en internes qu'à l'extérieur. Y compris dans les territoires et autres quartiers du Nord de Brazzaville qui lui sont favorables au Congo, l'implacable chantage, violence, terreur qu'il inflige étouffe à la population congolaises du Sud et du Centre laquelle déteste ces arrivistes et opportunistes qui n'ont rien apporter aux pays et au peuple congolais.

Tout Empire périra... Le propre du conquérant est qu'il ne peut se fixer une limite, parce que s'arrêter c'est déjà être défait. Il s'épuise dans d'inutiles et folles conquêtes, il est drogué à la victoire, son insatiable héroïne.

Le combat du clan d'édou-oyo-olombo-gamboma est une mauvaise cause, déjà perdue. Les victoires se font rares et les gens en ont marres de se faire agresser gratuitement.

Mener une conquête de maintien coute que coute à la manière des dictateurs du 20ème siècle au 21ème siècle est de toute façon anachronique.

Nous ne devons pas céder face aux menaces et à la terreur du régime de Dénis Sassou-Nguesso et de tous ses zélés. Le seul langage que ces tueurs à la tête du Congo comprennent est celui de la force.Nous devons combattre ses gens! Nous ne cèderons pas devant les menaces et nous démontrerons que l'avenir appartient à ceux qui construisent le Congo, pas à ceux qui détruisent le Congo.

Leur propagande de terreur auprès des populations congolaises a pousse des jeunes gens à se rallier à eux pour servir leurs intérêts, a transformé des étudiants congolais en supporter ignares. Nous devons offrir une vision alternative aux Congolais.

Les jours du clan d'édou-oyo-olombo-gamboma sont comptés.

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De la fermeté pour le redressement du congo-Brazzaville

16 Septembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Dans les deux années qui viennent, le gouvernement va être sur une ligne assez agressive, pour hérisser la majorité des congolais en cognant fort toutes les voix qui diront NON. Il sera dc utile de surréagir à un exécutif épuisé. Il faudra prendre les mesures positives, critiquer les carences et, surtout, préparer l'avenir. Et pour cela, nous ns devons dénoncer fortement la barbarie et la peur qu'ils veulent instiller ds tout le pays actuellement. Nous assistons à une mutation rapide du système sassou et des zélés de ce régime avec des milices surarmées, des institutions types armées, gendarmerie, police, les services secrets et de renseignements, complètement détournés au service d'un clan, d'une tribu, de quelques régions du nord. Nous le disons haut et fort, les voyous seront poursuivit et décapités, les barbares-enléveurs et autres violeurs braqueurs seront pourchassés et leurs vie mises à prix. L'armée sera dissoute, idem pr la gendarmerie, police et tous les services dits "secrets" au Congo-Brazzaville, pr rétablir un Etat de droit et de Liberté. Aujourd'hui le banditisme au Congo-Brazzaville est en libre accès, encourager et soutenu par les hommes du pouvoir.

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Toute éducation est une éducation à la liberté! Efficacite avant tout dans le système éducatf congolais.

14 Septembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Le grand Think tank Génération Tangible fait ici un acte de foi dans l'école congolaise de l'après sassou et son système et de ce qu'elle peut devenir après tout ce système corrompu et amateur. La vision pour un système éducatif efficace au Congo-Brazzaville doit-être a un alliage d'énergie et d'une créativité raisonnées, qu'il nous faut mettre au service de l'élève congolais.

Avec une méthode attestée et vérifiée dans d'autres pays : repenser le système éducatif congolais de fond en comble, en s'appuyant sur les expériences réussies et sur les conclusions de la recherche. En commençant par l'école primaire, puis en montant les étages. A chaque palier, nous proposons des changements.

Notre seule obsession : la qualité de ce qui se passe dans la classe. L'école modèle la société de demain. Elle doit prôner une vision complète de l'enfant et le former aux valeurs humanistes, lui donner l'exemple de l'empathie, du respect d'autrui, de la culture du dialogue.

La maternelle doit avant tout être une école du langage, l'outil essentiel de communication avec les autres et avec soi. Elle doit faire la part belle à la pédagogie Montessori, fondée sur l'expérience et le jeu. Et doit offrir une première éducation aux valeurs comme l'empathie, cette capacité à porter attention à l'autre. C'est aussi dès ces premières années que les difficultés des enfants doivent être identifiées, avant qu'elles ne s'enkystent.

A l'école élémentaire, il ne faudrait utiliser que des méthodes d'apprentissage efficaces et éprouvées. Une affaire de bon sens. Syllabique. Les mécanismes d'acquisition de la lecture et de l'écriture sont désormais maîtrisés par les neurosciences, et ils doivent être enseignés dans les écoles de formation des professeurs que nous devront créées.

La question des refonte des bâtiments et de la dotation de nouvelles structures pour étudier, apprendre, va de soi. Les élèves doivent tous posséder un minimum de connaissances et de compétences, ce que nous appelons courant le socle commun de connaissance (calcul, écrit, lecture, parler). Socle commun de connaissance à l'aune duquel devraient se faire les évaluations nationales. Car celles-ci permettaient de repérer ceux qui s'écartent trop des résultats attendus. Pour mieux les aider, et non les stigmatiser. Il s'agira toujours de contrer l'échec scolaire qui fabrique les exclus du système et lutter contre le déterminisme social instaurer par le système sassou-nguesso.

Au collège, nous devons redéfinir le rôle du professeur. Dans la classe, où le travail devrait se faire en trois temps : Le temps magistral, le temps de l'interaction, le temps d'autonomie. L'élève doit faire sien le cours… en cours. Et le professeur doit s'assurer que les connaissances sont effectivement acquises. Mais que lui même soit aussi en amont, bien former. Entre collègues, ensuite, nous prônons d'autres pratiques : faire circuler les idées, travailler en commun, voire enseigner ensemble… L'excellence est toujours synonyme d'ouverture. Nous souhaitons aussi la création de maison des parents pour que ces derniers soient inclus dans la communauté éducative, dans laquelle comptera aussi le personnel administratif.

Enfin, pourquoi ne pas repenser la division même en classes ? Envisager un collège modulaire, un parcours plus personnalisé des élèves congolais, qui auraient à franchir une dizaine de paliers en français, en maths…en quatre ans ? Appliqué dans les pays scandinaves, ce principe fonctionne bien. Enfin, comme cela se fait dans les pays Nordiques en Europe, nous plaidons pour l'introduction de travaux manuels qui permettraient de valoriser la variété des talents des élèves.

Le lycée doit devenir un lieu d'initiative et de responsabilité, où les élèves développent l'esprit d'entreprise, notamment dans des ateliers, des jeux de rôle, voire en créant des juniors entreprises. Il s'agit de lutter contre cette inhibition de l'action qui nous fait tant de mal et qui empêche nos élèves de s'exprimer ou de prendre des risques. Avec un apprentissage au Numérique, à la programmation informatique dès le primaire.

Nous proposons de rééquilibrer les filières générales, techniques, introduire de l'apprentissage dès l'âge de 15 ans et appuyer les filières professionnelles. Quant au bac, pas question de le supprimer, mais bien de le revisiter, en le recentrant sur l'essentiel. Quelques épreuves-clé suffisent à déterminer le niveau de l'élève, comme le prouve la recherche en éducation.

A tous les niveaux enfin, le système éducatif congolais devra être piloté autrement, en faisant la part belle à l'autonomie. Celle-ci doit permettra aux établissements de recruter leurs propres équipes, d'obtenir des moyens supplémentaires sur la base de contrats d'objectifs de Moyens et de Gestion avec l’État, qui mobilisent les équipes. Mieux vaut une incitation forte qu'une obligation faible. Expérimenter, avant de généraliser, tel est notre règle d'or. Responsabiliser! L’efficacité avant tout!

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Pourquoi les Sassou-Nguesso fils-filles-oncles-neveux et autres, okombi, Ndzon, ne sont pas prêt à gouverner

6 Septembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Alors que nombres de congolais se rallient à la cause perdue du clan d'Edou-Oyo-Gamboma pour la pérennité du régime cleptocratique en place au Congo-Brazzaville depuis le coup d'été sanglant de 1997, chez les expatriés de la diaspora, tout comme ceux surplace, pour la continuité ou le changement dans la continuité de ce régime absurde et anachronique doublé d'incompétence pour 2016 et après. A Génération Tangible, nous nous sommes interrogé sur la capacité de ces gens de petites vertus, voire basses vertus, à gouverner ce pays et ce peuple.

«Nous sommes prêts à prendre la tête du pays si les congolais le souhaitent» disent certains à "Jeune Afrique" (ce pseudo journal qui fait l'actualité des dictateurs africains). «Nous sommes prêts à gouverner le Congo après sassou-nguesso dénis» déclare certains, congédier par le même il n'y'a pas si longtemps après avoir été avec lui. Ces scénarios, qui galvanises une partie de la population, effraie le plus grand nombre, notamment certains commentateurs politiques sérieux et professionnels, certains intellectuels clean, ceux qui n'ont eu de cesse jusqu'à récemment de tenter de mobiliser les populations congolaises contre ces gens et ce clan et son système. Il y a, de fait, de quoi être terrifié lorsqu'on s'intéresse au corpus théorique du clan Sassou-Nguesso, de tous les autres laquais et des personnes comme Ndon, Okombi Salissa et d'autres encore mais pas par sa dangerosité, par sa vacuité. Vacuité politique. Vacuité théorique.

D'autant plus que du côté du clan, nombreux sont comptable du bilan chaotique du pays à divers postes à responsabilités qu'à confier Mr leur père "DRH de sa famille" à la tête du Congo-Brazzaville depuis trente cinq ans à présent. On pourrait puiser dans l'histoire de la pensée politique congolaise des Royauté-Chefferies jusqu'à Massamba Débat sans trouver aucun penseur du politique qui puisse venir irriguer ces personnes de ses idées ; ni Fulbert Youlou, ni le Roi Makoko, ni, bien évidemment, Yhombi ou le roi Loango, ni Massamba Débat d'ailleurs... pas même Machiavel. Sur quoi repose-t-il alors? Principalement sur un culte de la personnalité, brodé de sophismes et d'amalgames.

La pierre d'angle de l'idéologie de ces personnes est celle du chef, du sauveur, de l'homme providentiel, d'où le culte de la personnalité qu'ils se tient tous et toutes à entretenir à coup de millions déversés tous azimuts pour corrompre, phagocytés, faire taire, "mabanga". Le chef, dises les occidentaux dans les démocraties murent, c'est celui qui sait à la fois se faire obéir et se faire aimer. Ce n'est pas celui qu'on impose mais celui qui s'impose. Tous ces opportunistes fonctionnent sur le même modèle, du clan sassou-Nguesso fils-filles-oncles-neveux, laquais aux Ndzon, okombi et autres pseudo opposants : s'imposer au moyen du pathos au détriment du logos, de la ferveur aveugle et achetée au détriment d'un raisonnement construit et destiné à éveiller les consciences, doublé des bilans étayés. S'il y a là une habileté politique contestable, celle-ci est en plus doublée d'une imposture intellectuelle.

Ces gens n'ont rien de "géniaux" comme disent les ingénieurs "d Airbus"! Aucun brio dans le maniement de l'art politique dans toute sa grandeur, simplifiant à l'envi leurs propos, jouant avec les champs sémantiques dont ils n'ont même pas la maîtrise, travaillant à donner l'impression de détenir LA vérité, laissons croire qu'ils comprennent les souffrances des populations congolaises et qu'ils seront à même de les résoudre. Cette dimension populiste n'est en réalité rien d'autre qu'une lutte contre l'intelligence, de l'imposture en posture.

D'aucuns ont saisi le bon sens pour en faire une arme idéologique, ce «bon sens» n'a malheureusement plus la signification que lui conférait Descartes ; il est devenu synonyme de pensée simplificatrice, de dépouillement intellectuel, finalement, de technique rhétorique destinée à abuser du sens des mots et du pouvoir des idées. Une étude un tant soit peu détaillée montre l'absurdité des prétentions des ces personnes: Les congolais auquel ces gens prétendent s'adresser sont en réalité introuvable ; ils sont tous une erreur d'être là ; quant aux programmes des uns et des autres, ils sonnent creux.

Les dernières élections législatives de juillet 2012 sont celles qui ont consacré le fils et la fille dans une pseudo carrière politique embryonnaire. Qu'en est-il réellement? Les scores obtenu était fallacieux. Mais ces seuls chiffres, comme n'importe quel chiffre, ne signifient rien dans ce Congo au corps électorale et au processus électorale plus que douteux. Quelle quantité de personnes représentaient-ils? Outre les "béni Oui-Oui" ? Rappelons-nous que pour accéder au pouvoir, leur père Dénis, montor pour tous les autres, n'a pu le faire que par des coups d'états ou des assassinats, jusqu'à ce qu'il soit platement battu par Lissouba (autre illuminé) lors d'une vraie élection, idem pour le PCT qui gagne tout aujourd'hui, quand autrefois il ne faisait que de piètre score oscillons entre 0% et 2%. On voit bien que la montée du clan sassou-nguesso, du père aux derniers laquais et autres Ndzon, okombi et tous les autres est donc avant tout une position communicationnelle.

Après nous être arrêtés un instant sur la supercherie électorale, faisons de même pour le programme (en tout cas l'ébauche qu'ils achètent ou copie-colle et vont vendre aux congolais comme le fait, et l'a été la Nouvelle Espérance, aujourd'hui le Chemin d'Avenir, Ndzon qui copiât le programme de ségolène royale sans sourciller). Sur quel socle s’appuiera ce pseudo-espoir d'accéder un jour aux plus hautes fonctions de la République du Congo-Brazzaville (M'FOA)? Sur des propositions, dont, il faut le dire, on peine parfois à déceler la pertinence. Déjà que les bilans sont à gerber.

Du vide, du creux, rien! Tout cela laisse songeur…

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Il n'y a pas de vent favorable à qui ne sait pas où il va!

31 Août 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

In God We Trust.

Le Congo a plus que jamais besoin d'une nouvelle génération qui parle clairement! Et qui porte une vision novatrice et tonitruante pour l'essor du pays!

Au-delà de leurs apparitions tonitruantes – j’ai été comme beaucoup éberlué par sa conférence de presse sur face à la diaspora récemment à Clichy la Garenne en Région Parisienne par Mathias Ndzon – la pseudo opposition "modérée/radicale", dite de l'intérieur, est symptomatique d’une méprise fondamentale des populations congolaises, des expatriés de la diaspora, ces vieux qui n'y connaissent rien à la politique et au de l'opposition, mais aussi de l’Etat au XXIe siècle. Monsieur Mathias Ndzon, proclamant son pragmatisme absolu, dénonçant au passage le système auquel il veut lui même y re-participer encore( car il a vite fait d'oublier qu'il a été déjà à la mangéoire), il a au contraire symbolisé un réel dogmatisme, un anachronisme indescriptible, tant il est hideux!

Nous l'avons toujours dit à Génération Tangible, la pseudo opposition congolaise, dite de l'intérieur, n'est pas crédible pour porter le Congo vers des cimes, en tous points! Le Congo auquel nous travaillons, nous aspirons, ils n'en font pas parti. Dépassés de partout. Sujet et débat clos!

Les chiffres de croissance artificielle congolaise, d’emploi, d’investissements étrangers sont malheureusement le témoignage d’un échec cuisant de la non-politique menée par sassou et ses équipes. C’est un des chantiers fondamentaux pour Génération Tangible : réconcilier les Congolais avec leur économie et redonner à l’Etat sa crédibilité et la confiance aux Congolais.

Sur la mission de l’Etat – c’est d’un Etat entrepreneur dont nous avons besoin pour l'essor du pays. A l’opposé d’un laisser-faire absolu qui stimule les inégalités et encourage le court-termisme comme c'est le cas actuellement. Mais également à l’opposé d’un Etat stratège : comment imaginer en effet que dans un monde évoluant de plus en vite, l’Etat aurait les moyens de comprendre aussi vite que les acteurs concernés – les entreprises, les salariés, les ONG – les évolutions, voire les anticiper ? A l’opposé aussi, évidemment, d’un Etat industriel, qui est souvent la tentation de l’Etat stratège – « appliquons nos préconisations et faisons-le nous-mêmes puisque les entreprises ne suivent pas toujours » – et pour cause, puisqu’il n’a ni les capacités humaines ni la réactivité pour anticiper les évolutions du monde économique. C’est d’un Etat entrepreneur dont nous avons besoin, un Etat qui se concentre sur ses forces – sources d’efficacité et de réussite –, qui remplit ses missions essentielles et les remplit bien – source de motivation de ses agents – on pense ici en premier lieu à l’Education. Parent pauvre des non-politiques de Dénis Sassou-Nguesso! Un Etat entrepreneur qui est la force qui agit pour le bien commun : en créant un rapport de force favorable dans le vivre ensemble entres les différentes tribus du Congo, dans la création d'une vraie Nation et une cohésion paisible : un Etat entrepreneur qui investit dans les infrastructures pour que les autres acteurs réussissent et fassent croître le pays et l’emploi. Or nous ne sommes toujours pas au rendez-vous, car Jean-Jacques Bouya engloutit à ses fins personnels, tout l'argent des Grands Travaux ! C’est cet Etat entrepreneur qu'il nous faut pour recouvrer notre autorité dans la sous-région: dans les domaines du digital, rattraper les retards face aux autres, ou sur le champ de la croissance durable et solide, pour enfin résorber cette endémie qui mine notre société et nos populations qu’ait le chômage!

Sur l’action de l’Etat – l’Etat doit être celui qui crée les conditions pour que l’économie congolaise reprenne toute sa place comme autrefois et mieux encore!Nous voulons redynamiser l’industrie congolaise – et plus précisément de reconquérir la chaîne de création de valeur – c'est une évidence, d'autres pays africains ont bien montré le chemin. Pas comme le fait déni sassou-nguesso et ses équipes! Mais ce n’est pas d’un investisseur direct – qui a fait preuve de performances médiocres dans les trente dernières années – dont nous avons besoin, mais d’un investisseur qui miserait sur les investisseurs professionnels. En ce sens, nos propositions pour redynamiser notre économie de marché sont les plus prometteuses du plein emploi au Congo-Brazzaville grâce à la "Quatrième Voie". De la même manière, c’est une hérésie que presque plusieurs milliards d’argent public aillent chez des pays africains, voisins parfois – là où des investissements intelligents auraient probablement permis et favoriser l'entrée dans le marché du travail de nombreux congolais, et donc l'avancée du pays!

Sur la stratégie de l’Etat. Comme tout entrepreneur, ONG, salarié, on doit se concentrer sur ses forces, source de réussite et de satisfaction. La grande force de l’Etat, c’est l’immense chance de pouvoir réfléchir à long terme. Ce long terme qui est de moins en moins permis aux acteurs privés du fait des contraintes du financement, de la concurrence internationale, de la volatilité des situations sur les plans social (on pense au digital), géopolitique, économique. L’éducation, les infrastructures, voilà des chantiers où il est essentiel de penser long terme – et ce sont les chantiers les plus importants qui soient. Ce sont des investissements « financièrement » non rentables à cinq, dix, quinze ans, mais qui sont les plus rentables, dans tous les sens du terme, sur vingt, vingt-cinq, cinquante ans. C’est une hérésie – et probablement la grande bataille des systèmes dans les années à venir – que ce soient aujourd’hui des Etats autoritaires qui aient le monopole du long terme. Les démocraties doivent reconquérir ce terrain pour retrouver leur légitimité auprès de leurs populations et ne pas se laisser distancer. Plus que des actions ponctuelles, des paillettes médiatiques et des bilans invérifiables en termes de soi-disant emplois créées, c’est le long terme, la plus noble des batailles, que doit reconquérir l’Etat. C’est ainsi que, très rapidement, il pourrait reconquérir la confiance des Congolais, qui ne s’y tromperont pas.

Le tout n'est pas de savoir si l'on fera mieux ou moins bien que Dénis Sassou-Nguesso, le tout, c'est de retrouver la confiance des congolais.

Génération Tangible s’appuie sur l'opinion, osant avec audace et disons les choses nommément pour contrer les oppositions corporatistes, nous, dirigeants potentiels et futures d'un Congo fort et développé, devons avoir le courage de trouver le chemin du changement, d'en expliquer le sens et de convaincre. Un nouveau Congo, oui, mais avec un plan d'ensemble et une vision d'ensemble pour réorganiser efficacement la sphère publique, politique, économique et sociale. Réformer, mais sans idéologie, notamment le marché du travail et le système de retraite, la fonction publique. Enfin, conduire des politiques de compétitivité, en dotant le Congo d'entreprises solides, notamment en baissant la fiscalité et les cotisations sociales des entreprises comme nous l'avons déjà prescrit dans notre grand programme d'ensemble sur les 7/8 grands points "La Quatrième Voie". C'est l'ensemble de ces changements qui donneront la possibilité, dans les contraintes qui sont les nôtres aujourd'hui au Congo-Brazzaville, de protéger durablement nos peuples et avoir un niveau de vie digne d'un grand pays pétrolier, en combinant à moyen terme augmentation de la croissance durable et solide et réduction des inégalités construites par les Nguesso-Sassou et autres. Nous en avons déjà formuler la bonne programmation et le bon accompagnement, mais aussi le rythme et la méthode. Reste à être dans l'exercice pour exceller et réussir. Gageons que le système sassou, qui a faillit en tous points, laisse les choses aux suivants, donc, à nous, pour façonner.

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