Le Congo-Brazzaville post-Covid-19 et Post Sassou-Nguesso et cie : une feuille de route s’impose
Pour surpasser l’impact sanitaire et économique de la pandémie, mais aussi la lâcheté de la jeunesse congolais et des congolais face à un homme, un régime qui a spolier le pays et spolie le pays depuis 40 ans, le Congo doit repartir d’un nouveau pied et se restructurer « le tout agriculture, ou encore le tout Numérique ne suffit pas : stratégie court-termiste» ! Donc, absence de vision claire, cohérente et incompréhension des enjeux et sujets économiques et de développement.
Une feuille de route à redéfinir avec le Projet et la Vision « #NewStart #NouveauDépart. #Reset.
Nous devons définir notre propre agenda à travers une feuille de route ajustée à nos réalités et qui place la souveraineté de notre pays et de notre peuple, la bonne gouvernance et l'innovation au cœur des préoccupations de tous projets politiques et de toutes visions. L'objectif est de générer une croissance durable et inclusive.
Cela implique naturellement que nous reconstruisions un État fort, protecteur et puissant qui jouera un rôle encore plus prépondérant dans la création de conditions qui garantirons le bien-être des populations congolaises et encouragerons l'initiative privée pour faire exploser le chômage et rendre le pays et sa population riche et prospère. Pour ce faire, il sera difficile de déroger à l'obligation de s'engager dans des réformes structurantes, c'est-à-dire capables de porter durablement les ambitions du pays et des populations. L'illustration en est faite avec l'Éthiopie dans le secteur des télécommunications ou le Togo dans celui du numérique, pour ne citer que ces exemples.
Les investissements massifs faits dans le numérique, la transformation et l'interconnectivité, entre les villes et les différents bassins d'activité, ont rendu possible l'émergence de champions régionaux répartis à travers le continent comme le Maroc, le Kenya, la Côte d'Ivoire, l'Égypte, etc., selon les secteurs. Au-delà de ces axes d'investissement, il importera de multiplier les partenariats public-privé (PPP) orientés vers des investissements créateurs de valeur locale ouverte sur l'international.
Avec la pandémie qui vient de secouer le monde, l'impératif de politiques d'investissement plus volontaristes dans la santé et la recherche s'impose avec, au bout, le souci de faire émerger des pôles régionaux de compétences dans tout le pays, de quoi gagner en expertise et par suite en souveraineté dans une logique de coopération étroite entre les différents pays de la sous-région. Last but not the least. Avoir à l'esprit de bâtir une croissance respectueuse de la préservation de la vie et la dignité humaine congolaise sur chaque territoire, par une gestion maîtrisée des ressources naturelles ainsi que par la prise en compte des enjeux climatiques. Pas les à peu près qu’offre le dictateur depuis 40ans, et encore récemment pour 5 ans et après jusqu’en 2031 puisqu’il envisage de mourir au pouvoir.
Sur ces sujets, les efforts doivent être consentis pour que la protection sociale des congolais, par exemple, soit enfin assurée. À cet égard, un système politique sain et des politiciens sains, plus fort sur le plan politique, socio-économique et environnemental pourront faire du Congo-Brazzaville un partenaire de tout premier plan pour une réflexion et une mise en œuvre efficiente de la restructuration du projet de développement de notre pays en exemple dans la sous-région francophone en Afrique Centrale.
Au moment où le monde est à un tournant décisif, le Congo-Brazzaville tient, au-delà des événements difficiles vécus actuellement, et que nous vivons depuis 40 ans (la Libération et L’Essor arrivent), une opportunité de penser et d'accélérer sa transformation et son Essor socio-économique et politique, puis sociétal en consolidant nos valeurs, us et coutumes et modes de vies. Celle-ci ne saurait seulement reposer sur les épaules des seuls dirigeants. Société civile, leaders économiques ou associatifs sans compter le congolais de base ont aussi leur partition à jouer dans cette transition où sens de l'initiative, bonne gouvernance et transparence se côtoieront autant dans des projets nationaux qu'internationaux puis territoriaux.
Foryblan BAKOULA
(Leader des Conservateurs Congolais /
Président de #Congo_#Industrie)
Foryblan BAKOULA "Améliorons le Quotidien des Congolais".
L'Heure est venu pour «Tarir enfin la source du cauchemar congolais».
LE COMBAT DE CAGE est arrivé! C'est Maintenant ou jamais. Les congolais, intellectuels, Lettrés, Chefs d'entreprises, chefs coutumiers, autres politiciens et politiciennes congolais, dirigeants somnambules doivent se réveiller face à la dictature déchaîné qui veut se pérenniser avec la pseudo élection de #2021. Sinon, les Congolais n'auront plus comme choix que la soumission, le tribalisme, le séparatisme régionale ou la guerre civile: ceux qui refuseront de se plier à la dictature tribalo-clanique-Nordiste ne pourront compter que sur leurs propres forces pour résister. Déclarer: «Ils ne passeront pas! Pas d'élections en #2021! #SassouDegage! #FreedomCongolese!», comme le font les Mouvements citoyens, les jeunes qui ont LA charge de se battre au prix de leurs vie pour la Libération du Pays, auprès de cette dictature sanguinaire, est inutilement déclamatoire. Le congolais sait, mieux que quiconque, que l'ennemi a infiltré la société et bien des rouages de l’État. Les bébés noires, la putoisie, l'insécurité, le chômage massif, l'absence de santé, d'éducation, est le produit conjoint de la religion à tout va, un choix assumé démoniaque et de la République angélique de Dénis Sassou Nguesso-Denis Christel Sassou Nguesso. La démission des populations congolaises affamées a fait le nid de la terreur depuis 40 ans.
L’économie congolaise subit le joug du tribalisme systémique
Les populations congolaises du nord comme du sud, du centre, paient le le plus lourd tribut économique, éducatif, social, judiciaire, et sanitaire à cette dictature. Ils ne mesurent pas les dégâts et l'absence de politiques publiques puissantes et sérieuses pour le pays, les populations. En laissant les étrangers de mèches avec eux, mettre main-basse sur notre économie, ouvrant grandement les portes au mélanges et aux populations étrangères en espérant noyer le congolais d'origine et de souches, ils font de graves erreurs qui risquent, si nous ne les chassons pas en 2021, de ne plus pouvoir être rattrapés.
Le congolais est en marge de la société, de l"économie dans son propre pays...incroyable! Et cela n'horipille personne...
Je crois à la société du travail, des compétences & de l’émancipation.
On ne transformera pas l’économie Congolaise en brandissant des déclarations de bonnes intentions.
On l’entend et on le lit à longueur d’articles : l’économie congolaise doit se réinventer pour jouer un rôle nouveau à la hauteur des enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux de notre pays et des attentes de nos populations. Ce pays avait autrefois une vraie économie jusqu’en 1997. Puis, elle a été mise à mort volontairement pour mieux asservir le peuple à dessein, par la dictature de 40 ans. La crise du Coronavirus a mis un coup de projecteur sur ce problème cette non-économie que nous avons au Congo-Brazzaville, sinon celle assise UNIQUEMENT sur le PETROLE ! Peut-être va-t-elle jouer un rôle d’accélérateur à présent. Mais, pour le moins, ces sujets ne sont pas nouveaux. Et force est de constater que les choses doivent bouger pour améliorer les conditions et le quotidien des congolais. C’est fondamental.
L’économie congolaise d’après que nous devrons bâtir et à laquelle nous avons déjà réfléchit, n’émergera qu’à trois conditions : des règles du jeu claires et intangibles données par le législateur ; une pression sans relâche des parties prenantes notamment sur Tous les investisseurs, investisseurs étrangers, les clients et les collaborateurs congolais; et enfin des entreprises revisitant en profondeur leurs logiciels. Voici comment :
Il faut n Etat donnant et faisant respecter des règles du jeu claires dans l’économie. Pour bouger en nombre, les futurs dirigeants et autres créateurs d’entreprises au Congo-Brazzaville (M’Foa) auront besoin de règles du jeu fixées par le législateur concernant la valorisation des investissements bas carbone et la pénalisation des entreprises polluantes. Ici je veux dire que nous allons clairement délaissés les investissements orientés vers l’exploitation de nos ressources naturelles, pour des investissements plus « verts », moins polluants. Finis l’extraction du Gaz, du Pétrole à tout va. L’instauration au niveau national d’un prix du carbone (environ 200 000 FCFA la tonne) serait un signe fort envoyé aux acteurs économiques Total, Shell, BP, Exxon Mobil, ENI, et tous les autres. De son côté l’Etat congolais, lorsqu’il est présent au sein des conseils d’administration, devrait jouer de tout son poids pour pousser les équipes dirigeantes vers des politiques du temps long, plus vertes, plus de R&D, de réinvestissement, d’augmentation salariale et des conditions de travail. C’est loin d’être toujours le cas depuis 40, encore moins aujourd’hui. On va créer le Commissariat général au Plan qui fixerait le cadre des politiques de long terme pour notre économie.
Des parties prenantes tenant leurs exigences éthiques. Des étudiants qui doivent plus aisément pouvoir trouver des stages d’études, de poursuite d’études ou de fin d’études. Pousser les entreprises à modifier leurs pratiques. De nouvelles pratiques sociales, sociétales doivent émergés. Permettant ainsi plus facilement l’embauche des jeunes ayant finis leurs études, peu importe le niveau. En finir avec le complexe de supériorité ou d’infériorité dû aux études. Elles définissent un certain nombre d’exigences sociales, sociétales et environnementales qui doivent être respectées. Création des Labels de bonnes pratiques des entreprises congolaises quelque soient la taille. Etre labélisée engage l’entreprise car elle inscrit le respect d’un certain nombre de pratiques éthiques dans ses statuts. Du coup, si elle y déroge, elle s’expose à des poursuites du législateur ou de ses parties prenantes avec tous les effets d’image associés. De plus, les labels servent de plus en plus aux acteurs à flécher leurs investissements ; aux salariés à moduler leur attraction ou leur engagement ; et aux clients-consommateurs à concrétiser — ou pas — leur acte d’achat.
Des entreprises congolaises modifiant leur logiciel de triple manière. Une gouvernance plus inclusive des parties prenantes et des exigences sociales, sociétales et environnementales. Dans bien des entreprises l’actionnariat, court-termiste, bloque toute tentative de construire un modèle d’affaire et de gouvernance compatible avec le bien commun. C’est possible. Qu’il s’agisse des salariés au conseil d’administration ou de la mise en place d’un comité des parties prenantes, le point névralgique est celui de la formation de ces nouveaux acteurs à la tenue de leur rôle complexe. Condition impérieuse d’un dialogue fécond, peu remplie à ce jour.
Un pilotage des indicateurs extra-financiers (niveau de formation, choix d’organisation, engagement carbone, égalité pro et salariale, avancement des femmes compétentes…). Les indicateurs extra-financiers expriment une volonté prospective de création de valeur. Les leviers environnementaux, sociétaux, sociaux et de gouvernance sont des sources de gains futurs pour l’entreprise. Qu’il faut justifier, ce qui n’est pas toujours simple. Ainsi s’approvisionner en Chine peut se justifier pour mettre en œuvre une politique de prix bas. Encore faut-il intégrer les externalités négatives de toute la chaîne de valeur : les conditions humaines de fabrication, les sources énergétiques utilisées, l’empreinte carbone du transport jusqu’au dernier kilomètre. En finir avec ces pratiques.
Une RSE qui se positionne au cœur du business. La RSE est restée dans bien des cas dans l’économie congolaise et dans les quelques entreprises qui l’ont, une sorte de caution morale. La réduction de l’empreinte carbone est « le » sujet aujourd’hui dans un Congo polluée. Elle se résume la plupart du temps à des déclarations peu soutenues par des politiques transparentes à la hauteur des enjeux. Les acteurs RSE devraient de toute urgence se positionner comme un acteur stratégique. En aidant les équipes dirigeantes à anticiper l’impact de la dégradation de l’environnement au Congo-Brazzaville sur le modèle d’affaire. Et à dessiner de nouvelles opportunités (nouveaux produits…). Leur légitimité future en dépend.
Les démarches à vocation sociale et sociétale sont, elles aussi, trop souvent déconnectées du business. La philanthropie sociale au profit des populations congolaises s’exprime le plus couramment sous la forme du mécénat de compétences. On peut aller plus loin en couplant, par exemple, des expérimentations sociales (retour à l’emploi de chômeurs congolaise, recrutement massif des jeunes non-diplômés, les formés, intégration massive des jeunes femmes en entreprise…) et des enjeux business. On le sait bien, de plus en plus de décideurs publics et privés définissent des critères sociaux comme condition d’accès à certains marchés. Ainsi nous mettrons sur pied les clauses d’insertion pour tous marchés publics, pour toutes créations d’entreprises par des investisseurs étrangers. Notamment la clause d’insertion. Ainsi l’insertion cesse d’être un alibi pour devenir stratégique dans l’approche des contrats.
On ne transformera pas l’économie congolaise, encore moins les entreprises congolaises en brandissant des déclarations de bonnes intentions. Les belles politiques, pour devenir réelles, doivent être reliées aux enjeux stratégiques et être appuyées par le législateur. Alors les acteurs économiques verront ce qu’ils peuvent gagner à mettre en œuvre des politiques au service du bien commun. Condition première de leur mise en mouvement.
Moments de vérité dans le rapport de force qui doit s'installer face à la dictature de 40 ans au Congo-Brazzaville..
Certains épisodes en cinquante six ans de pseudo indépendance jettent une lumière crue sur l’état des rapports de force face à la dictature de 40 ans au Congo-Brazzaville. En 1977, commence la descente aux enfers du Pays avec le énième assassinat ourdit par le dictateur de 40 ans soutenu par des vassales affamés eux-mêmes jusqu’aujourd’hui. Chassé par le brillant scientifique Pascal Lissouba, 1992 ouvre un nouvel épisode de notre pays douloureusement refermé en 1997 par une tragédie sans nom soutenu par jacques Chirac.
Point commun de ces deux aventures : un homme à la solde des français, des puissances occidentales contre les intérêts de sa patrie, de son peuple, trop sûre de lui qui cherche à optimiser une fenêtre d’opportunité mal calculée. Ce qui l’a conduit à se maintenir au prix du sang, des vies des congolais au pouvoir contre la volonté d ceux-ci en majorité. Y intégrant à présent tous ses enfants, ses parents, amies, etc.
Notre pays le Congo-Brazzaville est tombé dans des travers Tribalo-Ethno-Régionalisme suicidaire. Une vraie poudrière, des gens vivant cote-à-cote et se regardant en « chien de faïence ». Les Occidentaux ont peut-être surestimé leurs forces en maintenant le dictateur de 40 ans, Mr 8%, à la tête de notre beau pays. Charge à nous à présent, à la veille de Cinquante Six ans d’indépendance et de néo-colonialisme et de Tribalisme Nordique, de renverser la vapeur afin de mettre hors d’état de nuire ce régime familiale. Saurons-nous parvenir aujourd’hui à un autre moment de vérité ? Saurons-nous reprendre le pays en main, notre avenir et le destin de notre pays en main ? Nous nous trouvons peut-être en face de trois tournants. Un moment de vérité pour la démocratie congolaise d’abord, face à l’offensive autoritaire qui est là depuis quarante ans. Cette épreuve comporte en elle-même un autre test, pour les « vieilles » baronnies nationales notamment dans le Nord, les quartiers Nord de Brazzaville, bastion de soutien aveugle à ce régime, qu’ils comprennent qu’elles devraient cesser de laisser le champ libre aux membres tout-puissants « aux pieds d’argiles » de ce régime, notamment les potentiels successeurs résurgent. Enfin, le système international arrive à une sorte de « prêt à lâcher » le dictateur et son régime, à la condition que le Peuple congolais réagisse lui-même ! Au prix de leurs vies !
Allons-nous enc ore laisser ce régime vomit être là, à spolier l’avenir des congolais ? Si nous ne nous bougeons pas, rien ne bougera, c’est au prix de NOS VIES, de VOS vies, car l’arbre de la Liberté se nourrit du sang des martyrs. Cessez d’avoir peur ! Il faut affronter les chars, les rebelles, les milices, son armée ethnique, sa garde prétorienne présidentielle, ses mercenaires. Ce n’est qu’à ces prix-là que nous reprendrons le contrôle de notre destin, de notre pays sur l’étendue des 342 000 km². Tout autre discours ne sera et ne serait que MENSONGE !
Que Vive le Congo Libre et Libéré !
#NEWSTART , un projet résiliant pour l'emploi et le lien social des congolais. Agissons!
Après 40 ans de dictature, le PCT et ses nombreux alliés n'ont pas pu formé des cadres, des employés qualifiés, des agents de maîtrises, des experts, des consultants, des personnels de santé, des consultants en emploi, formation, économie, handicap, dans la sécurité, l'ingénierie, le conseil, une classe politique de haut niveau et de qualité capable de gouverner le Congo-Brazzaville (M'FOA). Il me semble que le temps des candidatures uniques est révolu, le temps de l'opposition à la mangeoire est révolu. Ma vision dans ce projet #NewStart #NouveauDépart a le mérite de nourrir le débat démocratique interne au Congo, dans ses diasporas à travers le monde qui, pour moi, doit mériter le nom qu’il porte en donnant l’exemple.
En 2012, j’ai proposé un projet législatif dans la circonscription de Loandjili à Pointe-Noire au peuple congolais sans obtenir le soutien de ces derniers. Aujourd’hui, ce projet est arrivé à maturation. Il vise la direction et la gestion du Pays, plus d'une circonscription, plus d'une Mairie, mais du Pays. Et pour le mettre en application, j’ai besoin du soutien de tous les congolais de Bon sens et patriotes. Ma vision dans #NewStart, je l’offre aux congolais du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest en passant par le Centre sur les 34 000 km² comme une opportunité de mobiliser les milliers de jeunes qui ont soif de changement et de rajeunissement. Il faut aussi construire le monde d’après la pandémie de Covid-19. Une gestion dans laquelle ils ont échoués avec Mention et brillo. Avant, pendant, et même après. Il faut le faire! Or, nous ne construirons pas ce nouveau monde avec des matériaux du monde ancien. Voici le sens de ma vision, qui est une chance pour le Congo et les Congolais.
J'estime que la Vision du Projet #NewStart #NouveauDépart constitue un baromètre de l'état d'esprit des Congolais et montre que le fond de cette vision est au cœur de leurs préoccupations. Il est très offensif pour l'avenir de chaque congolais et du Congo avec une ambition propre et autonome affirmée, qui sera décisive pour la suite du Congo et de chaque congolais. Aujourd'hui c'est la fin de la saison 1, la saison 2 commence mes chers compatriotes. La vision de #NewStart #NouveauDépart est issue d'une innovation majeure pour notre démocratie malmenée par les 1000 familles qui l'ont prises en otage depuis 40ans! Cette vision fait preuve d'un engagement sans faille pour pour l'avenir de chaque congolais, car vous n'en avez plus, vous n'en avez pas, et sa construction a démontré que je veux agir pour le pays, pour mon pays, pour mon peuple et ma population sans distinction.
Peuple congolais c'est maintenant qu’il faut agir. En finir au prix de nos vies avec cette équipe de peureux surarmée en #2021. N'attendez rien des occidentaux, encore moins des pseudos opposants-traitres.
PRENONS-NOUS EN CHARGE! PRENEZ-VOUS EN CHARGE! face à cette dictature ignoble et finie.
COURAGE
#FREECONGGO #242
Des moins que rien gèrent cinq millions d'âmes sans emplois, sans formation, sans politiques publique sérieuses
Le décrochage du Congo-Brazzaville est un processus social qui a des conséquences politiques énormes depuis 40 ans qui nous prendra du temps, si nous ne sortons pas cette dictature avant cette nouvelle décennie en 2021.
Il faut de la volonté politique, sans laquelle, rien ne se fera. Mais aussi et surtout LA mobilisation comme un seul homme du peuple congolais dans son ensemble surpassant le tribalisme primaire.
Mais pour agir il faut identifier le problème. Ici, le problème il est connu de toutes et de tous: le pays est pris en otage par une milice, un clan, un système à bout de souffle qui essai de revivre grâce à la crise du coronavirus qu'il n'arrive pas à juguler, gérer. Pour preuve, les cas flambent et comme je l'ai toujours dis, ça finira par les emportés, car cela est divin.
La vision du projet NewStart est une vision d'une politique Résolue pour notre pays et nos populations sans distinction.
Les Congolais ne veulent plus être naïf face aux dettes et aux convoitises des étrangers.
La crise du coronavirus a fragilisé bon nombre d'entreprises congolaises qui deviennent des proies faciles pour les étrangers, notamment français, chinois, libanais, Mauritaniens et autres. Il est plus que jamais important de sortir notre pseudo économie de sa léthargie à tourner en rond, car en réalité, nous n'en avons plus depuis les quarante années de dictature.
Aujourd'hui ce n'est pas d'un Plan de Relance qu'il faut dans ce pays, mais un Plan de Construction Urgente (PCU) en sigle, de notre économie Congolaise. Ici nous avons déjà donné le tableau de bord d'un Nouveau Modèle Social et Economique pour le Congo du 21è siècle de l'après dictature, qui s'assume, crée, ne mime pas, ne copie pas, n'imite pas, mais travail, innove, développe.
Dans ce PCU (Plan de Construction Urgente de l'économie congolaise de Brazzaville), il nous faut travailler rapidement, dans un temps court, mais intensif, ce qu'ils ne savent point faire, à monter de Majors de la sous-région, puis du continent, dans l'industrie 4.0 sur différents secteurs de souveraineté et d'indépendance économique, avec des emplois fortement qualifiés et non délocalisable. La crise Mondiale sanitaire à montrer les limites de dépendre des autres en tous points! Il faut en tirer les leçons.
Des voix s'élèvent plus que jamais aujourd'hui partout dans le pays, dans les diasporas pour dénoncer la naïveté de la dictature clanico-tribalo-policière qui spolie aisément le Congo depuis 40 ans qui au lieu de soutenir la création, l’initiative des congolais dans l'économie, elle donne plutôt son soutien à la sous-traitance aux étrangers, croyant ainsi mieux asservir les congolais. Or, par la même, ils le vivent en ce moment même, que ça n'était pas une stratégie mais plutôt un suicide économique, sociale et qui menace la cohésion nationale.
Les étrangers (français, chinois, libanais, mauritaniens, indiens et autres) ont pris l’économie congolaise entre les mains, volontairement donné pour "mettre les congolais la tête sous l'eau". Un message qui depuis plusieurs mois trouve écho dans les familles, les rues, quartiers congolais et dans tout le pays…
Il nous faut à présent nous concentrer sur la création de nouveaux outils pour mieux répondre aux appétits étrangers sur notre Marché économique, et aussi contrer toutes formes d'envie d'endettement dans notre pays. Les occidentaux qui, avec la crise du Coronavirus qui à bouleverser leurs certitudes, vont annuler, effacer des dettes africaines. Cette fois-ci il ne faut pas, et nous attendons l'effacement de la dette par les chinois, repartir sur ce terrain-là.
Le Congo-Brazzaville doit-être une économie ouverte et étroitement interconnectée au reste de l'Afrique et du monde. Pour que cela soit une force, nous devons être vigilants mes chers compatriotes. Se tenir loin des dettes, de l'endettement facile contre pétrole ou autres. Car la Chine veut être le Nouveau colon de l'Afrique en ce 21è siècle. Il faut lui dire non, merci.
En clair: finie la naïveté. Nous aurons besoin des bons outils pour nous assurer que des entreprises étrangères subventionnées par leurs Etats ne viennent pas chez Nous s'implanter pour nous asphyxier. Ainsi, nous développerons plus de contrôle, élèveront les critères d'accès à nos marchés, à notre économie, à l'investissement, et le ré-investissement dans la même économie afin de développer la Recherche & Développement (R&D). Aussi, tous congolais qui serviraient de prête-noms à un étranger pour s'implanter seront fusillé.
Aussi, 3 mesures envisagées pour sortir de la Naïveté des dettes et de l'économie aux mains des étrangers :
Premièrement: s'il est avéré qu'une entreprise étrangère subventionnée à un effet néfaste sur le Marché congolais et notre économie, les autorités nationales devraient imposer des mesures drastiques. Il s'agirait par exemple d'exiger des garantis financières en liquide dans nos banques congolaises.
Deuxièmement: les autorités congolaises devront empêcher que des entreprises étrangères, largement financées par des Etats, mais aussi des financeurs étrangers, ne créent des sociétés fragiles ou n'acquièrent une participation significative dans leur capital juste pour avoir la main mise sur les congolais. Nous le voyons déjà en exergue en RDC avec le procès des 100 jours avec M. Kamerhe et le Libanais Jamal.
A partir d'un certain montant, les étrangers viendront et pourront investir au Congo-Brazzaville, pas moins de 10 Milliards de FCFA. Si cette somme-seuil n'est pas sur la table, pas d'entrée dans l'économie, ni de création d'entreprise au Congo pour les étrangers. Plus d'endettement auprès des pays étrangers. Car nous allons vers une économie décarbonisée, tournée vers la transition écologique, plus vertueuse et plus respectueuse de notre environnement en Afrique, au Congo-Brazzaville.
Troisièmement: les autorités congolaises pourront intervenir quand une compagnie étrangère largement subventionnée risque de gagner un appel d'offres pour un marché public dans notre pays le Congo au nez et à la barbe d'entreprises Congolaises, en proposant des prix bien plus avantageux, ou en utilisant des prête-noms.
Peuple congolais, nous avons les solutions toujours travaillées pour vous redonner l'espoir en un Avenir, pour vous, vos enfants et petits-enfants dans notre beau pays.
Mais pour ce faire, il faut commencer par chasser la dictature de 40 ans, et après seulement ce départ que nous viendrons nous mettre au service du pays, des populations, après avoir apporter aux économies des occidentaux.
Ils feront plus de dommages que le Coronavirus aux Congolais.
L'épreuve de la Pandémie Coronavirus aura mis à nu les différents régimes africains, les travailleurs, les organisés, les mystificateurs, les ésotériques, et les incompétents qui passent le gros du temps à faire des "effets de manches", de l'agitation, du mensonge érigé en Politique Publique.
Ici, ramener au cas de la Dictature clanico-tribalo-policière du Congo-Brazzaville, ça a été l'occasion de révéler à tous ces mbochis solidaires par réflexe pavlovien de ce régime, que mêmes eux ne sont pas épargnés par l'incompétence des ces personnes qui composent ce système spoliateur de leur avenir, de leur vie.
Aujourd'hui la question qui arrive après la crise sanitaire, est celle de la crise économique : Comment le Congo-Brazzaville va régler la facture de la crise du coronavirus ?
Ma réponse est cache: ILS NE FERONT RIEN, CAR ILS NE SAVENT RIEN FAIRE. Si ce n'est volé l'argent public, sport dans lequel ils excellent toutes et tous sans exceptions, à tous les niveaux. Même la gestion de la pandémie a été une Catastrophe dans ce pays. Même à ce moment, le mensonge à primé, l'escroquerie, les brimades, les tours de passes-passes.
Le dictateur a fait une sortie avec ses complices des médias occidentaux, car, il est un grand vassal des occidentaux à qui il doit TOUT. Donc, il faut bien leur rendre l'ascendeur à la moindre demande.
Ce dernier, ne maîtrisant aucun sujet, encore moins économique, social et stratégique, il a affirmé, sans rire, « qu'il ne craignait pas pour l'économie congolaise ». Car pour lui, dans son inconscient et sa compréhension de l'économie, comme ses amies, fils, filles, enfants, cousins, et autres, l'économie du Congo-Brazzaville, c'est le pétrole, le gaz, et tout laisser aux étrangers qui vont gérer pour eux à leur place, tant ils ne savent rien faire.
Ma crainte, car elle existait déjà bien avant la venue du Coronavirus, c'est que ces gens ne vont rien faire, sinon, causés PLUS de dommages aux populations congolaises que le Coronavirus l'aurais fait.
Mais, ma colère elle est surtout à l'endroit de ce même peuple! Omar El Béchir au Soudan est parti pour moins que ça du pouvoir!
Même après avoir vu comment ils ont été mis à nu dans la mé-géstion du pays, ce peuple ne réagit pas! Aucun sursaut d'orgueil, de sacrifice! Car, avant c'était déjà vivoter qui primait, mais après le Coronavirus, ça sera la Misère, les gens vont crever la bouche ouverte dans ce pays!
La jeunesse, plus que jamais sera livrée à elle même! Nos ainés, parents à la retraite n'en parlons même pas! Et les petits salariés qui perdent déjà leurs emplois, vont en perdre encore plus. Et l'informel qui était 98% de l'activité des congolais va plus qu'en pâtir dans l'après Crise sanitaire au Congo-Brazzaville.
Peuple congolais nous vous le disons depuis le début, 2021 c'est l'année de la Libération, et le Covid-19 est un accélérateur-révélateur! Alors, il faut vraiment vous bouger et vous prendre en charge afin que nous chassions ce régime, ce système.
Eux, ils profitent du Coronavirus pour renforcer l'emprise du régime finissant, alors, vous, quelle est votre stratégie pour vous en sortir, donner un avenir à vos enfants ?
Personne en fera le travail de Libération à votre place peuple congolais. Ne compter surtout pas sur les politichiens dits d'oppositions. Bien au contraire, il faut les tenir loin à l'écart. C'est à vous et vous seul de vous prendre en charge sans aucun mot d'ordres et affronter les chars, les armes, les milices de Dénis Sassou-Nguesso.
A BON ENTENDEUR.