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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K
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#NewStart- (Le #Nouveau Départ) projet politique qui vise à changer la façon dont le pays est dirigé. Assez d'une dictature traitant chacun comme un enfant!

31 Mai 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

The New Start (« nouveau départ ») est l'idée politique phare du programme électoral des Conservateurs Congolais et Africains depuis et conçu en 2020 en pleine Pandémie du Coronavirus. Elle est déclinable en programme législatif et pour tout accord de coalition et/ou de de gouvernement à l'avenir au Congo-Brazzaville entre les conservateurs et les autres partis ou plateformes. 

Le but affiché de cette idée est de créer un climat qui donne des moyens d'action aux communautés locales et aux personnes sur chaque territoire de la république congolaise, créant une « grande société autonome ou chacun se prend en charge avec rigueure, discipline et sérieux tout en rendant des comptes sur sa gestion de la chose public» qui reprendra le pouvoir accaparé par les hommes politiques iniques et cette dictature tribale, ce régime policier et surarmé qui esclavagise les congolais depuis 40 ans, et le rendra aux citoyens. Cette idée vient conforter la vision que nous avons d'un Etat envers son peuple : Plus responsable envers les plus vulnérables.

L'idée fut lancée par le programme conservateur de 2012 lors des élections législatives à Pointe-Noire dans la circonscription N°1 de Loandjili.

Le programme comprend la création de quatre (4) banques à capitaux congolais, main d'œuvre et direction puis gestion, congolaise. Ingénierie, finance, stratégie, services, congolais. Et d'une bancarisation à outrance jusqu'au plus petits des congolais, des commerçants. Les priorités annoncées consistent en :

  1. Donner plus de pouvoirs aux communautés (localisme et décentralisation);
  2. Bâtir une économie forte, puissante, ouverte à l'Afrique puis au Monde, créatrice, innovante, résiliente;
  3. Transférer des compétences du gouvernement central vers les autorités locales;
  4. Soutenir les coopératives, les mutuelles, les associations charitables et les entreprises sociales;
  5. Publier les données publiques.

Ce programme est soutenu par un réseau: la Génération Tangible Network, dont le principe est de "générer, développer et mettre en valeurs de nouvelles idées pour aider les personnes à se rassembler dans leurs quartiers, dans leurs régions, dans leurs villes, dans leurs villages pour faire de bonnes choses."

Le programme « New Start vise à changer la façon dont le pays est dirigé. Assez d'un gouvernement traitant chacun comme un enfant... traitons les adultes comme des adultes et donnons-leur plus de responsabilité sur le cours de leur vie. »

 

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Foryblan BAKOULA
Consultant Lobbyiste
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Les Conservateurs Congolais promettent de libérer le Congo-Brazzaville par ordonnance en six mois.

24 Mai 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Le pays est dans un enfer économico-social indicible. Pour sortir le pays de ce marasme, nous, les Conservateurs Congolais et Africains avons travaillés au sein de shadow cabinet du Think tank Génération Tangible sur le Projet et Matérialiser notre vision via Le #NewStart #NouveauDépart.

Ainsi pour ce faire, nous disons aux populations congolaises de ne rien espérer comme déjà depuis 40 ans, de cet énième forfait électoral et de ces gouvernants et gouvernements qui ne servent que les intérêts des même. Ça c’est dit et c’est fait.

Nous avons de grandes réformes, couchées dans notre vision #NouveauDépart #NewStart, que nous déciderons par ordonnances au cours de nos six premiers mois de gestion, de gouvernance à la tête d'un Congo Libre et Libérer. #Pouvoir.

Il nous faut retrouver le goût de la Liberté, la liberté d'entreprendre, de jouir sans interdits, de créer, d'innover, d'inventer, de réfléchir librement tout haut et fort sans crainte d'être muselé où intimider. La liberté de s’exprimer sans avoir à subir les foudres du politiquement correct. Il faut renouveler en profondeur la vie politique congolaise qui est inexistante et à la main de vendus, d'incompétents, traîtres et vassaux du dictateur. Dissoudre le PCT et ses satellites. **

 Il est de notre responsabilité de rassembler après avoir nettoyé, chicoter, ranger, mis de l'ordre dans le pays.

En six mois, adoptons les grandes réformes par ordonnances. Et nous aurons alors tout le reste du temps pour gérer, les appliquer, les évaluer et bien exécuter, car toute bonne idée foire par la mauvaise exécution, l'absence de contrôle, de rigueur.

Peuple congolais, nous avons en réalité Cinq grands chantiers à conduire dans le pays pour notre population pour redonner plus de liberté aux congolais, du travail, de l'éducation, de la santé, pour qu'il fasse bon vivre au Congo.

Il faudra tout d'abord #Libérer #l'école, avec plus d'autonomie et de moyens pour l'Education Nationale qui devra être le 1er poste de dépense et le plus fort et gros budget national dorénavant ainsi que la Formation professionnelle et l'Insertion Professionnelle et l'Accompagnement de l'évolution professionnelle. Elle sera plus autonome, responsabilisera, et les personnels et les gestionnaires, afin qu’ils ou elles, rendent des comptes. La culture des comptes à rendre à la population doit devenir LA règle.

#Libérer également le #Travail pour faciliter l'embauche de Tous les congolais à tous les niveaux avec de très bons salaires à tous les niveaux d'emplois et d'employabilité, avec dans certains secteurs créer des contrats zéro heures, sans charges. Nous créerons les 45 secteurs d'activité dont notre pays a besoin pour compter dans le concert des pays riches industrialisés, mais en Afrique avec notre culture africaine et non pas occidentale. Avec des semaines de 40h avec des temps de récupération, des Congés Payés, des Congés pour création, sabbatiques, des avantages fiscaux d'épargne salariale, une meilleure TVA, une TVA Sociale. Nous plaidons pour économie circulaire dans le respect de notre environnement, de la main d'oeuvre. La pratique des heures supplémentaires, horaires de nuits payés Triples avec un smic horaire que nous instaurerons à 15 000 FCFA de l'heure Brut soit 10000 FCFA de l'heure Net pour un salaire net mensuel hors charge à 400 000 FCFA et 5000 FCFA pour les charges. Ceci sera le premier palier de rémunération dans tout le pays. Les salaires bas seront exonérés de charges. Mieux accompagner les jeunes et chômeurs avec la création des emplois de Travailleurs Sociaux, de Conseillers, dont le matériau de travail sera l'Humain : des Ingénieurs de l'Humain pour son insertion sociale et professionnelle. Mettre en place des contrats de travail simplifiés et stables pour tout le monde. Réserver les contrats courts pour des besoins ponctuels, de renforts, d'accroissement d'activité ou de remplacement. La mise en place de Contrats de travail Unique ou les droits des salariés augmenteront avec le temps. Ici aussi nous plaidons pour l'activité et pas le type de contrat. La #bancarisation pour tout et pour toutes et tous. Fin de la liquidité pour éviter la fraude, le blanchiment d'argent. Mise en place d'une TVA anti-délocalisation, sur les importations. Forcer à tout faire local, transformer localement, acheter local.

Il faudra #libérer les congolais d'une #fonction #publique obsolète, inefficace, tribalisé ainsi que #l'armée et tous les #forces de l'ordre et les #services d'intelligence, mais aussi la #Douane. Tous ces services oppressants devenus au service d'un clan, d'un régime, d'une famille. ** NOUS Y METTRONS FIN.

Autres objectifs: #libérer les générations à venir du fardeau de la #dette de la dictature, en réformant en profondeur notre #modèle #économique et #social, en favorisant des moratoires sur les dettes contractées tous azimuts par ces gens. Et bien sûr avec une puissante réforme sur les #retraites des congolais et l'accès au #Marché du #Travail, de #l'Emploi et de la #Formation. ** Réforme qui actera le départ en retraite à 60/65 ans MAX avec un seul régime général, plus jamais de fonction publique. Nous aurons des personnes de droit privé. Des régimes privés afin de préparer soi-même sa retraite avec de belles pensions.

Suppression également de tous avantages dus aux étrangers installés au Congo. Reprise des terres, de notre économie. 

Enfin, il faudra #libérer le Congo de la bureaucratie tribaliste et du Tribalisme.*

Sortir et en finir avec l'imbécilisation collective. Mettre fin à cet univers rempli d'incompétents où tout est kafkaïen.

 

Foryblan BAKOULA

Leader majeur des Conservateurs Congolais & Africains - Président de Congo Industrie

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Notre ardent désir d’être utile aux Congolais

24 Mai 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Peuple congolais : allons-nous attendre 2031, date de fin des mandats du dictateur (qui mourra en cours de route, comme Bongo père autrefois), pour sortir le pays de l’ornière...? Du marasme économique …? Au risque de se voir commander, grâce à l'armée tribalisé, aux mercenaires, aux corrompus congolais, les enfants ou la famille du dictateur.?

 Nous édictons 3 principes pour une croissance inclusive dans notre pays le Congo-Brazzaville :

 Depuis près de 40 ans, l'économie congolaise est inexistante. Comment la bâtir, la fortifier et la relancer ?

Tels sont les chantiers de notre réflexion que nous livrons aux populations congolaises. Après tout, il est un sujet sur lequel nous économistes sont à peu près tous d'accord: ce qui nous conduit à travailler, à produire, le fondement de la création de richesses, c'est "l'effort naturel de chaque individu pour améliorer sa condition qui nous accompagne depuis le sein de notre mère et ne nous quitte pas jusqu'à la tombe."

 Certes, ajoutait Adam Smith, "livré à lui-même, l'homme pourrait à peine subvenir au plus élémentaire de ses besoins". C'est l'effort de tous, rendu efficace par la division du travail, "qui fournit toutes les choses nécessaires et commodes à la vie": la clé du progrès, dans la lutte collective contre la rareté qu'est l'activité économique. Cela est donc valable pour la Libération d'un peuple opprimé, esclavagisé depuis 40 par un homme, un clan, un système.

 Mon peuple congolais, nous adressons ici à toutes et à tous, même aux fanatiques du régime, à ses plus fervents soutiens qui vivent grâce à sa pérennité, où font vivre les leurs grâce à lui.

 Nous devons savoir faire des choix pour nos vies, dans nos vies, mais aussi au-delà, pour le pays. Car ce sont les décisions individuelles qui sont à l'origine, en économie, de la croissance, et pour nos vies, des changements profonds amenant à la progression, l'évolution et in fine, l'épanouissement/le bonheur.

 Donc, la 1ère chose à savoir faire, c'est apprendre à faire des choix. Pour obtenir une chose dont on a envie, on doit renoncer à une autre pour laquelle on avait de l'intérêt. C'est la conséquence de la rareté des ressources. Chacun doit en permanence prendre de telles décisions, pour l'allocation de son temps ou de son revenu par exemple. 

 Le deuxième principe est que le coût d'un bien est ce à quoi l'on est prêt à renoncer pour l'obtenir. C'est ce que l'on appelle le coût d'opportunité. La comparaison des coûts est naturellement un élément déterminant du choix, même si elle n'est pas toujours réalisée sur des bases objectives, faute d'information ou de réflexion. Pour comparer, les gens rationnels pensent en termes marginaux. Tel est en particulier le cas des entrepreneurs: ils n'engagent une action que si, et seulement si, le bénéfice marginal de celle-ci est supérieur à son coût marginal.

 Le principe de la Bonne Influence. Enfin, et c'est là un principe important pour les responsables économiques, les gens réagissent aux incitations. Puisqu’ils prennent leurs décisions en comparant coûts et avantages, leurs choix se modifient si les termes de la comparaison changent.

 Ils sont sensibles à l'évolution des prix (pour leurs achats), à celle de la rémunération de leur travail (pour leurs activités professionnelles) ou de leur épargne (pour l'affectation de celle-ci), comme à celle de la rentabilité de leurs investissements (pour les entreprises).

 L'Etat peut donc les influencer par des incitations financières ou réglementaires. Dans un contexte de reprise et de sortie de la pandémie en Afrique et au Congo-Brazzaville, nos perspectives de croissance vont dépendre du niveau des dépenses d'investissement des entreprises congolaises et des ménages congolais. Il faut créer un climat de confiance. C'est l'objectif du pacte compris dans le Projet/pacte/vision #NewStart #NouveauDépart. Il faut concrétiser la promesse de l'Amélioration du Quotidien de chaque congolais sur tout le territoire national. Pour créer des perspectives crédibles de relance économique et être utile aux congolais et au Congo, contrairement à ceux qui sont là depuis 40 ans, il nous faut réduire drastiquement les dépenses publiques, l'endettement inutile auprès des institutions de Brettons Woods, fondée sur des réformes structurelles qui assureront sa pérennité. 

 Côté ménages, c'est la réduction du chômage avec l'avènement du Plein emploi pour les congolais de tous âges, notamment celui des jeunes, qui paraît prioritaire. Les métiers industriels, de la main seront très bien adaptés et valorisés.

 Faire une campagne de promotion des métiers industriels; manuels à forte valeur ajoutée et rémunératrice, afin de susciter l'intérêt des jeunes au travail; à la rigueur intellectuelle et au sérieux de qualité.

 L'Etat dispose de multiples instruments financiers et réglementaires pour influencer les comportements économiques. Seul un climat de confiance et d'ouverture aux congolais peut en assurer l'efficacité, pas en ostracisant les filles et fils du pays qui ne pensent pas comme vous.

 

Foryblan BAKOULA

Président de Congo Industrie.

Leader Politique des Conservateurs Congolais et Africains - 

Consultant Lobbyiste

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NOUS CONSERVATEURS CROYONS AU PLEIN EMPLOI AU CONGO-BRAZZAVILLE ENTRE 2032 ET 2042.

24 Mai 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Je crois, moi Leader Politique Majeur Congolais, au plein emploi d'ici 2050 à condition notamment que tous les congolais œuvrent à ce projet, mettent fin à la dictature de 40 ans de Sassou-Nguesso et sa famille et bande, mettent fin à tous les partis politiques au Congo et que la nouvelle classe que nous représentons et représenterons mise sur les apprentissages et la rigueur dans la conception à l'Exécution.

La crise sanitaire pourrait avoir raison de milliers d'emplois dans notre pays, déjà qu'il n'y en avait pas. Pourtant, nous Conservateurs Congolais et Africains, continuons à croire au plein emploi en 2042. Il faut du cœur et du courage, car nos solutions contenues dans notre Projet/Vision - #NewStart #NouveauDépart - pour créer 3 millions d'emplois sur dix ans (de 2032 à 2042).

Vu l'état chaotique de notre économie au sortir de la Pandémie Mondiale du Coronavirus depuis plus d'un an maintenant, on risque malheureusement de perdre 500.000 à 1 million d'emplois dans les prochains mois. Dans ce cas, il faudra en recréer 2 millions pour passer à 2% de chômage sur toute l'étendue du territoire national. 

Pour ce faire, cinq conditions doivent être réunies pour y arriver. Il faut donner un cap et que cet objectif soit transpartisan, transrégional, transethnique. Ensuite, il faut aller chercher la croissance dans le digital, dans l'écologie, dans les infrastructures et la compétitivité. Car si le Congo-Brazzaville n'est pas compétitif, les investisseurs iront ailleurs. En finir avec les problèmes d'énergie et d'approvisionnement d'énergie des ménages, des entreprises, de l'industrie, une énergie diversifiée et de grande qualité, puissante.

Donc, l'on voit bien ici pourquoi ils tournent à vide depuis 40 ans, et pire encore, il créer des ministères pompeux sur les partenariats public-privé et la Coopération; des coquilles vides, juste pour permettre au fils d'amasser encore et toujours un trésor de guerre financier et humain pour espérer succéder à papa.

Mais si vous faites tout ça et que vous ne trouvez pas les apprentis, les ouvriers, les ouvrières, les paysannes, les paysans, les ingénieurs, les techniciens, les BTS, ça ne marchera pas. Il y a un gros travail à faire sur les apprentissages, la formation de haut niveau, de qualité, paramétré, sur-mesure, à la carte adaptée aux besoins de chaque territoire, chaque personne telle que constituée intellectuellement. Nous avons trop de Prolétariat cognitif (des diplômés sans emplois) mal formés, peu formés, des illettrés et autres analphabètes, ça ne peut pas marcher avec ça, le développement ou l'essor du Congo. Il faut redorer le blason de l'industrie au Congo. Pour nous, le dernier pilier est la confiance.

Si nous ne faisons rien, je parle ici du peuple qui acclame ses bourreaux et lui trouvent des raisons, la situation pourrait s'aggraver dans les mois/années à venir pour le pays, mais surtout pour les populations, à obstruer l'avenir de chacune et chacun dans ce pays-là.

 

 

Foryblan BAKOULA

Leader Politique Des Conservateurs

Président de Congo Industrie

 

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POUR NOUS #CONSERVATEURS, IL EST TEMPS QUE LES 1% DES FAMILLES CONGOLAISES AYANT PRIS LE PAYS ET LE PEUPLE EN OTAGE DEPUIS 40 ANS, LES PLUS RICHES PAYENT "LEUR JUSTE PART" D'IMPÔTS APRES AVOIR SPOLIER LE PAYS.

24 Mai 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Pour doper la compétitivité de notre pays le Congo-Brazzaville et régénérer sa classe moyenne, nous, Conservateurs Congolais, mettant sur la table un nouveau plan de dépenses massives d'aides à la famille et à l'éducation, qui serait financé en faisant payer aux 1% les plus riches leur juste part.

 

Les Nguesso-Sassou, vos enfants et petits-enfants seront jugés avec les lois du présent en temps opportun sur vos actes et votre passé. Et ils paieront et vivront avec cette humiliation, comme le vivent aujourd'hui, les enfants Bokassa, Mobutu et les autres des dictateurs précédents à travers le monde.

 

 Nous #ConservateursCongolais présentant un plan pour régénérer la classe moyenne congolaise à travers notre vision et notre projet pour le Congo et les Congolais, dénommé #NewStart #NouveauDépart, payé intégralement par les plus riches, qui verront leurs impôts augmenter. Nous taxerons massivement les terres, les villas les comptes, les biens meubles et autres autour d'un taux d'imposition à 90%.

A cela il faut ajouter le plan massif de construction des infrastructures à travers tout le pays. Nous allons montrer au monde entier combien nous sommes un peuple travailleur, rigoureux et zélé.

 Nous sommes en concurrence avec tous les pays africains et d'autres pays du Monde pour gagner le 21e siècle. Nous devons faire plus que reconstruire, il faut reconstruire mieux. Réfléchir congolais, penser congolais, aimer congolais, travailler congolais, produire congolais, vivre congolais et acheter congolais.

Pour gagner cette compétition, nous devons faire les investissements d'une génération dans nos familles, rapatrier tous les capitaux volés, sortis du pays et placé dans des comptes offshores à l'étranger un peu partout.

Nous allons traquer tous l'argent volé du peuple congolais, traquer toutes les personnes voulant échapper au Fisc congolais. Nous prévoyant aussi dans notre vision, de moderniser l'administration fiscale, bien que nous en finirons avec la fonction publique d'Etat.

Le Projet #NewStart #NouveauDépart entend mettre le paquet sur l'éducation, la santé, la formation et la sécurité: de la maternelle à l'université pour Chaque congolaises et congolais. Il offrirait la gratuité pour les trois premières années d'école maternelle et aussi pour ses années d'études au primaire, dans le secondaire et à l'Université. Augmenter la qualité de l'enseignement technique, les métiers manuels devront primés sur les métiers "dits intéllectuels" à la carte, sur-mesure aussi et développer les moyens pour la Recherche.

Pour nous Conservateurs Africains, scolariser dès la maternelle rapporte, à terme en contribution au PIB du pays, trois fois plus que ce que cela coûte. Des crédits d'impôts pour les familles avec enfants, seraient relevés et le coût des gardes d'enfants subventionné, selon ses revenus.

Organiser notre société sans rien copier des autres. Ni subir.

La Justice Sociale

 

 Foryblan BAKOULA –

Leader des Conservateur Congolais & Africains –

Président de CONGO INDUSTRIE.

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Le Congo-Brazzaville poursuit son sommeil économique et social

19 Mai 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

En ce mois de mai 2021, le dictateur de 40 ans de règne inique sur le Congo à fait nommer un forgeron sans foi ni loi pour achever son rêve de népotisme et de succession à la tête du Congo par ses enfants. Ce pantin de nouveau 1er ministre a donc l’occasion d’offrir des strapontins ministériels aux membres de la famille du dictateur afin de « préparer sa succession » et l’achèvement de l’esclavagisation des congolais comme cela s’est déjà fait au Gabon voisin, actuellement au Tchad et un peu partout en Afrique (Togo, etc).

Le Congo-Brazzaville, notre très et si beau pays où il fait si bon vivre, longue litanie des espérances déçues ? Ce n'est pas le prometteur mais finalement décevant peuple congolais qui démentira cette assertion. Malgré les appels de presque tous les congolais courageux et réfléchis à bouter dehors la dictature de 40 ans au prix du sang des martyrs, les congolais se sont résignée à pousser à nouveau le rocher de Sisyphe de notre #Libération définitive et totale, sans résultats concrets en Mars 2021, avec une ènième élection aux résultats connus d’avance.

Les déclarations d'intention comme aux précédentes « élections » des plébiscitent surtout, furent nombreuses mais les concrétisations seront plus rares. Il convient de rappeler que le social des congolais est avant tout une compétence à traiter régionalement selon les spécificités économiques de chaque région. On le sait, Les pays ne se construisent que lors de crises économiques et sociales, et d'aucuns, comme les #Conservateurs Congolais, considèrent que le Covid marquera, avec le recul, le début d’un nouveau Congo, d’une nouvelle Afrique. Nous qualifions d’ores et déjà la nomination du stupide fils du dictateur comme un strapontin qui n’ira pas loin et il en fera rien, sinon, pratiquer son sport national : volé l’argent public pour son enrichissement personnel et entretenir ses multiples conquêtes et tous ses bâtards qu’il chie ici ou là, pensons asseoir sa postérité. Que les congolais n’en attendent rien, ni de lui, encore moins de ce gouvernement, et de son pseudo 1er ministre. Cela a au moins le mérite d’être clair. On prend les mêmes qui depuis 40 ans ont mis le pays parterre et on recommence, avec des titres ministériels pompeux et creux, rien dans le contenu.

 

Toujours les mêmes, sans foi ni loi, aucun amour pour la patrie, pour le peuple.

 

Mais cela n'a pas empêché le dictateur avec ses blancs payés à coup de millions d’euros pour faire sa communication et vendre une fois de plus du vent aux congolais, surtout, à sa jeunesse immature…Comme si beaucoup de Congolais rêvaient de rejoindre les standards français, avec une dépense publique élevée, un niveau de prélèvements obligatoires records, pour un taux de chômage supérieur à 8 % en quasi-permanence et un niveau de pauvreté sans égal en Europe malgré de généreuses et dispendieuses aides sociales, dont sont friands tous les africains en partie qui viennent y vivre.

 

Alors, disons les choses une fois pour toute aux gens : deux sujets sont particulièrement attendus par les congolais aujourd’hui et pour l’avenir :

 

le premier est celui du salaire minimum congolais qui doit augmenter au minimum à 300 000 FCFA net, étape indispensable pour créer un marché de l'emploi puissant et sain qui aujourd'hui n'existe pas. Les multiples étrangers à qui ils laissent notre économie font ce qu’ils veulent, se font passer pour des entrepreneurs qu’ils ne sont pas en vérité. Avec ce salaire Minimum légal pour tous congolais en activité peu importe la structure, nous allons en faire partir une bonne partie. Et même pour les autochtones souhaitant entreprendre, ils seront plus respectueux de la rigueur économique. En plus des conditions de travail et d’autre droits des actifs congolais.

 

Le second thème particulièrement important pour les congolais au-delà de la sécurité et de la fin de la fonction publique, c’est l’éducation, la formation et la santé. Si aucune avancée n'est faite depuis 40 ans de dictature par les mêmes sur ce sujet, on notera qu'il est en projet depuis…vingt ans ! Le congé parental, le télétravail doivent devenir la réalité actuelle du sociale des congolais en bonne santé, bien éduqués, bien formés afin de rivaliser avec les meilleurs têtes d’occident et d’Afrique. Nous devons aussi avancer sur la réduction des différences de salaires entre hommes et femmes avec un projet prometteur que nous réservons dans notre vision-programme #NewStart #NouveauDepart. La crise du Covid va certainement fait évoluer les mentalités sur divers sujets sociaux, avec un abandon, nous le souhaitons tant, de la Médiocrité, de la brutalité envers celles et ceux qui disent les choses tout autant pour que le pays avance, sans craintes d’être brutalisés, enfermés, bâillonnés, intimidés. Ça suffit les enfantillages avec cette armée tribalisée, à la solde d’un clan, d’une région, d’une ethnie. Ça n’est pas tenable, sauf à aller vers une guerre tôt ou tard, tant vous entretiendrez l’esprit de revanche. Quel repoussoir !

 

Nous devons travailler à augmenter le taux d’emploi au moins à 80% et des créations d’entreprises stables, pérennes dans un environnement économique avec émulation. Travaillez à la Recherche & Développement et accroitre la qualité de la main d’œuvre congolaise et le panier de la ménagère. Cessez avec les slogans !

 

 

Foryblan BAKOULA

Leader Politique des Conservateurs Congolais & Africains.

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L'Industrie Congolaise décrochée, un mal qui vient de loin. Relance de l'industrie. #CongoIndustrie

28 Avril 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

La dégradation du secteur industrielle sur toute l’étendue du territoire nationale, beaucoup plus marqué qu'ailleurs en Afrique Centrale. Il est évident que l’absence de politiques publiques sérieuses orientées industrie et un cadre macro-économique puissant et favorable absente est criant. Il faut mettre en cause la fiscalité mais aussi le niveau des salaires et la faible qualification de la main d’œuvre congolaise.

La dictature penche plutôt pour le Tout Agriculture et le développement inutile des Zones Economiques Spéciales, nous nous pensons que cela est une stratégie court-termiste sans vision. L’absence de « politiques industrielles du Congo-Brazzaville » est criante. Et le programme mensonger, pour la énième fois, du candidat-dictateur lors de l’élection aberrante de Mars 2021 ne vient pas renverser un constat établi depuis longtemps : le secteur manufacturier national est inexistant quasi décroché. Le Congo-Brazzaville affiche depuis l’an 2000 la performance la plus médiocre des pays d'Europe d’Afrique Centrale dès l’accession de la dictature au pouvoir après la guerre civile de 1997, avec une désindustrialisation marquée et volontairement tuée à dessein. Zéro ambition industrielle, tout le contraire de ce qu’avait fait Massamba-Débat.

Nous qui étions autrefois un pays bien industrialisé avec une main d’œuvre très bien formée et des appétences pour les métiers industriels, sommes devenus, cons, stupides et courant derrière le tertiaire.

Il est temps que cela change. « Le Congo-Brazzaville est devenue l'économie la plus désindustrialisée de la sous-région depuis le retour du dictateur au pouvoir dans les années 2000. Depuis 1970, les branches industrielles ont perdu 2,2 millions d'emplois et la part de l'industrie dans le PIB a reculé de 80 points pour chuter à 30,4% en 2018. Cette situation nuit à la croissance, à l'emploi, aux comptes publics, à la balance commerciale congolaise. » Ce n'est pourtant pas une fatalité : nous pouvons et devons remonter la pente e Reconstruisons notre Outil industrielle, grâce à une vraie vision, une stratégie claire, des objectifs ambitieux et #CongoIndustrie.

Comment expliquer cette dégradation depuis l’an 2000 ? « Collectivement, nous nous sommes détournés de l'industrie pendant longtemps en accompagnant cette opération de sapage montée volontairement par la dictature et le dictateur. « L’industrie paie plus et reçoit moins » que d'autres, en proportion de sa part dans le PIB congolais. L’industrie congolaise ne bénéficie d’aucunes aides publiques puissantes, l’absences de cadre rigoureux. Le secteur industriel congolais souffre d'une « dégradation de sa compétitivité coût en lien avec une fiscalité particulièrement élevée sur les facteurs de production et en hausse jusqu'à récemment ». Alors même qu'elle est plus exposée à la concurrence internationale.

En revanche, à l'inverse de nombreux observateurs focalisés sur le prix de la main-d'œuvre congolaise, nous ne jetons pas la faute sur les salaires des ouvriers et travailleurs de l'industrie congolaise. La lente déchéance de l’outil industriel congolais, «ne s'explique pas par un dérapage des salaires », qui ont été très bons pendant des années, attirant du coup des talents et favorisant des vocations autrefois jusqu’en l’an 2000. Le problème de compétitivité de l’industrie congolaise vient plutôt de ce que l'on appelle le « coût du travail indirect », qui regroupe la somme des services (gardiennage, comptabilité, ingénierie…) et composants (comme les pièces intermédiaires) achetés par l'industrie auprès de ses fournisseurs étrangers. Donc, tant que nous serons dépendants, nous n’irons pas très loin…

En réaction, l'industrie congolaise, plutôt que de monter en gamme comme dans les pays industrialisés comme l’Allemagne, a souvent décidé de rogner sur ses marges, diminuant sa capacité à préparer l'avenir. Et copier la France qui nage. « Un cercle vicieux ». Elle a aussi beaucoup eu recours à la délocalisation de sa production. La dictature a volontairement désindustrialisée le pays.

Nous devons quitter l’imprécation, l’invocation et les mots pour la pratique avec des feuilles de routes claires, comme dans le Projet #NewStart et #NouveauDepart, notamment pour le réveil industriel avec un été qui va jouer un rôle d'animation notamment via la politique des filières et le plan "Industrie du futur". Alors que le secteur automobile « est quasi inexistant chez nous » et que celui de la production d'électricité vacille mais que l'aéronautique est aussi inexistante chez nous tout comme le spatial, nous devons réussir à imposer ces filières. Nous estimons que l'avenir de l'industrie congolaise s'écrit dans les deux grandes transitions d'aujourd'hui : écologique et numérique.

Nous devons mettre toute nos forces pour l’effort en faveur de la réindustrialisation de notre pays et de tous ses territoires.

Mettre sur pied des Champions industriels dans chaque domaine avec des puissants fournisseurs surplace, des Pôles d’Innovation de recherche par territoire et par Matières premières à traiter, travailler, transformer, finir, avec une exigence et rigueur intellectuel pour l’innovation, la R&D, donc la Recherche, la créativité pour une industrie 5.0 t bénéficier de près de 150 Millions de Franc CFA d’aide cumulées, pour financer des investissements et des développements industriels. Rappelons que « Le grand enjeu pour l'industrie congolaiseest de réussir à créer un environnement plus favorable. »

 

 

Foryblan BAKOULA

Président de Congo Industrie. Leader Politique des Conservateurs Africains & Congolais.

 

 

 

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Congo First, The Congolese First, la Dictature à la traîne. Le Congo et les Congolais D'Abord.

28 Avril 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Nous Conservateurs Africains et Conservateurs Congolais, prônant le capitalisme d’Etat. L’outil technologique du 21è siècle sera la technologie environnementale, autour de laquelle se joue et se jouera le leadership mondial, africain.

Nous allons puissamment et fortement taxer toutes les sociétés exploitatrices de pétrole et autres matières premières autour de 25%. Sur la question de la fiscalité nous allons augmenter les impôts pour toutes les sociétés et soumettre TOUS les congolais à l’impôts pour financer des programmes ambitieux du Projet #NewStart #NouveauDépart, infrastructures, sociales, santé, Education, Sécurité.

Dans le fond, cette stratégie consiste à créer le plus d’emplois de qualité et bien rémunérées pour chaque congolaises et congolais surplace au pays, dans le pays. Freiner l’exode rural, freiner l’immigration. C’est à cela que répondra cette politique fiscale temporaire d’entrée : le Plan d’Emploi Congolais (Congolese Jobs Plan).

Former nos jeunes à l’innovation, à la technologie de pointe et à l’industrie 5.0.

Nous devons apprendre à rédiger et forger ce qui nous est propre au Congo pour les Congolais et de même en Afrique.

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Réformons l'Armée Congolaise et la Politique Carcérale ( Les prisons- l'emprisonnement)

28 Avril 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Pour un retour de l’honneur de nos services spéciaux, de notre armée et de notre politique Carcérale afin de défendre le souverainisme et le patriotisme congolais.

 

Soldats congolais tu es censé être u homme attaché à ton pays, ton peuple, ton territoire et sa sécurité. Le Devoir de protéger et de servir LA patrie doit demeurer au-dessus de ton égo, ton ethos, ta tribu, ta région, ton appartenance politique, sociale et culturelle.

 

Être aux services spéciaux, aux services d’intelligences ne doit pas te pousser à l’excès de zèle, ou au laisser-aller. Être soldat de rang, policier, gendarme, ne doit pas être un blanc-seing ou un chèque en blanc pour se permettre de fouler au pied les lois, le droit, le respect des autres, de l’Etat.

L’heure est grave, Le Congo-Brazzaville (M’foa) est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent. Votre aliénation à un homme, un régime, une ethnie, une tribu, une région font beaucoup de mal, de dégâts au Pacte National et à la Cohésion Nationale et sociale. Nous qui, même à l’étranger, restons des fils du Congo, ne pouvons, dans les circonstances actuelles, demeurer indifférents au sort de notre beau pays et de ses institutions.

Nos drapeaux tricolores ne sont pas simplement un morceau d’étoffe hérité de la colonisation stupide des blancs, ils symbolisent la tradition, à travers les âges, de ceux qui, quelles que soient leurs couleurs de peau ou leurs confessions, ont servi le Congo et ont donné leur vie pour elle. Aujourd’hui, par vos comportements déviants, vous avez abolit le respect de « Honneur et Patrie ». Or, notre honneur aujourd’hui tient dans la dénonciation du délitement qui frappe notre patrie. A cause de votre laisser-aller, le pays est à veux l’eau, à la merci des étrangers qui vous corrompt, corrompt les politiciens. A cause de votre laisser-aller, vous laisser la dictature être là depuis 40 ans ! Sacrifions des générations entières et freinant l’Essor du pays dans tous les domaines. Par la même, vous sacrifier l’avenir de vos enfants et petits-enfants.

 

– Délitement qui, à travers un certain antitribalisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés et les tribus du Nord-Sud-Est-Ouest-Centre du Congo. Aujourd’hui, certains parlent de la haine contre les « M’bochis » les Nordistes et autres théories décoloniales, mais à travers ces termes c’est la guerre tribale, la 3ème qui va arriver après celle de 1997 que veulent ces partisans haineux et fanatiques. Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture, ses peuples, notamment ceux du Pool et veulent le voir se dissoudre en lui arrachant son passé et son histoire. Ainsi s’en prennent-ils, par le biais de fausses accusations pour aller les terrorisés, les massacrés via des prétextes fallacieux du type Ntumi, Ninjas, etc.

– Délitement qui, avec la Mbochisation et les hordes de Nordiste tribaliste qui remplisse les rangs de nos armées, de nos services d’intelligences, de nos corps en tenus, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution. Or, chaque Congolais, quelle que soit sa croyance ou sa non-croyance, est partout chez lui dans les 4 coins du Pays ; il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.

 

– Délitement, car la haine prend le pas sur la fraternité lors de manifestations où le pouvoir dictatorial utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Congolais qui veulent se libérer de la dictature exprimant leurs désespoirs et colères. Ceci alors que des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et menacent ces mêmes forces de l’ordre. Pourtant, ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires, données par vous, gouvernants.

Les périls montent, la violence s’accroît de jour en jour dans le pays (bébés noirs, viols, vols, violences gratuites, agressions sauvages, etc etc…). Nous, serviteurs de la Nation, qui avons toujours été prêts à mettre notre peau au bout de notre engagement, ne pouvons être devant de tels agissements des spectateurs passifs de vos agissements.

Aussi, ceux qui dirigent notre pays doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer la Liberté réelle, l’ouverture vraie pour tous les congolais. N’oubliez pas que, comme nous les Leaders, une grande majorité de nos concitoyens est excédée par vos louvoiements et vos silences coupables.

Comme le disait le cardinal Mercier, primat de Belgique : « Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part. » Alors, Mesdames, Messieurs, des services d’intelligences, de l’armée, de la police, de la gendarmerie, des douanes, assez d’atermoiements, de mauvaise foi, l’heure est grave, le travail est colossal ; ne perdez pas de temps et sachez que nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.

Nos prisons devront être fermés. Nous devons en finir avec la politique carcérale du pays, car elle ne répond à rien. Dorénavant, et nous assumons notre proposition : tous voyous sera exécutés en place publique pour faire exemple à tous les autres sur toute l’étendue du territoire à qui voudrait se lancer dan cette voie, autochtone ou étranger. A bon entendeur.

Par contre, si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société congolaise, provoquant au final une explosion.

On le voit, il n’est plus temps de tergiverser, sinon, demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.

 

Foryblan BAKOULA

 

Leader des Conservateurs Congolais

 

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Après la tempête salvatrice et révélatrice, il faudra faire évoluer le système de santé congolais désuet.

28 Avril 2021 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert Consultant - Lobbyiste

Les crises sont des révélateurs puissants. Elles accélèrent les transformations et poussent les systèmes à évoluer. Oui, nous allons sortir de la crise de la Covid : les personnes vulnérables vont être vaccinées, les stratégies de dépistage vont permettre de mieux maîtriser la circulation virale, sans doute certaines pistes thérapeutiques de la médecine traditionnelle africaine et congolaise prometteuses permettent d’améliorer le pronostic des patients sévères et de mieux s’en sortir face à ce virus.

Notre devoir collectif sera alors de faire évoluer le système à l’aune des enseignements de la crise révélatrice à la face du monde, des fanatiques du régime. Cette crise rappelle que la santé est la priorité numéro 1 des Congolais. Nous sommes capables de nous passer de quasiment tout si notre santé est en jeu.

On a vu apparaître, dans le langage courant, le terme « comorbidités » qui nous signifie que la santé est un concept plus large que la distinction malade et bien-portant. Il existe en effet une phase de pré-maladie qui nous expose à un risque très augmenté de maladie réelle et de ses complications. Ces comorbidités sont-elles évitables ? Oui, il s’agit principalement d’agir contre six facteurs de risques majeurs : la sédentarité, la mauvaise alimentation, la consommation d’alcool et de tabac, la pollution de l’air, les violences psychologiques, la pauvreté et l’exclusion volontaire via le tribalisme à outrance.

Comment ? D’abord en changeant d’approche et en avouant la vérité aux congolais et au Monde entier. Lutter contre la pauvreté volontaire des congolais, limiter les conduites à risques, prévenir la mauvaise hygiène de vie et protéger les plus faibles n’est pas le rôle du médecin ou du soignant. C’est le rôle du travailleur social ! Il faut créer cette classe professionnelle. Les travaux de Sir Michael Marmot, confirmés depuis, ont montré que les déterminants sociaux contribuent fondamentalement à l’état de santé des personnes. Dotons-nous d’une réelle assistance publique congolaise (APC) qui accueillera toute personne en difficulté sociale parce qu’elle a faim, qu’elle est menacée, qu’elle est à la rue ou tout simplement qu’elle est perdue. Soyons en mesure d’aider ces personnes dans le besoin avec un cadre adapté qui n’est ni l’hôpital, ni le cabinet du médecin de ville.

 

Ensuite, en cessant d’aborder les sujets écologiques, sociaux et sanitaires de façon dissociée. Les décisions dans ces trois domaines doivent être prises conjointement… et pourquoi pas au sein d’un grand ministère commun ?

Nous avons aussi découvert le goulot d’étranglement du système de santé congolais quasi inexistant et vieillot : l’hôpital. Un mouroir à ciel ouvert. Quand l’hôpital s’arrête, tout s’arrête. Pourquoi ? Parce que tout le système de santé congolais est hospitalo-centré et a été mis volontairement à l’agonie dessein. C’est une spécificité de la dictature congolaise depuis 40 ans qui va contre le sens de l’évolution de la prise en charge des patients congolais en dégradant le système qui était autrefois pas mal. L’essentiel des innovations thérapeutiques et organisationnelles est destiné à sortir de l’hôpital, mais il n’en est rien. Pas de recherche, pas d’investissement en tous genre. Ce n’est même plus une organisation qui satisfait les soignants et encore moins les aidants. Les difficultés d’attractivité de l’hôpital public congolais montrent que les soignants préféraient une activité plus mixte dans laquelle ils se sentent acteurs et responsables. A la place de qu’ils sont devenus, des mercantilistes et commerçants au sein de nos pseudos hôpitaux sur toute l’étende du territoire national.

Filières et régions. Il nous paraît par ailleurs crucial de travailler sur la structuration des activités au sein des hôpitaux du pays et du système de santé public tout entier. Tout d’abord, organiser la santé en filières (palu, cancer, diabète, maladies rares…) plutôt qu’autour des centres hospitaliers ; ensuite, régionaliser les décisions. La région est probablement la bonne échelle de gestion de la santé. Les contextes géographiques, sociaux-économiques et même culturels sont trop différents de l’une à l’autre de nos régions pour que la santé soit bien gérée à l’échelle nationale. Les disparités d’évolution de l’épidémie de Covid-19 à l’échelle régionale ont mis en difficulté les décisions nationales. Comment y remédier alors ? En positionnant des Agences de Santé Régionaux. L’agence à travers son directeur nommé par ses paires de la santé, lui conférant ainsi la légitimité pour administrer la santé localement.

Pour finir, le Congo-Brazzaville (M’foa) a été absent de la course aux vaccins mais pas aux traitements traditionnels. Sans doute, nous nous rendrons compte que les idées étaient bien là mais qu’elles ont trop souvent été bloquées ou étouffées pour de mauvaises raisons. Le régime dictatorial bloque toute intelligences et toutes les bonnes volontés et initiatives ; « les cimetières sont remplis de bonnes idées », se voit-on répondre.

Ce qui ne se voit pas par temps calme saute aux yeux lors de la tempête. Profitons du fait que tout paraisse plus clair aujourd’hui pour préparer l’action une fois les beaux jours revenus. En 2021 ? Pas sûr. Le dictateur à pris encore 5 ans, et compte bien s’y maintenir jusqu’en 2031…Donc…

 

 

Foryblan BAKOULA

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