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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K
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Tout de Suite dès l'arrivée au Pouvoir, ce qu'il faudra faire pour les Congolais

9 Mars 2020 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

Deux niveaux dans l'action politique, Macro et Micro avec un suivi séquencé, étape par étape, de la base à la pointe. Distinguer le Conjoncturel du Structurel.

Tout ça pour dire à mon peuple, que dès que nous prenons le pouvoir avec vous et grâce à vous, nous tablons sur quelques leviers rapide comme : 1- Remettre du Pouvoir d'Achat aux Congolais - de l'argent dans les tuyaux et payer les salaires les arriérés, les dettes intérieur avérés des congolais.

2 - Travailler à rapatrier tout l'argent cachés à travers le monde et qui appartient au CONGO et aux CONGOLAIS.

 

3- Lancer les travaux sur notre politique Hospitalière, de santé.

 

4- Lancé les travaux sur notre politique Educative et de Justice.

 

5 - Travailler à la refonte de nos institutions (Police, Gendarmerie, douanes, Armée, etc)

 

6- Corriger tous les voyous, bandits en col blanc ou pas qui ont pris la République du Congo et les congolais en otage!

 

7- Assainir l'environnement de vie des congolais (Fin des nuisances)

 

8- Travailler à l'amélioration de nos relations avec l'Afrique et le Monde.

 

9- Travailler à la mise en Place du Nouveau Modèle Economique et Sociale congolais.

 

10- Remettre l'environnement au centre et l'agriculture au service de l’Homme congolais. Le Nourrir.

 

11- Re-construire le pays matériellement, spirituellement, mentalement, psychiquement administrativement : faire Peuple  (Cohésion Nationale).

 

J'ai besoin de Vous, JE compte sur Vous! 

 

#NewStart #NouveauDepart

 

 

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La Nouvelle Politique d'Immigration pour le Congo du NewStart / NouveauDépart - Le Congo Audacieux.

19 Février 2020 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

Le Congo-Brazzaville ( M'foa) n'est pas et n'a jamais été un pays de migration, encore moins un pays touristique. Certes, autrefois, avec la qualité de vie, de ses universités et écoles, il avait attiré nombres de jeunes africains, mais, depuis, ces derniers sont repartis, bien que d'aucuns ont fondés des familles au Congo-Brazzaville et s'y sont bien intégrés, bien assimilés (l’image de Sadio Kanté Morel et bien d'autres).

Aujourd'hui, au 21è siècle, en 2020, la nouvelle décennie doit ouvrir un autre chapitre, en prise réel avec les enjeux d'aujourd'hui et de demain! C'est-à-dire : le monde est devenu un vaste village ultra-connecté, bouleversé de partout en tout. Et nos pays africains, pauvres au demeurant par la faute des dirigeants avec absence de vision, sans talents, ni travail, paient le prix de ces migrations des peuples, conduisant ainsi nos populations à croupir dans la pauvreté, la précarité et le chômage endémique, au profit des autres venus d'ailleurs, tandis que les nôtres sont asservis par ces derniers.

Partant de ce postulat, il nous faut repenser notre Politique d'Immigration en Afrique, avec les africains, et avec tous les autres peuples. Nous devons réduire drastiquement les entrées chez nous, du fait du laisser-aller volontaire de la dictature et de ses femmes et hommes, au bénéfice de l'abêtissement des populations congolais, pour mieux les asservirent, et donc, au final, mieux consolider la dictature. Fini la rigolade!

Il nous incombe à nous les Nouveaux Leaders du Congo, la nouvelle génération avec la Vision du NewStart/NouveauDépart, de diminuer le nombre de ressortissants étrangers arrivant dans notre pays ou souhaitant arriver dans notre pays. Cela va passer par une forte imposition de critères stricts aux migrants.

Ainsi, dans la Vision qui est la mienne avec l'idéal du NewStart, il faudra dorénavant travailler à privilégier  l'immigration vers le Congo de travailleurs qualifiés, jeune, moins jeune, femmes, hommes, africains ou pas. Et répondre aux critères linguistiques congolais, c'est-à-dire, parler le Kitouba, le Lingala du Congo, le baKongo. Ainsi laisser la main d'œuvre peu qualifiés aux autres. Nous ne serons plus à la merci de ces communautés qui se liguent et vivent entre-eux, s'enrichissent entre-eux, maltraite les congolais, alors même qu'ils sont loin d'être qualifiés et ne parlent aucune, ou très mal nos langues.

Dès notre accession au pouvoir, nous cassons le code de la Nationalité, le Code civil et Pénal. Nous mettons sur pied le Code de l'immigration à Points afin que toutes personnes qui souhaiteraient immigrés ou migrés au Congo-Brazzaville, s'assure qu'elle est hautement qualifié, qu'elle à suffisamment de points dans l'acquisition parfaite de la compréhension, de l'expression, l'écriture de nos langues. Et enfin, disposer d'une offre d'emploi avérée par les services de l'emploi, ferme et satisfaire aux exigences salariales.

Voilà un système d'immigration basé sur les seuls compétences et l'expertise que les gens peuvent apporter au Congo et aux congolais, plutôt que sur leur pays d'origine, même nos voisins.

L'idée c'est aussi d'inciter à la création d'un environnement entrepreneuriale qui incitera à recruter, former et qualifiée la ressource humaine et la main d'œuvre congolaise, local, coin par coin, territoire par territoire.

Pour les travailleurs peu qualifiés, ils seront interdits d fondé de sfamille,s et encore moins d'y emmener la leur ou d ela faire venir. Ils seront sur notre seul, selon nos benoisn économqiues, et sur des périodes de 12 mois renouvelables une fois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rénovons les Maisons police, gendarmerie et douane du sol au plafond: pour une meilleur scurité intérieur au Congo-Brazzaville (M'FOA)

12 Décembre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

Il est bon, dans ce billet, de replacer les contextes: les congolais sont menacés chaque jours dans leurs propre pays. Ils sont en insécurité partout sur tout le territoire nationale, et par qui, par les personnes supposées les protégées, justement! Ensuite, LA première des Libertés, qui est la LIBERTE des personnes, est fondamentalement trainer parterre et saper par ces personnes de ces corps qui doivent assurer LA sécurité Intérieur des populations congolaises pour qu'elles vivent et vaquent à leurs occupations en toutes quiétudes.

Rappelons ici que la sûreté fait partie des droits inaliénables et imprescriptibles de l’homme et du citoyen congolais. Nous avons d'ailleurs, dans la même veine, comme pur l'accès à l'énergie (eau, électricité), fait de ces sujets des sujets vitaux de la nation, et aussi l'accès à une alimentation saine et la santé-éducation de qualité.

Pour mettre à jour, sur de  nouvelles bases saines, une Nouvelle Sécurité Intérieur au Congo et une Douane Propre, nous tablons sur quatre piliers : l'organisation, la coopération avec les acteurs de la sécurité privée, les ressources humaines et les nouvelles technologies, pour une Modernisation réussie.

Chacun au Congo le voit, que les personnes composants ces corps ont un malaise réel, perceptibles dans leurs actions, leurs missions, chaque jours. Les déviances en sont la preuve.  On constate tous  sévèrement la mauvaise organisation des forces de l'ordre :  police très verticale, tribaliser, recrutons des voyous, des incompétents, couvrons les voyous contre soudoyaient aux compétences croisées, des interventions de très haut en lien avec des mafias locales organisées par eux-mêmes, souvent illisibles, doublons en termes de missions ou d'équipement selon que l'on est du Nord ou du Sud, conflits entre directions ( l'exemple de la chamailllerie de Doukaga en est un parfait signe), réel malaise chez des policiers de tous grades. La vision de la police congolaise par les congolais est noire. Précisons aussi que cet outil qui ne produit rien, à part du banditisme, de la mafia organisée sur les territoires où ils sont installés donne des résultats insatisfaisants.

 

Or, il est bon de rappeler aux uns et aux autres les vraies missions de notre Police Modernisé : La police nationale, qui fait partie des forces publiques congolaises,  devrait assurer la protection des personnes, des biens et des intérêts vitaux de la nation congolaise. Elle devrait lutter notamment contre la délinquance (bébés noires et autres mafias, faux-pasteurs, escroqueries, vols, cambriolages, incivisme) et la criminalité ( drogues, immigration sauvage, prières dans les rues, vacarmes), à travers des missions de prévention et de répression. 

Ces missions ont d’ailleurs été confirmées en août 2012 par la loi d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure :

. Sécurité et la paix publiques : s’occuper de la bonne exécution des lois et garantir la protection des personnes et des biens, ainsi que la tranquillité publique,

. Police judiciaire : elle est placée sous la direction, le contrôle et la surveillance de l’autorité judiciaire. Son objectif est de rechercher et constater les infractions pénales, rassembler les preuves, rechercher les auteurs ainsi que leurs complices, les arrêter et enfin les confier aux autorités judiciaires compétentes,

. Renseignement et l’information : assurer l’information des autorités gouvernementales, repérer et anticiper les menaces qui pourraient troubler l’ordre public ou menacer les institutions, les intérêts fondamentaux de la France ou encore sa souveraineté.

 

Nous populations congolaises, en sommes très loin dans la pratique. C'est pourquoi nous entendons désormais, sous le Régime du NewStart / NouveauDépart, le projet Politique Congolais du 21è et 22è siècle au Congo, raisonner en filière par métier, soit cinq futurs secteurs. - Sécurité publique : débarrassée des petites affaires judiciaires, elle se consacrerait au terrain. - Investigation : dédiée à la police judiciaire, elle serait chargée de toutes les enquêtes, allant des délits quotidiens (cambriolage, vols, harcèlement, injures, insultes, incivisme) aux crimes (assassinat, criminalité organisée, terrorisme,). - Renseignement territorial : appelé à monter en puissance hors du giron de la sécurité publique.  - Contrôle aux frontières : regroupant les activités de la police aux frontières. Et enfin  - soutien opérationnel. Un directeur zonal de la police nationale s'assurerait de la coordination de chacune de ces filières sur le terrain quand aujourd'hui tout, ou presque, se décide depuis Brazzaville et Pointe-Noire, à la Direction générale de la police nationale. Ajoutant les sapeurs-pompiers.

L'idée générale est d'adapter la police congolaise modernisée aux territoires grâce à une déconcentration et d'obtenir un pilotage harmonieux avec un chef territorial unique qui pilote toutes les missions.  Les pistes envisagées ici induisent l'efficacité de l'autonomie en matière de lutte contre l'immigration irrégulière et d'une police judiciaire de qualité ainsi que des sapeurs-pompiers qui vont vraiment sauvés des vies, pas la galerie amusante à laquelle on nous a habitués depuis 50 ans.  Voilà pour la Police Modernisée du Congo-Brazzaville.

Nous signalons que nous avons déjà effectué un travail similaire sur l'Armée Congolaise, la Sûreté Intérieur et Nos Frontières (Cf nos articles ici sur le blog).

 

Allons à présent sur la Gendarmerie pour finir sur la Douane.

Ha oui, la Gendarmerie Congolaise, un corps clientéliste, créer pour rien, en somme. Que font-ils, sinon, coûter de l'argent aux contribuables congolais, par singerie et mimétisme stupide aux français ? Et surtout, mis sur pied par manque d'idée concrète sur la Sécurité Intérieur et une vraie stratégie, au Congo-Brazzaville.

A titre de rappel, La gendarmerie nationale est une force armée instituée pour veiller à l'exécution des lois, assurer la sécurité publique et l'ordre public au Congo-Brazzaville (nous en sommes très très loin...), particulièrement dans les zones rurales et périurbaines, ainsi que sur les voies de communication. La police judiciaire constitue l'une de ses missions essentielles. L'on voit bien qu'ici, la police judiciaire que nous voulons remodeler n'st nullement effective dans le pays, sur tout le territoire...  Le gendarme (sous-officier et officier) est un homme de terrain au service des citoyens. Opérationnel, il assure la protection des personnes et des biens, à la campagne ou à la ville, de jour comme de nuit. Il fait respecter l'ordre public. Il est généralement en uniforme et porte une arme. La différence entre un gendarme et un policier c'est que la gendarmerie est un corps d'armée, il appartient à l'armée Congolaise, alors que la police c'est pas l'armée ;) Les gendarmes sont donc des militaires alors que les policiers sont de simples fonctionnaires assermentés (sous serment). Tandis que le CRS lui est encore un policier de la Police nationale affecté à une compagnie républicaine de sécurité après avoir choisi cette spécialité. Il reçoit une formation spéciale afin de remplir les missions spécifiques à ce corps.

Nous voyons bien que ce corps armée a été créé de toute pièce par enfumage et cela coûte cher pour rien. De ce fait, nous avons deux choix: soit nous le supprimons et redistribuons son financement, soit, nous le réformons profondément, à l'image des propositions déjà faites ici pour la police et l'armée congolaise.

 

Pour finir, nous allons attaquer le "gros" morceau de la Douane congolaise, d'où sont issus aujourd'hui tous les nouveaux riches congolais.

 

Toujours pour replacer le contexte du corps: les services de la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) exercent trois missions principales : lutte contre la fraude, soutien de l'activité économique et perception de la fiscalité. Aussi, si son cœur de métier est la régulation des flux de marchandises. En revanche, celle de notre pays le Congo-Brazzaville n'a pa su faire évoluer et diversifier ses missions pour répondre aux nouveaux enjeux contemporains.

 

Ils ont tout dévoyer à des fins d'enrichissements personnels et illlicites à tous les niveaux. Alors qu enous le sattendions sur le remplissage plein des missiosn suivantes aavec abnégation, sérieux et rigueur:

Mission de lutte contre la fraude et les grands trafics internationaux

La douane a en charge la protection du territoire et des citoyens, des intérêts économiques et financiers nationaux ou communautaires (mobilisation contre les trafics de stupéfiants, de contrefaçons, de tabacs, d’armes, lutte contre le terrorisme et le financement des activités criminelles, lutte contre les menaces environnementales, sanitaires et protection du consommateur, des patrimoines culturels et naturels).

Mission économique

Grâce à sa connaissance approfondie des flux internationaux qui lui permet de protéger notre territoire, elle soutient également l'économie nationale et les entreprises françaises. Sur la base des règles fixées pour le commerce international, elle contrôle les flux commerciaux avec 3 objectifs :

  • la fluidité ;
  • la sécurité ;
  • la qualité, grâce à des procédures adaptées aux besoins des entreprises.

Mission fiscale

Elle perçoit chaque année environ 50 % des recettes de l’État et contribue au financement du budget national congolais.

La douane contribue à la protection et à la sécurité des citoyens en :

  • veillant au respect des règlementations en matière de qualité/sécurité des produits industriels importés d'Europe, d'Asie et d'ailleurs que le Congo (contrôle des documents et produits, analyses en laboratoires) ;
  • luttant contre les trafics de stupéfiants, d’armes, de biens culturels, d’espèces animales et végétales protégées, notamment ;
  • surveillant les mouvements de déchets toxiques à l’intérieur de l’UE et en empêchant l’entrée en France de produits stratégiques, radioactifs, dangereux ou non conformes aux normes européennes ou en luttant contre les pollutions maritimes.

La douane soutient la compétitivité des entreprises en :

  • faisant respecter les règles des politiques commerciale et agricole du Continent Africain vis-à-vis du Congo dans le cadre fixé par l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et de notre souveraineté ;
  • protégeant l'économie nationale contre des pratiques déloyales : l'application des droits anti-dumping (d'afrique à afrique) et la lutte contre les contrefaçons en sont des exemples ;
  • facilitant le commerce international par une prise en charge rapide mais efficace des flux. Ici nous souhaitons travailler à des mesures fortes, pour porter le temps moyen de dédouanement à 3'52" à des couts raisonnables pour les clients utilisateurs;
  • offrant des prestations adaptées aux entreprises : conseils personnalisés et procédures simplifiées ;
  • soutenant les filières économiques dont elle assure la régulation (viticulture, transports, énergie) ;
  • élaborant les statistiques du commerce extérieur de marchandises du Congo-Brazzaville : ces données sont utiles aux pouvoirs publics comme aux entreprises.

En matière fiscale, la douane perçoit :

  • les droits de douane, à l’importation ;
  • la TVA, lorsqu'elle concerne des produits importés des pays tiers;
  • les accises, soit les impôts indirects sur les tabacs, alcools, et produits pétroliers ;
  • la fiscalité environnementale, avec la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) ou la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE).

​Ces recettes permettent notamment le financement du budget national (TVA) et (droits de douane).

La douane participe bien évidemment à la lutte contre la fraude fiscale (fraude à la TVA, fraudes au budget, contrebande de produits fortement taxés comme l’alcool ou les cigarettes, etc.).

L'action de la douane en mer

La Douane, au même titre que d'autres administrations participe à l’action de l’Etat en mer. Il s'agit de coordonner les différents moyens aux fins d'intervention de missions en mer. Ces actions sont diverses :

  • police de la navigation ;
  • contrôle des pêches ;
  • missions de sauvetage ;
  • lutte contre la pollution.

Compte tenu de ses moyens matériels et de son savoir-faire notamment celui des garde - côtes douaniers, la Douane est particulièrement impliquée dans cette action.

La coopération internationale

La coopération opérationnelle constitue l’un des volets de la coopération internationale en matière douanière. Elle repose essentiellement sur des accords bilatéraux (conventions d’assistance administrative mutuelle internationale) permettant des échanges de renseignements, la surveillance de personnes, de biens ou de moyens de transport, la constitution d’équipes communes d’enquêtes.

 

Peuple congolais, si nous ne chassons pas ce régime, ce système en 2021, le pays est et sera perdu définitivement. Les retards ne pourront plus être rattrapés, comblés puis dépasser.

 

Levons-nous TOUTES et TOUS pour affronter ces gens au prix de nos vies, car ce n'est QUE A CE PRIX que nous AURONS LA LIBERTE.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Il a été bon, autrefois, notre système de Santé au Congo, je l'ai connu. Non aux Hospices et à la Médécine privée!

20 Novembre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

Il est plus que jamais urgent de refondre notre système de santé, qui est, à ce jour, complètement HS (Hors  Service) Mort! L'Hôpital Public est mieux que l'hôpital privée, à la condition que la Recherche Médicale soit dans l'excellence, à condition que les conditions de recrutements, de travails, de reconnaissances, soient élevées, meilleurs et au niveau. Oui, l'Hôpital Public congolais peut renaitre de ses cendres de la dictature destructrice de cette dictature ignoble.

 

L'Hôpital Public congolais ne doit pas être là pour Gagner de l'argent, mais Pour soigner chaque congolaises et congolais correctement et humainement.

 

Nous disons avec la dernière énergie et avec autorité: NON aux Hospices, comme le sont devenus les CHU congolais. NON aux dispensaires tous azimuts, le tradi, les chinois, et l'hôpital privée qui a quasiment remplacé l'hôpital public, de fait.

 

J'ai dans mon enfance, moi-même connu cet hôpital, ce système de santé, il était plus qu'à la hauteur, rien à envier aux occidentaux! J'ai ensuite connu cet hôpital et ce système de santé, dans mon adolescence, en grandissant, et il était toujours aussi excellent que les hôpitaux des occidentaux et les systèmes de santé des occidentaux. Donc, nous voyons bien que cela est possible de rebâtir pour l'excellence et les soins de qualité pour chaque congolais chez lui, dans son pays, sur son territoire.

 

Pour ce faire, nous allons tout remettre à plat. Détruire ce qui existe, ou qui tient encore. Par les emplacements, les bâtiments d'abord. Puis nous attaquerons l'organisation moins hiérarchique, moins financiers, sans toutefois créer des puits sans fonds. Nous allons revoir les modes de management et de gestion des corps médicaux, des hôpitaux publics, des primes au mérite, par mois, des effectifs, des personnels. Les plans d'évolution de carrières. Les méthodes, techniques de soins, les process de sécurité, d'hygiène, d'urgence, des pathologies lourdes, puis des opérations ET  des accouchements prématurés et autres. Deux pieds : Une politique Hospitalière et une Politique de la Prévention. S'agissant des épidémies, pandémies, des plans en tripartites seront lancés sur chaque térritoire piloté par des entités crédibles et des scientifiques pertinents et non attentistes.

Nous irons vers l'efficience, moins de lourdeurs et l'efficacité et l'excellence des personnels médicaux délivrant les soins. Le secteur pharmaceutique y subira le même traitement de transformation, afin d'endiguer la crise des faux médicaments qui nous coûte cher. Nous encadrerons le secteur Libéral, les dentistes et autres cliniques. Afin d'éviter la fuite des formés vers le privée, et d'encourager vers ces études, nous travaillerons sur des grilles de mérite, d'avancement, de salaires gratifiant

 

Nous reverrons la formation de chaque corps médical, la certification, la construction des modules de formation, des parcours, afin de n'avoir que l'excellence, dans la prise en charge des patients congolais. Car, ce qui se fait aujourd'hui est une HONTE!

 

L'hôpital public congolais s'est déshumanisé à un point...

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L’insertion des jeunes congolais : quelles coopérations pour une approche intégrée ?

13 Novembre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

L’insertion des jeunes congolais : quelles coopérations pour une approche intégrée ?

La difficulté́ des jeunes congolais vulnérables et désœuvrées, à s’insérer, à trouver un travail pérenne, le sentiment de déclassement et de précarité demeurent et sont autant de signes qui interrogent la place que la société congolaise vautrée volontairement dans l’oisiveté et les anti-valeurs de la dictature, est prête à leur laisser, d’autant plus pour les jeunes des quartiers populaires.

Dans les quartiers de nos villes, sur nos douze départements, sur nos deux Métropoles, la situation de l’emploi des jeunes est encore plus difficile. Ils sont plus encore exposés au chômage, avec un risque de s’y retrouver multiplié par 5.5 pour les jeunes habitants en zones rurales.

Toutes choses égales par ailleurs, des facteurs cumulatifs et spécifiques à cette tranche d’âge 16 – 35 ans, sont en cause dans le non accès à l’emploi : des compétences de base non assimilées (compréhension orale, écriture, lecture, calcul), l’absence d’expérience, des freins liés à un défaut de mobilité, des problèmes de santé, des conditions de vie précaires, la non maîtrise du numérique, le manque de réseau…, mais également des phénomènes de discriminations à l’embauche attestés par de nombreuses enquêtes autour du tribalisme, des promotions canapés, des passes-droits, des réseaux.

L’insertion professionnelle des jeunes congolais constitue donc un enjeu majeur dans nos quartiers populaires tout en impliquant la prise en compte tout à la fois de dimensions sociales, de santé, de qualification, de logement… Développer des approches intégrant l’ensemble de ces dimensions, construire des parcours ajustés à chaque situation, favoriser les synergies sur les territoires entre l’ensemble des dispositifs et acteurs mobilisés s’imposent pour une action pleinement efficace. En plus du Handicap. Cela nécessite la prise en charge de ces dossiers par des experts qui ont fait leurs preuves par leurs compétences hautement saluées et qualifiées en Occident, comme les Foryblan Dash BAKOULA KOUELANY.

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La ruralité congolaise VS L'urbanisation à outrance : un atout pour demain à défendre ensemble

13 Novembre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

La ruralité congolaise VS L'urbanisation à outrance  : un atout pour demain à défendre ensemble

La ruralité est-elle archaïque, ou ringarde, à l’heure de la mondialisation et de la métropolisation ? Métropoliser, c’est concentrer la vie économique, certes, mais en même temps l’existence collective humaine en général, dans les grands centres Brazzaville et Pointe-Noire, ou les départementaux périurbains. Pour les urbains, l’alibi de ce que l’on veut imposer comme un progrès de civilisation est… la rentabilité, les soi-disant économies d’échelle. Le formatage des esprits par cette doxa de notre arrogante modernité s’incruste par le moyen des étouffantes nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). Résultat des courses : les citoyens de base, déjà massivement illettrés, analphabètes et abêtit volontairement par le régime dictatoriale du clan nordique, sont de plus en plus éloignés de la compréhension de cette complexification de notre vie démocratique et ne croient plus à notre vivre-ensemble. Pic violent du repli tribal depuis 1997. Les grands flux du commerce mondial irriguent ces grandes concentrations humaines que sont les métropoles, abandonnant à la désertification tout le reste du territoire. Si la métropole Pontenegrine assurent  rien qu’à elle seule 2 % de croissance annuelle du PIB congolais, et si d’autre part celle Congo rural stagne, on devine où est le différentiel : c’est dans le vaste espace rural et périphérique qu’il se trouve, plus ou moins en dessous de zéro selon les zones.

Cette course folle à la concentration sur les deux villes et suicidaire. Désertifier le rural pour densifier massivement les villes est une mort lente, mais assurée.

 

A ce jour, nous sommes cinq millions Quatre, d’habitants, en 2019. Derrière le prétexte économique apparaît le fantasme qu’il n’y a plus de civilisation et de modes de vie convenables qu’urbains au Congo-Brazzaville.

Dans le processus inquiétant en cours entériné par les composantes de la dictature de quarante ans et des pseudos opposants congolais, tous bords confondus, on peut craindre qu’une machine folle ne soit à l’œuvre, d’une manière plus occulte que visible, avec des minorités discriminées, et des tribus et régions contournant le fonctionnement démocratique pour se constituer en oligarchies éloignées du peuple. Dès lors, une question de civilisation mérite d’être posée : la société congolaise aurait-elle abdiqué toute volonté de maîtrise de son destin ? Ses idéaux de liberté, d’humanité et de justice sont-ils encore des valeurs fondatrices de notre République et de notre société Bantou et Africaine ? Mais qui n’entend le son de la plainte et le son de la résistance des laissés-pour-compte au fond des bois et des forêts congolaises, des marécages du Nord ?

Ne serait-il pas plus sage de sauvegarder un équilibre des territoires congolais, ses douze départements entre les deux métropoles et le « périphérique », l’hyper-urbain et l’hyper-rural, au nom de la solidarité nationale et de l’intérêt général bien compris ? Il nous faut définitivement comprendre que les territoires ruraux congolais ne sont pas une charge mais un atout pour réussir le redressement et la prospérité du Congo-Brazzaville.

Nos territoires ruraux ont des atouts, charge à nous Leader, de savoir les faire valoir, en tant qu’espaces économiques y compris, à condition sans nul doute que les voies de communication existent pour faciliter les échanges. Lancés des zones économiques regroupant un réseau d’entreprises qui permettront de mutualiser certains des services. Nonobstant, les territoires ruraux congolais ont besoin surtout de conserver leurs identité tout en se modernisant; ils refusent de rester des déserts médicaux, des bastions de l’illettrisme, de l’analphabétisme, de l’agriculture à la Grand-père ou humains tout court. Le chantier est immense et doit être approfondi, en considérant le rural autant que l’urbain.

Bien entendu, l’élément constitutif du monde rural congolais, le monde agricole congolais, a tout à changé, presque de fond en comble. La société congolaise est de moins en moins agraire. La modernisation, l’image de l’agriculteur sur son tracteur, l’agriculture industrielle des firmes, de type capitaliste, seront-elles l’expression d’une ruralité apaisée, sinon heureuse ? Il ne faut pas négliger l'aspect économique. On peut vraiment en douter.

 

Il nous faut partir des demandes de la ruralité pour construire des solutions en prises réelles et directes avec leurs réalités. On ne développera pas le monde rural s'il n'y a pas des femmes et des hommes. Stopper l’exode rural. On ne peut pas imaginer une politique ambitieuse pour le rural si parallèlement on n'a pas une politique ambitieuse pour l'habitat.

Pour que des femmes et hommes vivent sur un territoire, il faut bien qu'il y ait une activité économique. Le rural peut-il vivre sans l'agricole ? Ma réponse est clairement non. Il est vrai que l'agricole ne fait pas ou ne fait plus le rural. Mais il en constitue le socle. Les situations agricoles varient certes selon le type de rural où l'on est. Un territoire de grande culture n'est pas tout à fait la même chose que l'agriculture en marécage comme dans le Nord du pays. Mais on sait la capacité d'invention du monde rural congolais et sa volonté d'aller vers la qualité et vers les logiques de label que nous devons mettre sur pied et valorisés nos produits locaux.

Tout l'intérêt de l'activité économique est bien évidemment la valeur ajoutée. Et je crois qu'il faut que le monde agricole congolais se mécanise, s’automatise et donne envie aux jeunes générations de prendre la relève et donc de rester dans nos départementaux ruraux, comme il ne le fait pas encore aujourd'hui, qu’il aille le plus loin possible à la quête de valeur ajoutée de façon à ce que les produits soient vendus le moins bruts possible et le plus transformé possible. Derrière l'emploi agricole qui, je le redis, est le socle du rural, je crois que la montée en puissance, comme cela doit-être le cas pour le secteur tertiaire, est une chose qui est complètement claire et évidente et il ne faut pas que cela fasse peur. Il faut au contraire s'appuyer sur cette dynamique nouvelle que nous allons mettre sur pied. Aujourd'hui, le tertiaire pèse un peu plus de 1 % des emplois ruraux. N'oublions pas que notre société congolaise, au niveau national, est à 80 % employée avec du service et du tertiaire. C'est-à-dire que l'augmentation de la part du tertiaire est sans doute encore à venir mais je crois que l'économie rurale, en se tertiarisant, peut aussi trouver de nouvelles potentialités.

Construire une politique ambitieuse à vingt ans pour le rural congolais c'est bien évidemment réveiller l'attractivité de nos territoires: nouvelles technologies et téléphonie mobile. Nous lancerons un plan de téléphonie mobile pour que l'ensemble de notre territoire soit couvert, y compris tout particulièrement les zones sans réseaux, comme le sont les agriculteurs Kenyan. Il en est de même pour le haut débit : comment une entreprise, comment un artisan peuvent-ils rester dans le monde rural si parallèlement il ne peut plus dialoguer avec la ville ? Donc il faut là aussi un plan ambitieux en matière de nouvelles technologies et de haut débit.

 

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La géographie de l’emploi au Congo-Brazzaville (M'Foa)

13 Novembre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

 La géographie de l’emploi au Congo-Brazzaville (M'Foa)

Pays au sous-sol immensément riche, mais aux populations immensément pauvres, précaires, démunies. Le pays ne créer pas d'emplois depuis quarante ans, sous ce régime dictatoriale obscure du clan Nordique. Force est de constater qu'un Congo à deux vitesses se dégage, à l'étude minicieuse du tissu économique et des bassins d'emplois sur les douze départements et les chefs lieu. Tout aussi les zones périurbaines, urbaines de plus de cinq cent milles habitants, en partant des deux grosses métroploles congolaises Brazzaville avec son Million d'habitants et Pointe-Noire, avec ses neuf-cent mille habitants. Deux Congo se dégagent: un Congo Ultra Urbain, connecté et le Congo Rural, abandonné à lui même et déconnecté, archaïque, encore, en 2019.

 

Le marqueur de la Dynamique de l'emploi est facteur d'attractivité et de la vitalité des térriroires de notre pays, or, force est de constater que, outre Brazzaville et Pointe-Noire, qui attirent tout, il n'ya plus rien pour nos douze départements Ruraux et périurbains.

Les créations nettes d’emplois sur nos territoires ruraux est quasi nulle. Tandis que dans les deux villes métropoles, elles oscillent aux alentours de 1% ce qui sur l’ensemble du Congo est trop faible. Le Congo est le seul pays d'Afrique ou sa croissance ne créer pas d'emploi et ne tire pas ses populations vers le haut, vers la prospérité et l'amélioration de leurs quotidien.

 

Au-delà de la polarisation selon la taille des aires urbaines (Brazzaville & Poine-Noire), un autre clivage apparaît, en fonction de la distance par rapport au centre-ville dans nos autres départements sur les douze : l'agriculture est reine, pas mécanisé du tout, ce qui rend le travail pénible et donc accroit les risques d'accidents et de morts et donc l'exode rural vers les Deux Métropoles. 

Ces périphéries voient donc leur rôle s’affirmer dans le paysage économique congolais grâce à l'Agriculture. Parmi les exemples marquants qui illustrent ce phénomène figurent la présence de la SARIS à Nkayi, de la CIB à  Pokola. Et le grand vide pour les autres. L'industrie est quasi nulle.

Les 1% de création d'emplois sur les Métropoles de Brazzaville et Pointe-Noire sont une tendance favorable aux proches périphéries qui se fait au détriment des zones urbaines en périphéries, pire encore pour les zones rurales où la croissance de l’emploi s’élève à moins de 5%, aux dépens des zones périurbaines et rurales, qui ne sont pas entraînées par le dynamisme métropolitain de Brazzaville et Pointe-Noire.

 

En somme, ce qui se dégage dans la Géographie de l'Emploi au Congo-Brazzaville met en évidence la montée en puissance de l’arc Sud du territoire national, avec des métropoles du Grand Ouest (Pointe-Noire) et le Grand Est (Brazzaville ) qui attirent les jeunes talents. En particulier grâce à une meilleure qualité de vie, comparée, notamment, à celle dans nos autres régions et départements, et par une amélioration de la connectivité, avec des routes reliant la capitale à Pointe-Noire, le reste manquent cruellement.  A corriger et très vite.

 

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La Réussite et le Bonheur des Congolais passeront par une vision partagée sur l’Avenir du pays.

28 Octobre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Expert en sécurité Intérieur- Politiques de l'Emploi et d'Insertion pro - Marché du Travail & Formation-Handicap et entrepeneuriat.Politiques educatives-Coach

La Réussite et le Bonheur des Congolais passeront par une vision partagée sur l’Avenir du pays.

En travaillant plus et mieux pour l’essor DU PAYS d’abord, avant le leur, est LA condition siné qua non pour un avenir meilleur pour tous, pour chaque congolais et congolaises naissant, grandissant, étudiant, travaillant, se mariant et fondant tune famille au pays.

 

Le « Bonheur Congolais » est possible. Loin des  chimères du Professeur Fou, Pascal Lissouba et ses sbires qui nt conduit le pays à la faillite, L’UPADS complice du PCT, du RDPS et du Parti de Kolélas le (MCDDI). UNEVASTE ARNAQUE des Ba Kongo.

 

Nous devons nous promettre de ne plus jamais porter au pouvoir, des scientifiques fou, des juristes stupides, juste parce qu’ils alignent quelques phrases en français avec des costumes et des diplômes en façade, avec pour sous-bassement, l’incompétence notoire, que nous découvrons une fois que ces abrutis sont arrivés au pouvoir.

 

Revenons au Concept du « Bonheur Congolais, Possible à la condition d’un vrai plan stratégique, une méthode éculée et une vision claire et ferme sans transiger ni faiblir  face aux habitudes de laisser-aller acquise durant les quarante ans de dictature.

 

Les Objectifs à atteindre pour le « Bonheur des Congolais »  doivent être la montée en qualité de vie de chaque congolais et la simplification des lourdeurs de l’état congolais qui est en Faillite avec des politiques erratiques depuis 50 ans. Celles-ci doivent être connues. Ainsi que la volonté affichée de combler l'écart de compétitivité avec les principaux concurrents de la sous-région, et de l’Afrique toute entière.

 

Nous allons simplifier l’organisation Administrative du Congo, en supprimant tout ce que l’on appel le « statut de fonctionnaire et la fonction publique ». Celle-ci sera remplacée par des entrées de Droit Public. Et ceux-ci travailleront et seront recrutés sous statut de droit commun privée.

 

Soulignons ici aussi notre volonté de faire monter en qualité les services dits « Publics » à l’ensemble des congolais dans tout le pays, dans chaque coin, et d'accélérer le développement d’un Etat décharger de cette charge, à la fois salariale et léthargique qu’elle est, et a été depuis cinquante ans (50). Et ce dans le respect de l'identité de chacune des parties des 342 000 Km², histoire de ne braquer personne.

 

Ensuite, une fois l’état simplifié, l’administration régulé et mise aux normes d’efficacité, nous nous attaquerons à la fin des services Secrets, de défenses, de la gendarmerie, des douanes, de la police et du renseignement. Ici aussi, nous tenons à être très clairs : nous voulons une Police de qualité, de haut vol, des services de renseignements de Pointe, irréprochable, une Armée au service d u PAYS Et des territoires pour sa défense. Nous voulons une gendarmerie qui fasse sens, tout comme une douane qui protège les vies et la consommation des congolais aux frontières et à l’intérieur. Pour ce faire, les effectifs seront tous mis à la porte, remodelage total des corps, monté en puissance de l’armée à une armée de 100 000 personnes, afin de prévenir et sécuriser nos frontières, notamment tout le long de la RDC, du Cameroun, de l’Angola qui nous nargue depuis trop longtemps.

Les services de renseignements devront montrer, tout comme les autres, « pates blanches » et irréprochables moralement.

 

Nous reverrons la formation de tous ces corps. Idem, plus de fonctionnariat.

Puis, nous irons rationaliser les politiques Publiques d’éducation, de formations, remodeler et créer un Vrai Marché du Travail, de l’entrepreneuriat. Impulser un Nouveau Modèle Economique et Sociale.

Nous allons impulser une Vraie politique de Santé Publique par corps de médecine, stimuler la recherche, tant éducative que médicinale.

Nous concevrons une vraie politique d’intégration urbaine des eaux fluviales, de nos fleuves, pour en faire des leviers économiques puissants, et des endroits où il fera bon flâner.

Nous mettrons au passage sur pied les 20 à 30 secteurs économiques vitaux pour que notre économie soit UTILE pour les congolais, sinon, la Notion même  de « Bonheur Congolais «  ne verra jamais le jour.

 

Pour clore, les Politiques de Justice Juste et territorialisés, en prenant en compte nos réalités doivent voir le jour. Fin des prisons budgétivores et corruption pour rien en face. Nous solutionnerons les problèmes de délinquance au pilori, arme sur la tempe.

L’état n’a pas à prendre en charge des voyous. Tout comme pour les drogues : celles et ceux qui s’y adonneront, en cas de maladie, seront abandonnés à leur propres sort.

 

Eradication de l’alcool dans l’espace public et privée, ainsi que du Tabac. Interdiction des mots venant de l’occident comme Féminisme, harcèlement, Egalité. Interdiction de la sape et des sapeurs, à fortiori ceux venus d’occident.

Inscription, dans le marbre du Patriarcat.

La religion n’a pas droit de citer dans l’espace public. Interdiction de toutes formes de communautarisme. D’ethnicisme, de régionalisme. Le tribalisme sera puni de Mort.

Les cultes qui se font sauvagement dans les rues, bloquant les commerces, seront terminés.

Les églises dites de réveilles seront cloués au pilori. Les Sectes qui pullulent sur tout le territoire, seront mises au placard. Les croyances sont intimes et personnelles.

Les funérailles se feront dans le silence, plus de désordre dans les quartiers.

Celles et ceux qui s’adonneront au vol, pillage, agressions de toutes formes, croiseront tout simplement le chemin de la mort.

 

Tout comme tous les nouveaux soldats, personnels des douanes, des renseignements qui s’adonneront à de telles pratiques, trahison d’état, voués à la mort.

Les Banques devront réapprendre à comprendre que leur métier, c’est de FINANCER L’économie réelle, donc celle du Congo et des congolais.

Fin de l’extraction des énergies fossiles. Développement d’une vraie économie de Marché, tant interne qu’externe. Zéro autarcie. Mais nous sortons de la pollution et préservant notre environnement. Limiter les érosions.

 

L’accès à l’eau, l’électricité, aux routes, à la scolarité, à l’éducation, à un emploi, à la santé de qualité, des hôpitaux de qualité, seront considérés comme des questions de sécurité nationale.

 

Nous allons faire en sorte que le Salaire Brut soit le Salaire Net pour chaque congolais et des salaires hautement convenable, capables d'endiguer la corruption et la prévarication.

En gros, voila les moyens d'y parvenir au « Bonheur des Congolais ». Sans cela, toute initiatives sera vouées à l’échec, comme du temps de Lissouba Pascal, de Milongo André, des Kolélas et autres, dont les fils sont ultra incompétents et usurpent le titre d’hommes politique. Le « yuki » et une arnaque abrutissante pour les peuples du Kongo, afin de les maintenir dans l’ignorance, faisant par la même occasion, l’enrichissement illicite du clan kolélas, par ailleurs.

 

Mais tout cela sera bientôt fini, pou rle Grand "Bonheur des Congolais", enfin!

 

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La Vision du Projet New Start - Nouveau Départ sur la politique du logement au Congo améliorant l'efficacité énergétique.

22 Octobre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Consultant Expert en sécurité Intérieur- TEF- Handicap, dialogue social et entrepeneuriat.Coach

La Vision du Projet New Start - Nouveau Départ sur la politique du logement au Congo améliorant l'efficacité énergétique.

En l'absence de Plans Locaux Urbains (PLU) dan stout le pays, il est criant, ce besoin de revoir la Politique du Logement au Congo chers compatriotes. Tout est concentrer entre Brazzaville et Pointe-Noire! Ce n'est plus tenable du tout.

Les zones détendues (c’est-à-dire, tout l’arrière pays, les villes d’à côtés)  en auraient tout aussi besoin, d’une vraie politique de Logement et d’urbanisation nouvelle, ne serait-ce que pour accélérer la transition énergétique des  logements congolais.

Cette façon de faire anarchique, depuis 59 ans à présent, renforce la métropolisation et rend moins désirable le Congo périphérique.  Nos villages, nos campagnes, nos secondes villes. Qui elles aussi, gagneraient à être construites pour décongestionner Brazzaville et Pointe-Noire avec une Urbanisation prenant en compte les pluies diluviennes et la réduction de la consommation d’énergie.

En résumé, compte-tenu de la concentration des constructions de logements entre brazzaville et Pointe-Noire, il vaut mieux acheter dans les grandes villes, où la valeur des logements va continuer à s'accroître, alors que dans le reste du pays, la construction y est décourager, n’incitant pas du tout à travailler sur la réduction de la consommation énergétique des logements congolais.

 

 

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L'Ordre - La Discipline - Le Respect - La Rigueur - La Concentration : Les Nouveaux Mots d'Ordres du Congo et des Congolais.

11 Octobre 2019 , Rédigé par Foryblan Dash BAKOULA, Consultant Expert en sécurité Intérieur- TEF- Handicap, dialogue social et entrepeneuriat.Coach

L'Ordre - La Discipline - Le Respect - La Rigueur - La Concentration : Les Nouveaux Mots d'Ordres du Congo et des Congolais.

Nous promettons aux Congolais un Retour à ces valeurs pour un pays qui va se développer en vingt-ans, avec la Vision Réformatrice comprise dans le Projet "New Start" 'Nouveau Départ' Pour le Congo-Brazzaville (M'foa).

En l'état, après quarante (40) années de destruction volontaire par un clan, un système, des femmes et des hommes ayant accompagné se gaspillage des ressources du pays, tant humaines, financières que culturelles, je mets quiconque au défi de remettre ce peuple sur pied, au travail avec des programmes bidonnés par des pseudos experts installer chaudement et grassement payés, en occident.

 

Qu'avons nous devant nous: une génération sacrifiée, celle de la (Y), c'est-à-dire, née dans les années 70/80. Celle qui suit (90), et toutes les autres, la génération (X/Z) (l'an 2000 à aujourd'hui, voir demain, si on n'arrête pas ces fous et ces folles!), ces voyous en col blanc costard.).

 

La génération Y, celle-ci à essayer, pour bon nombres d'entre-eux, de s'en sortirent. Mais que dire de celle des années 90, et l'an 2000, la génération X...? Une CATASTROPHE en TOUS POINTS! On ne peut rien en tirer!

 

Inapte au travail, vomi de l'effort, veut tout, tout de suite et sans le moindre effort, surtout pas intellectuel. Les filles préférant l'écartement au mérite, au travail, à l'effort, à l'éducation, parlant même pas des compétences à acquérir ou pas.

 

Les garçons, rêvant de la facilité, alliant à cela la facilité via l'occultisme, la "transformation sexuel".

 

Alors, de deux choses l'une, soit nous arrêtons collectivement ce mal qu'est ce régime, soit, c'est tout le pays que nous perdrons, le peuple avec!

 

La génération X, voir certains, de celle d’Y, sont prêts à "vendre ce pays", à le laisser à d'autres, immigrés, qui s'enrichissent sous leur nez, les esclavagise au 21è siècle sans que cela ne l'est révolte, dans leur propre pays! Que peut-on en attendre?

 

Prenons-nous en charge.

 

Ce cauchemard doit s'arrêter en 2020/2021, au prix de ce qu'il faudra. Et enlevant « Unité-Travail-Progrès », nous en sommes TELLEMENT LOIN…

 

Et mettant, à la place, L’Ordre – La Discipline – La Rigueur – Le Respect – La Concentration (OD2R/C), ces cela qui apportera l’Unité, le travail et enfin le Progrès au Congo-Brazzaville (M’foa).

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