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Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K
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Introspection nationale sur la chimère de l'élection présidentielle au Congo-Brazzaville.

11 Avril 2015 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Et si le poison qui mine notre pays de Congo-Brazzaville, c'était son système politique, avec, au centre de tout, l'élection du président de la République au suffrage universel ?

La fonction suprême au Congo-Brazzaville est devenu LE poison de notre jeune démocratie, un poison aux effets rendus plus violents encore par l'exaspération du tribalisme utiliser par ces gens élus à la présidence de la république (lissouba, sassou-nguesso, en sont les exemples parfaits!). Un pays ou l'élection présidentielle ne nous rassemble pas, mais nous désunit, nous divise, investissant un « sauveur » élu sur des promesses inconsidérées, pour ne pas dire mensongères, et se révélant forcément incapable, une fois parvenu à sa tête, d'assumer, seul ou presque, des décisions dont la complexité est à la mesure de celle du monde. Arrêtons d'élire des présidents chez nous !

Il ne serait pas si chimérique de désintoxiquer l'opinion congolaise de cette « drogue pas encore dure » qu'est l'élection du chef suprême au suffrage universel direct. Car les congolais ne votent quasiment pas, voir plus, ils se détournent massivement de cette organisation politique congolaise.

Alors, il serait honnête intellectuellement de convenir avec l'Institut Génération Tangible que les conditions pour cela sont réunies. Les Congolais y aspirent plus que jamais chaque jour un peu plus dans ce pays miné par le tribalisme, préférant la guérison à l'addiction forcée tentée par l'opposition en complicité avec la majorité et la diaspora, car qu'en se le dise une bonne fois pour toute, le temps de cette élection présidentielle chez nous au Congo-Brazzaville, les citoyens ont compris qu'ils ne détenaient aucun un contrôle sur ceux qui les gouvernent, bien au contraire. Car ces derniers critiquent férocement leurs présidents, constatent qu'ils ne délivrent pas assez de résultats, mais tout cela n'a aucun impact réel, et reste du domaine de l'impuissance et de la frustration, en somme, leurs voix, avis, ne comptent pas. Est-ce cela la démocratie à la congolaise ? Est-ce cela aller voter pour avoir au final des présidents in-destituables, faisant ce qu'ils veulent quand et comme bons leurs semblent ? La relation des citoyens congolais avec cette élection est bel et bien morte depuis belle lurette à présent.

Et puis, ce moment qui devrait être un moment intense de la vie collective chez nous a perdu toute dimension forte, au point ou les congolais en sont arrivés à le sous-estimer, voir à le banaliser. Autrefois, c’était un moment où on valorisait le pays. L'extérieur disparaissait. L'élection présidentielle était un moment d'introspection, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui !

L'élection présidentielle au Congo-Brazzaville est joncher de constats accablants et lucides sur la perversité de cette élection reine de notre monarchie républicaine, mis en débat par les congolais et ayant de grandes conséquences pour la suite. Les congolais veulent reprendre la clef aux élites politiques. Alors, plutôt que de poursuivre une chimère, et de continuer de glisser vers l'autoritarisme et la dictature des clans, des ethnies, des tribus, soyons réaliste, abolissons l'élection présidentielle au Congo-Brazzaville et remettons de l'ordre et de l'équilibre dans les pouvoirs et dans nos institutions. Au fond, le principal défaut de cette élection au suffrage universel n'est pas d'exister, mais d'investir un homme de clan, de tribu, d'ethnie, concentrant l'essentiel des pouvoirs, avec des ministres, parlementaires, administrateurs, militaires, tenant leurs légitimité de lui seul et ravalé au rang d'exécutant, de laquais lui devant tout. Or, le pilotage des sociétés est beaucoup plus complexe en ce 21è siècle qu'il y a trente ans. La rapidité de l'information, l'immédiateté des réactions à toute action ne permet plus une gouvernance inspirée d'en haut.

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L'Institut Libéral-Progressiste Franco_Congolais : Génération Tangible, l'Avenir.

27 Mars 2015 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Née pour révolutionné la pensée politique congolaise, l’empêcher de penser en rond, avec pour principale idée de rendre le congolais autonome, autonomie tant mise à mal par ce régime depuis 1997. L'ère numérique, favorable à ce nouveau militantisme en prise réelle, leur sera fatale.

Pour nous libéraux-progressiste congolais et nouveaux constructeurs, plutôt qu'opposants inutiles, le libéralisme ne saurait se réduire au modèle économique dominé par le marché auquel on tend à le ramener si souvent à tord. C'est avant tout la mise en avant comme priorité absolue de l'autonomie, c'est-à-dire de « la capacité de l'individu à effectuer ses propres choix ».

L'économie est notre point fort, tout comme l’entrepreneuriat, la formation permanente, l'éducation, la santé, permettant ainsi de jeter les bases de réformes radicales qui doivent remettre l'individu congolais au centre de la vie publique. Garantir la liberté d'entreprise, la liberté des individus.

Notre boussole, c'est l'autonomie individuelle, pas la liberté aristocratique du privilège qu'ont crées les gens du PCT/RMP. C'est pourquoi nous devrons faire un grand feu de joie des innombrables statuts, corps, catégories, ordres, syndicats et autres chapelles qui cherchent à créer leur propre norme et polluent notre horizon social au Congo-Brazzaville. A la place de ces « rentiers et nouveaux riches grâce à Denis Sassou-Nguesso, l'homme du laisser-faire », et à rebours de nombreux politiciens dits « libéraux », nous proposons d'établir un revenu universel, assuré par l'Etat : Donnons à chacun de quoi se libérer de la peur du lendemain - non pas au nom de la justice ni de la paix sociale, mais de l'autonomie. Loin des inepties des pâles copie du RSA/RMI français svp.

Nous devons sortir de ce Planisme imposé par ces Maoïstes du PCT/RMP, des femmes et des hommes du passé et figés en ex-URSS. Un vrai repoussoir qui plait encore à certains qui se disent politiciens en 2015...cette idée perverse selon laquelle les choix individuels doivent être orientés et limités. Par qui ? Non par la volonté générale, ni par les associations de l'espace civil, mais par des experts, qui ont peu à peu envahi toutes les structures de l'Etat congolais et tracé la diagonale mortifère du pouvoir de Denis Sassou-Nguesso. D'ailleurs, nous avons les preuves de ce planisme mortifère avec : la mise en place de la carte d'identité, le statut de la fonction publique, les ordres professionnels (médecins, experts-comptables...), les différents Codes, la retraite par répartition...en fait, un vaste système de Ponzi qui cause la ruine de notre génération ou l'Ecole Polytechnique du Congo-Brazzaville, l'école de Police et de Gendarmerie, ou encore l'école Militaire Général Leclerc.

Autant d'institutions qui tentent de faire perdurer, s'accommodant très bien de la vision planiste qui est la leurs : Aucune différence, sur le fond, entre "l'économie organisée" et "l'économie dirigée". Faisant De Facto de L'Etat non plus un outil au service d'un certain ordre démocratique, mais s’identifions à la nation elle-même, qu'il couronne et englobe. Pour nous à L'Institut Génération Tangible, une fois tout ceci posé, il ne faut plus chercher plus loin les maux dont souffre le Congo-Brazzaville aujourd'hui .

Et demain pour le nouveau Congo-Brazzaville ? L'avènement que ns devons favoriser des « geek », symbole de l'utopie numérique planétaire promise par les géants du Web : individus connectés en permanence, règne des plates-formes et des algorithmes prédictifs, disparition de la notion de vie privée, remplacement du salarié par le « freelancer » ou le robot, et même transhumanisme, c'est-à-dire transformation de l'humanité par les nouvelles technologies. On les appelle les digital natives, la « nouvelle génération silencieuse » ou tout simplement les « Z ». Une grande partie de cette tranche d'âge qui vont faire le Nouveau Congo de demain, née entre 1995 et 2009, entrera sur le marché du travail dans la prochaine décennie. Dans la même période, leurs aînés de la génération Y, nés dans les années 1980 ( c'est à dire, la notre), s'y installeront et accéderont aux postes à responsabilité.

Le point commun entre ces deux générations ? Elles sont profondément ancrées dans le XXIe siècle. Inutile de leur parler de la crise, du chômage, les Y et les Z sont nés avec et s'y adaptent. Biberonnés à l'Internet, attentifs aux innovations technologiques, sensibilisés aux enjeux écologiques, prêts à travailler après 60 ans, ces travailleurs de demain vont arriver sur un marché du travail en pleine mutation, après avoir été figé pendant de années par le PCT/RMP. Les évolutions rapides de la société congolaise créent de nouveaux besoins, donc de nouvelles compétences qui s'intégreront dans la plupart des métiers existants et créeront de nouveaux métiers pour les congolais demain. Modernisons nos visions. La prise en compte des enjeux environnementaux va bouleverser l'industrie, les services et l'agriculture au Congo-Brazzaville.

Ce monde que la Silicon Valley nous prépare arrivera vite au Congo-Brazzavile, avec des conséquences importantes pour notre conception de l'individu, de l'Etat et de l'autonomie. La numérisation, le développement continu des nouvelles technologies, les évolutions démographiques et les préoccupations écologiques transforment les métiers actuels. Ces mutations sociétales contribuent à l'apparition de nouvelles compétences portées par la génération Y et à la formation en devenir de métiers inédits que pratiqueront dans la prochaine décennie les purs digital natives de la génération Z.

S'il appartient à la génération numérique de transformer le Congo-Brazzaville, elle devra aussi et surtout ce prévaloir de garantir la sécurité te al confidentialité, en plus du respect de la vie privée et des libertés des congolais en ce siècle..

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Les Sassou-Nguesso et le PCT/RMP, des tueurs en série, ont fait du Congo-Brazzaville un champ de ruines économique, sociale, politique, culturelle, éducatif : un vrai KO!

26 Mars 2015 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

L'Institut Libéral_Progressiste, Génération Tangible, accuse le gouvernement congolais de Brazzaville (Mfoa), le clan et les laquais du PCT/RMP, de programmer la mort économique, culturelle, sociale, politique de la nation congolaise. Ces derniers veulent mettre ce pays de 342 000 km² et de 4 millions d'habitants KO !

En favorisant le développement de l'économie congolaise sous la coupe des étrangers (Libanais, Pakistanais, Chinois, Indiens, Mauritaniens, Béninois, Maliens, Sénégalais, etc), ce régime, ce clan et ce gouvernement d'amateurs organise "la mort" certaine de notre peuple qu'ils n'ont jamais aimé. Et au-delà de cette opération volontaire, de ces gens qui n'aiment que l'argent du congo et pas les congolais, encore moins le congo, c'est l'ensemble de nos filières économiques et donc de notre souveraineté qui est lourdement pénalisé par ce choix, et nous le vivons tous les jours, surtout les Vendredis, et tous les matins avec les prières de 5h dans les Minarets des mosquées dans nos villes.

En bradant des pans entiers de notre économie aux étrangers, ces personnes n'hésite pas à prendre le risque de fragiliser des générations entières sans sourciller. Pire, ils vont plus loin en se partageons les filières, sans talents aucun, avec ces mêmes étrangers, créant ainsi les conditions de non-concurrence.

L'Institut Génération Tangible se révolte contre ces assassinats économiques et industriels programmés du pays. Nous exigeons du gouvernement une politique digne, même si le temps joue contre eux.

Enfin, en pillant sans vergogne les ressources économiques du pays, en organisant la fuite des capitaux avec la complicité de ces mêmes "autorités" congolaises avec lesquelles ces étrangers sont en complicités (les scandales et casseroles en témoignent), ces gens mettent en péril la rénovation, le renouvellement et l'essor de notre économie en ce 21è siècle très mondialisé qui exige innovation, créativité, esprit entrepreneurial, fragilisant ainsi tout le pays. Là encore, la logique est la même. Détruire, laminer le pays, son peuple, son économie, alors même que le pays est insolemment riche en ressources et en matière grise, formés à l'étranger, car surplace, le doute sur les compétences et le professionnalisme est fortement de mise. Cauchemar pour les uns, espoir pour les autres: les notions de tribalismes traditionnelles sont définitivement fracassées et le pouvoir, demain au Congo-Brazzaville, ne se gagnera que sur deux axes incontournables : l'économie et l'identité.

Il faut appeler un chat un chat ! C'est notre responsabilité de Leaders politiques des "Nouveaux Constructeurs du Congo-Brazzaville" que de demander à ce régime d'être cohérent et de savoir quitter les choses avant que cela n'arrive de force. Nous voulons alerter l'opinion congolaise sur l'absence de réflexion et de garanties à long terme qui pose des questions sur les choix des politiques de ce régime. Des politiques qui ne sont pas sans conséquence sur l'avenir des filières industrielles, tertiaires et de leurs emplois.

Sortez dans les rues pour manifester et pousser au départ ce régime en 2016.

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Pourquoi il faut la fin du règne des Sassou-Nguesso et du PCT au Congo-Brazzaville en 2016.

26 Janvier 2015 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Tout d'abord nous constatons, comme tous les Congolais, que notre économie est en panne, et que notre société est en peine, frustrée et minée par la haine et la jalousie. Nous considérons qu'il est du devoir de nos responsables politiques de tout mettre en œuvre pour faire repartir la machine en réconciliant la justice sociale avec l'efficacité économique. Il est donc du devoir de la nouvelle élite dirigeante, pas celle quia déjà faillit, actuellement aux affaires, de prendre les choses en main. Trop de réformes, de transformations, dont le gouvernement et sa majorité se targuent de faire, d'avoir fait, et vouloir continuer à faire qui n'ont rien apporter à personne et dont l'utilité est pourtant indiscutablement établie, ont été repoussées depuis trop longtemps – des décennies, pour certaines –, car les corporatismes se prétendent défenseurs de l'intérêt général, alors qu'ils ne sont animés que par la volonté de préserver les rentes et les avantages tribalistes ( comme les constructions pharaoniques dans le nord, précisément à Oyo). Ces transformations, ces réformes sont plus urgentes aujourd'hui que jamais, afin d'améliorer le quotidien de chaque congolais, ou qu'il soit.
Nous récusons donc catégoriquement, à l"Institut Génération Tangible (I.G.T), l'idée selon laquelle certaines avancées méritent d'être continuées, appliquées parce qu'elles seraient trop timides. Oui, le Congo-Brazzaville est un grand chantier ou tout est à refaire. Il faut certes poursuivre les efforts engagés, et remettre chaque jour l'ouvrage sur le métier. Mais non, nous n'avons plus le droit de laisser faire les Nguesso-Sassou et le PCT les pas qui ne nous ont pas menés dans la bonne direction, quand bien même nous aimerions qu'ils soient plus grands, ou plus rapides. Nous devons à présent créer de Notre modèle de société congolais avec des standards mondiaux et africains, afin qu'il soit un modèle plus juste et plus efficace au service des congolais aussi et d'abord. Alors, défendre le Congo, ce n'est pas le figer, mais le moderniser.
Nous sommes par ailleurs convaincus qu'au-delà de la somme de mesures d'inégale importance, il est capital de montrer aux Congolais et à nos partenaires étrangers que notre pays est capable de mouvement, de vrai mouvement, dans la transparence et la justice et l'équité-égalité. Dans un Congo qui a le sentiment de s'enfoncer dans l'impasse et qui ressent plus vivement encore depuis le sommet USA-Afrique, puis le sommet au Sénégal ou le président ferme, François Hollande a donné, comme le fît Obama, des signaux forts et tangibles d'inflexions, puis des des printemps au Burkina-Faso et Bientôt en RDC voisine, l'urgence d'un rebond collectif, l'immobilisme politique serait une faute et nourrirait directement le populisme et la haine des Nordistes pr rien. Pour toutes ces raisons, nous pensons que le Parlement congolais, tout comme le gouvernements et tous ses laquais de ministres ne devrait pas toucher à la constitution, mais qu'il faudrait au contraire qu'il préparer leur sortie et celle de leur chef Denis Sassou-Nguesso et de leur parti le PCT/RMP en 2016, cela est plus utile. Surtout, nous lui demandons de ne pas faire la politique de la terre brulée comme l'avait tenter khaddafi et Gbagbo. Un nouvel élan est en marche; faisons en sorte qu'ils ne soient pas déçus et que ce départ imminent et cette fin imminente après plus de 50 ans de règne inique, soit effectivement le commencement d'un nouveau cycle. Un cycle qui redonne à la jeunesse de notre pays toute sa place, comme l'Institut Génération Tangible le fait.

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La ligue des pleutres et veuls à la tête du Congo-Brazzaville

12 Décembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Derrière les piques, les hésitations, le louvoiement et les querelles de cour entre Ndenguet, JDO, MBOULOU, MOUNGALLA, MABIALA, OBARA et PCT, se profile un Denis Sassou-Nguesso qui ne sait pas où il va, encore moins, où il veut emmener le pays. Mais que cherche-t-il exactement ? Séduire une frange du Nord proche de lui, les traditionalistes et sécurocrates gardiens ultime du régime essoufflé, les militants affamés qui vivent des miettes, les nouveaux riches nés de son retour en 97, ou personne au final ? Denis Sasssou-Nguesso, en dépit des apparences, est un faux dur. Pas si courageux que cela (contrairement à tous les surnoms pléthoriques "de puissance" qui lui sont attribués, ainsi que sa longévité à la tête du Congo-Brazzaville, en terrorisant les populations sans sourciller). Pas aussi déterminé qu'il l'a tjrs dit, et pire encore, voulu le faire croire aux congolais depuis maintenant 37 ans. Peu enclin à affronter des poches de résistance décidées à lui en imposer ( ns le voyons actuellement, les luttes internes qui minent ce régime finissant). Les passages en force de Jean-François Ndenguet seraient la confirmation de cette théorie du Sassou-Nguesso faux-semblant. On sait depuis longtemps que l'actuel président congolais est aussi un homme qui se dérobe ou se soumet, ou les deux, dès lors qu'il est confronté à une substitution archaïque de la représentation "bantou" et de l'animisme, ne sachant que jouer avec les ethnies, fondées en substrats électorales (ça n'est pas cela faire de la politique moderne, en louvoyons, en favorisant les consensus mou, les équilibres qui ne tiennent sur rien de légitime, des synthèses ubuesque entre tribus/ethnies). Il suffit de de souvenir de son aveu, sur son attachement au NDZOBI pour diriger un pays, ou y demeurer à sa tête aussi longtemps que possible (d'après lui et ses conseillers ignares), pour s'en convaincre. Ces anecdotes autour du cas NDENGUET et des sécurocrates de ce régime disent aussi un Sassou-Nguesso sans ligne politique, et ce, depuis tjrs, mais certains ne le découvrent qu'aujourd'hui (vaut mieux tard que jamais, dit-on..) écartelé entre les sécurocrates et le cercle familiale. Denis Sassou-Nguesso est à ce point écartelé que l'on ne peut pas se demander quand, et comment, tout cela va finir par craquer ( tant son entêtement devient puéril et grotesque). Avant la fin 2016 ? Car le risque qu'il prend ainsi, à vouloir additionner les serviettes "sécurocrates" (derniers piliers de son régime au pied nickelés) et les torchons "le clan rapproché familiale" se résume en un phrase : le risque ultime de plonger le pays dans une guerre civile dont ils n'ont pas la maîtrise de l'ampleur des dégâts sur, au minimum,3 générations. Tant les congolais ont accumulés de frustrations, de haines, de jalousies, de colères, ils boues en eux, de savoir les injustices aussi criantes et visibles, mais moquées par ces pseudos élites et dirigeants du Congo-Brazzaville aujourd'hui..(n'est ce pas un M. Ibovi qui disait, il y'a encore quelques années en réponse à la question d'un journaliste, je le cite : "il n’y a pas de pauvre et de pauvreté au Congo, où en voyez-vous des pauvres?" tt ceci laisse songeur sur le faussé qui sépare les deux classes..). À quoi bon vouloir se maintenir, au point d'en arriver à la politique de la terre brulée, sachant que l'on ne vs supporte plus, les congolais de tous bords, de toutes couches, ne supporte plus la classe politique traditionnelle à la sauce PCT/RMP ? À quoi bon vouloir initier de faux référendum, de faux dialogues, de faux consensus, lorsque l'on sait le niveau de théâtralisation de ce type d'initiative propre à irriter/diviser, qu'à rassembler un peuple, un pays qui ne veut plus de vous ??!! Alors entendons nous bien : Le pire qui puisse arriver dans un pays divisé comme l'est aujourd'hui le Congo-Brazzaville... des conflits larvés interminables.

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LUTTONS CONTRE LE TRIBALISME AU CONGO-brazzaville

9 Décembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Les Leaders du Congo-Brazzaville de demain que nous sommes, ne devons pas nous défausser devant les immenses chantiers qui nous attendent, en l’occurrence, la corruption, l'incivisme, la médiocrité, la fainéantise des congolais aujourd'hui, et surtout, le Tribalisme qui cristallise toute notre société aujourd'hui.

Pour nous à l'institut Génération Tangible (I.G.T-"Ba solutions"), extirper le tribalisme dans la société congolaises du 21è siècle passe, et passera par un travail pédagogique au long cours et cette lutte s'accommode mal d'indignations de circonstance, comme c'est souvent le cas.

Nos ainés de 1960 à aujourd'hui, ont faillis en tous points sur ce terrain là.

Parce que le combat contre ce fléau doit commencer à l'école, et pas de façon conjoncturelle, mais tout le temps et traversant toutes les matières d'enseignement, jusqu'à l'implanter au sein des familles, dans les maisons. On ne naît pas tribaliste. Il n'y a pas un gène qui se glisserait par effraction dans le système du vivant des congolais. Le tribalisme, ça s'apprend, ou du moins ça se répand, on vous l'inculque, et personne n'est à l'abri de le pratiquer, que ce soit avec des mots (des insultes) ou avec des comportements (lors d’alliance, de métissage, de recrutement ou autres).

Pourquoi faut-il tout miser sur l'éducation des enfants congolais de demain, ceux du 21è siècle et ceux d'après ? Parce que Spinoza nous a prévenus il y a longtemps en affirmant que "tout être persévère dans son être". Autrement dit, l'homme ne change pas en profondeur, il peut évoluer ou aggraver ses travers, mais le fond reste le même.

Les adultes et parents congolais sont un cas désespéré, car anachroniques et désuet face aux profondes mutations de notre société mais aussi du monde nouveau et mondialisé qui nait devant eux. Essayez donc de convaincre un parents ou une personne tribaliste que ce tribalisme-là est intolérable, qu'il est à l'origine de la tragédie la plus terrible du Congo-Brazzaville depuis 55 ans maintenant. Il s'accrochera à ses certitudes et ira plus loin en niant l'existence des précédents faits désastreux des années 60, ainsi que des différentes guerres tribales qui accompagnent notre petite histoire congolaise. Non. Aux adultes et parents congolais de Brazzaville, il nous faudra leurs opposer la loi et faire fonctionner la justice. Un arsenal législatif impardonnable et coercitif devra voir le jour pour réprimer toutes ces pratiques nauséabondes et datées, qui puniront le tribalisme et son incitation à tous les échelons. Il faudra les appliquer avec rigueur et force.

Les jeunes congolais attendent qu'on leur explique le mécanisme du tribalisme dès le plus jeune âge, ils veulent comprendre pourquoi les congolais s'entretuent entre eux depuis 1960. Tout enfant est disponible pour humilier un autre enfant sur la base de la différence. Au début, cela paraît presque banal. Mais s'il n'y a personne pour lui expliquer son erreur et sa faute, il poursuivra dans ce chemin jusqu'à être un jour convaincu que "le nordiste est inférieur au sudiste, que le juif est synonyme de démon, que le noir est inférieur au blanc, que le musulman est terroriste et islamiste, prompt à chosifier la femme,etc.".

La première leçon à enseigner aux enfants congolais de demain consiste à retirer de leur esprit qu'il existe des tribus auxquelles ils appartiendraient dès leurs ,naissances, qu'il existe des races humaines. Or c'est en croyant que le Congo-Brazzaville est divisée en tribus qu'on donne une "justification" au tribalisme. Il n'y a qu'une seule tribu, la tribu congolaise unifiée, composée de quatre millions d'êtres humains aujourd'hui, et demain, sept millions, tous différents et tous semblables. En revanche, du fait qu'aucun animal ne ressemble à un autre animal, c'est normal de les distinguer par races.

Nous savons que d'aucuns se demanderont qu'on est ce que ce mal va s’arrêter au Congo-Brazzaville, tant il a fait et continu à faire des dégâts ? La réponse est, hélas, toujours la même : le tribalisme, comme tous les nombreux autres maux que nous avons cités tout au début, car la liste n'est pas exhaustive, s'éteindra avec la fin du régime de Denis Sassou-Nguesso et tout son système, ce n'est qu'à ce prix là, sinon, il perdurera et prendra une autre forme, si un de ses sbires prenait le pouvoir. Ce n'est pas une fatalité, mais on peut l'empêcher de se propager et de détruire des génération de congolais, et notre sociétés. C'est pour cela que l'éducation est essentielle. Il faut faire plus d'éducation civique par semaine, par mois, par an. Il faut introduire la réflexion sur le tribalisme dans tous les domaines, que ce soit en enseignant l'histoire et la géographie, le sport et la littérature, et ainsi de suite. Autrement dit : l'enseignant congolais de demain doit être motivé et inclure dans sa pédagogie cette dimension qui fait partie de la vie.

La lutte devrait concerner tous les domaines et savoir que le tribalisme s'insinue partout. Si on élève nos enfants congolais avec cette vigilance, nous avons des chances pour que, plus tard, une fois adultes, ils sauront en principe ne pas tomber dans cette faille qui profite de la liberté d'expression pour répandre la haine et le mépris. Et qui permet surtout le maintien d'incompétent et amateurs à de hauts postes au Congo-brazzaville.

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Le Congo pays ringard ? Les congolais, peuple ringard ? Peuple drogué à l'émotion, aux verbiages et aux discours creux ?

25 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Nous devons nous atteler à "tuer le vieux Congo qui se meurt" avec ses pseudos élites qui ont conduits ce pays là ou il est aujourd’hui. Ainsi, seulement ainsi, nous pourrions rebâtir un nouveau Congo sur de nouvelles bases, de nouvelles valeurs. Nous devons nous atteler à démontrer, nous leaders politiques du Nouveau Congo-Brazzaville, qu'après, ce sera meilleur et mieux, beaucoup mieux qu'avant. Car tout est à faire-refaire au Congo.

Or, que voyons nous aujourd'hui dans la diaspora ou au Congo, que des débats puérils, ou les personnes s'auto-calinent en calinothérapie, s'auto-congratulent, s'auto-admirent, l'entre-soi qu'ils dénoncent, ils la pratiquent avec acuité, et le tout dans une vacuité sidérante. Des discours creux, car adeptes de la pensée creuse, adeptes du verbiage à toutes les tournures de phrases pour mieux endormir et masquer leurs insuffisances.

Ces gens se fourvoient!

Le congolais est devenu un émotif en tout et pour tout! Horrible! Nos aïeux doivent se retourner dans leurs tombes!

Nous sommes un pays immensément riche qui plaît aux peuples du monde. Nous avons beaucoup à offrir, mais d'abord à nos populations. Autrefois, tout cela n'était pas qu'une conséquence comme cela est devenu aujourd'hui au Congo-Brazzavile sous l'ère Denis Sassou-Nguesso : les usines pléthoriques et de qualités que nous avions autrefois, tant en transformation qu'en production, étaient là pour donner du plein-emploi au Congolais, loin devant les services et l'informel (l'informel que certains dans une association, veulent légaliser et généraliser..l'on voit bien que quand on a des gênes socialistes, on n'a pas beaucoup d'idées, sauf de pompeux discours, et des convictions que sur sa personne, jamais sur les idées novatrices). Quand Jacques Joachim Yhombi-Opango, Massamba-Débat, au XIXe, ont remis les congolais au travail, ça n'était pas pour qu'au XXIe siècle, l'on deviennent un peuple pusillanime, veule, pleutre et fainéant : c'était pour donner aux congolais de vrais valeurs de Mérite, du Travail bien fait, d'Engagement, d’Effort, d'abnégation, de meilleur qualité de vie avec une économie florissante qui donna la fortune autrefois aux congolais. Aujourd’hui il faut accepter de regarder la réalité telle qu'elle est si l'on veut la changer : le Congo-Brazzaville est devenu un pays ringard ! Un peuple ringard !

Dans les jours qui viennent (d'ici à 2021) se jouera le départ ou non, de Denis Sassou-Nguesso à la tête du Congo-Brazzaville, après 37 ans de règne et tout son système avec lui. Tout ce que les personnes "dites engagées" trouve à dire sur le sujet, c'est qu'il faut attendre, ou même pour certains, dialoguer ! Ça n'est pas un enjeu pour des leaders politique visionnaires contemporain ! L'opposition congolaise, c'est d'une part un les "radicaux" à qui Dieu a prédit un jour un destin de chef d'État et d'autre part une bande d'apparatchiks affamés qui déclenchent des tempêtes dans leur verre d'eau sans s'apercevoir que leurs escarmouches dérisoires sont accueillies par une indifférence générale ( les diasporas). La question est-elle vraiment, pour l'avenir du Congo et des congolais, d'écouter-regarder_lire ou non avec ces gens-là ?

La responsabilité des acteurs publics aujourd'hui que nous sommes, c'est d'inventer la ligne politique sur laquelle le Congo-Brazzaville pourra remonter cette pente de déclin sur laquelle le pays et le peuple semble devoir glisser inexorablement jusqu'à fondre dans les brumes de l'histoire de sa perte en tous points. La responsabilité des partis ( à tuer aussi), c'est de fédérer une majorité de Congolais autour d'un programme vraiment nouveau, d'un modele, d'une histoire commune, d'un idéal, du sens et vraiment sincère ( le programme) qui permettra de refaire de notre pays un espace où l'on pense, où l'on invente et où l'on travaille. Il fut un temps pas si lointain où les esprits les plus affûtés, les innovations techniques et les productions les plus intéressantes dans le bassin sub-sahaérien étaient au Congo-Brazzaville : apporter une réponse à la question de savoir comment retrouver cela et aller au-delà, c'est la seule responsabilité des acteurs publics aujourd'hui, que nous sommes, pour que nous nous maintenions dans l'histoire africaine et du monde au lieu d'y disparaître.

Les congolais doivent apprendre à porter des jugements de valeur sur les institutions de leurs pays, librement, loin de l'émotion et de la peur distiller par les uns et les autres, mais aussi l'auto-peur. Cependant, il est évident que, lorsque le sentiment de frustration est aussi fort, aussi profond, aussi durable et aussi massif, il y a à s'interroger sur la confiance dans ces institutions, et donc la capacité des institutions à assurer cette paix sociale. L'attitude des "sécurocrates" du régime de M'pila à Brazzaville est aberrante. Jean-François Ndenguet, Yoka, JDO, Mboulou, Obara.

Alors que les idiots utile du régime autocratique de Denis Sassou-Nguesso prennent peur, car le temps de la fin arrive. A la diaspora, cesser de vouloir fournir ce qu'il y a de plus précieux en politique : un grand récit collectif à ces gens, ce qui leur permettra, au risque de désillusions, leurs maintien à sa tête. Ils ont peur! Ils ne sont, aujourd'hui, que le miroir de nos impuissances. C'est à nous de relever le défi. Congolais, Congolaises, il est toujours possible, encore, d'inverser le cours des choses dans notre beau pays riche.

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La position pusillanime de Denis Sassou-Nguesso face à Ndenguet, Okemba, Obara, le ringardise

19 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Denis Sassou-Nguesso, un président pusillanime en fin de mandat ?

La question se pose vraiment! A la lumière des faits, des actes, posées par les sieurs "Sécurocrates" de son régime finissant, en l’occurrence, les sieurs Obara Philippe de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur et Extérieur Congolais, Emmanuel Yoka de la Justice, Jean-François Ndenguet de la Police Nationale congolaise, de Raymond Zéphirin Mboulou de l'intérieur et enfin, du chef d'orchestre Jean-Dominique Okemba de la sécurité présidentielle.

Cette "task-force" ce permet des libertés sans limites sur la terreur vis-à-vis des congolais pour pouvoir se maintenir au pouvoir, en affichant plus ou moins ostensiblement son rêve longtemps mijotées, et avortées en premiers lieu le 4 Mars 2013, puis, aujourd'hui, vu l'état d'affaiblissement du clan Sassou-Nguesso, et du régime, face à la fronde contre la modification et/ou la révision constitutionnelle dans le pays, celui d'être "calife à la place du calife", avec en prime zéro talent et pire que Denis Sassou-Nguesso.

Ces messieurs bafoue toutes les Libertés Individuelles primaires des congolais, des étrangers au Congo-Brazzaville.

Ils se pensent et se voient à la tête du Congo-Brazzaville à la place de Sassou-Nguesso en 2016, en le forçant à la sortie pour éviter un "printemps congolais" à la manière du Burkina et des printemps arabes.

Le vrai danger, et nous le savons toutes et tous, c'est que ces gens sont pleins de haine et sont d'une incompétence notoire sans égales! Ils sont quatre-vingt fois pire que l'homme Denis Sassou-Nguesso, et tout le clan réunit.

Monsieur Denis Sassou-Nguesso, vous le savez au plus profond de vous même que vous ne pouvez pas laisser le Congo-Brazzaville entre les mains de ce type de personnes, suicidaire pour tout le monde, et en premier lieu votre clan, puis les congolais ensuite.

Alors, sortez de vos logiques anachroniques et clanico-tribalistes pour conquérir ou se maintenir au pouvoir, pour ouvrir le jeu et éviter de précipiter le pays dans un clivage suicidaire et des guerres en permanence. Prenez votre courage et dites-le que vous ne toucherez pas à la constitution, ouvrez le jeu en passant le flambeau aux congolais, loin de votre cercle et de votre système.

Les actes délibéré de vos "sécurocrates" actuellement au Congo-Brazzaville dénotent d'un profond manque de respect et de considération pour vous et votre autorité, alors même que vous êtes en place et n'avez plus, quasiment, votre mot à dire, tant vous êtes pris dans l'étau de votre propre système. Alors nous vous appelons à sortir de là courageusement, pour une fois!

Pour une fois, soyez lucide et soyez un homme de convictions! Sortez de votre pusillanimité suicidaire pour tout lemonde. Ne vous couchez pas aussi facilement!

Pensez contre vous même et contre votre clan et votre système Monsieur le président.

Ils n'ont aucune vision, aune conviction, aucune méthode, aucune stratégie, sinon que celle de se maintenir pour se protéger et protéger leurs acquis. Est-ce cela le projet pour le Congo ? C'est plus que court.

Prenez vos responsabilités!

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L'institut Génération fait des préconisations pour rendre les sports attractifs au Congo-Brazzaville

12 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Tandis que l'Inde, le Brésil, la Chine, la Russie (en somme, les pays émergents du BRIC) confortent, développe, et stabilise leurs championnats sportifs, nous au Congo-Brazzaville, ns procédons comme d'habitude, dans tous les domaines, à l’ancienne, avec des méthodes d'un autres âges, sans imagination, pas d'inventivité. Alors même que le monde a changer, évolue à vitesse grand V. Alors même que les dirigeants italien nous vilipendes, Willy Sagnol insulte l'Afrique et ses sportifs, l'Institut Génération Tangible à juger utile d'injecter du génie, et installer dans le débat public, des propositions tonitruantes adaptées au monde d'aujourd'hui et de demain, pour pouvoir développer les sports et nos championnats congolais dans tous les sports.

8- Travailler à la construction d’installations sportives de qualités avec commerces et restaurants :

Cela permettrait ainsi, à la manière d'Arsenal, de pouvoir mieux fidéliser les supporters, et donc, là aussi, une autre source d'entrée d'argent pour la grande chaîne du sport congolais.

9- Travailler à des calendriers sportifs plus fournis avec des rencontres de qualités au sommet :

Pour le grands plaisir des congolais, des élites, des familles, des jeunes, des aînés, mais aussi du monde sportif, tout le monde aurait à gagner.

10- Favoriser pour chaque club, dans chaque sport, d’avoir un ou deux centres de formations, pour travailler à produire la relève (tant des coach que des athlètes) :

Nous voulons toutes te tous, voir briller le congo dans le sport, mais encore faut-il que nous ayons des athlètes de qualités, des encadreurs de qualités, des dirigeants des fédérations, de qualités.

Pour finir, soyons en phase avec notre époque, et cessons d'être à la remorque du monde, si nous voulons nous faire respecter !

Ce qu'il faut, c'est que tout le monde puisse être content, et vivre du jeu, de manière équitable. Les joueurs, les organisateurs, les fédérations. Il y a des fédérations qui ne vivent que grâce à leur tournoi : aujourd'hui par exemple, la fédération de tennis canadienne peut aider des jeunes et payer des entraîneurs parce que l'open du Canada [un Masters 1000] dégage des profits.

Alors au travail !

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L'Institut Génération Tangible préconise la fin du régime présidentiel au Congo-Brazzaville

11 Novembre 2014 , Rédigé par Son Excéllence Foryblan Dash BAKOULA, Chargé de Mission, Travail, Emploi, Formation professionnelle, dialogue social, entrepeneuriat.

Des réformes économiques, sociales et politiques sont nécessaires au Congo-Brazzaville, mais une refonte du système politique, administratif est également indispensable pour son essor d'ici à 2050. Une refonte qui impliquerait de mettre fin au système semi-présidentiel et à la trop grande concentration du pouvoir des présidents élus et de l'ethnicisme exacerbé de la société congolaise transformé en substrat électorale. L'institut Génération Tangible estime qu'il est fondamentale de faire tarir la source qui permet aujourd'hui au Congo-Brazzaville, à des personnes dépourvues de talents politiques, de convictions, de stratégies, de méthodes, de valeurs, de visions, pour le pays, sa circonscription, de pouvoir se positionner, contre argent, à toutes les élections, en espérant, d'après leurs calculs, pouvoir s'en mettre pleins les poches une fois élu. En pus de toutes ces tares, Génération Tangible estime que, vue le niveau d'analphabétisation d enos populations, au regard du taux d'illétrés croissant depuis 1997, il n'est plus opportun de voir ce tissu se pérenniser (tant pour tous les partis politiques, que pour les régimes). Car aujourd’hui, sur les 342 000 km², dans l'arrière pays, les populations n'ont en mémoire qu'un nom, qu'un partie : Denis Sassou-Nguesso et le PCT. Est-il bon et sain de vouloir bâtir un Nouveau Congo en 2016 et au-delà sur ces bases fausses? NON!

Pour les parlementaires (députés en l’occurrence, car le Sénat doit-être supprimer), comme en Suède, ils n'auront plus aucunes indemnités, plus aucuns véhicules, leurs nombres divisés par quatre. Ils paieront leurs campagnes avec leurs deniers et pas de remboursements. Ainsi, nous n'aurons que des personnes, candidates, bardées de valeurs, de visions, de réelles convictions pour développer le pays, nos territoires. Une puissante décentralisation devra se faire, mais pas à la hâte, car, aujourd’hui, au Congo-Brazzaville, nous n'avons pas encore, localement, les compétences nécessaires pour rendre les gestionnaires locaux responsables du développement local, économique, social.

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