Leader Politique - Foryblan Dash BAKOULA. K

Autrefois notre beau pays dans lequel il faisait tant beau vivre, nous avions de belles industries productives et créatrices, et donc pourvoyeuses d’emplois pour les Congolais, offrait un véritable espoir et un beau niveau de vie. Nos parents, et par ricochet, nous-mêmes avions vécu, sommes nés et avant grandit avec les revenus de ces industries. Aujourd’hui, il ne reste quasiment plus rien, sinon, epsilon, mais des industries avec de très petites valeurs ajoutées, peu innovantes, et sans réelles perspectives pluriséculaires.

Notre système éducatif, de formation, l’émulation des politiques familiales offraient de réelles cadres à tous les niveaux de notre économie. Nous devons mettre un réel coup d’arrêt aux économies parallèles, informelles, tertiaires et de services. Ces économies de créent pas d’emplois, elles sont très peu pourvoyeuses d’emplois de qualités et à très fortes valeurs ajoutées et quasiment pas innovatrices.

Notre pays détient deux tristes records au sein de la CEMAC depuis la prise en otage de la dictature de 40 ans : il est celui où l'on travaille le moins lorsque l'on est en âge de le faire, mais il est aussi désormais l'un de ceux où la productivité au travail est la plus faible. Il sera impossible d'enrayer notre chute dans les classements africains, internationaux relatifs à la richesse produite par habitant si nous ne nous attaquons pas simultanément à ces deux maux.

Le premier a des causes connues : entrée tardive dans la vie active, niveau de chômage qui demeure élevé, taux d'emploi des congolais en âge, force et en bonne santé pour travailler, est insuffisant si on le compare à celui d'autres économies développées sur le continent où dans la région CEMAC. Les remèdes – refonte de notre système éducatif, de formation, de la formation des enseignements de tous les cycles, notamment les sciences et sciences économiques, montée en puissance de l'apprentissage de nos jeunes désœuvrés et pas ou mal formés, réforme de l’administration en mettant un terme à la fonction publique au Congo, report de l'âge de départ à la retraite ( 68/70/80 ANS) en bonne santé – ont été correctement identifiés par les #ConservateursCongolais. Ils sont en passe d'être administrés, dès notre avènement au pouvoir.

Relever le défi de la productivité – et de la montée en compétences qui en est le corollaire – suppose de jouer sur un registre autrement plus complexe. Il s'agit de réformer l'enseignement professionnel en le rapprochant du monde de l'entreprise, d'approfondir la coopération amorcée entre l'enseignement supérieur et les acteurs économiques, et plus généralement de donner clairement à notre appareil éducatif la double mission de former des citoyens éclairés et des adultes pleinement insérés professionnellement. Un vaste programme, d'autant qu'il ne s'arrête pas là !

Il faut aussi redonner aux élèves et singulièrement aux jeunes filles le goût des disciplines scientifiques et techniques, dont on sait qu'elles conditionnent la nécessaire réindustrialisation de notre pays le Congo, mais aussi augmenter significativement le nombre d'ingénieurs diplômés chaque année, réévaluer les filières de formation à l'aune du taux d'insertion professionnelle dont elles peuvent se prévaloir, et plus globalement revoir en profondeur la politique d'orientation. Ce dernier point est loin d'être secondaire : trop de jeunes issus de milieux défavorisés au Congo se retrouvent aujourd'hui dans des impasses faute d'avoir été convenablement conseillés, voir pas du tout accompagnés. Ainsi, nous créerons un Service Public de l’Emploi & un Service Public de l’Insertion et des Personnes en Situation de Handicaps.

Nous devrons également accorder aux professeurs de collège et de lycée la considération qu'ils méritent en augmentant leur niveau de rémunération et concurremment le degré d'exigence à leur égard. Mais aussi en maternelle et au Primaire. Nous créerons une Cité des sciences et de l’industrie, retraçant l’histoire de notre industrie, ses impacts, ses missions, ses ambitions, son apport pour notre pays, notre souveraineté, nos innovations, sa valeur ajoutée.

Il faudra enfin supprimer les trappes à bas salaire, alléger le fardeau des charges qui pèsent sur l'emploi qualifié, faciliter les transitions professionnelles et faire fonctionner l'ascenseur social tout au long de la vie active par la mise en œuvre d'une politique de formation continue ambitieuse et résolue.

Conjurer la menace du déclassement (imposer par la dictature depuis 40 ans) nous impose un vigoureux effort portant non seulement sur la quantité de travail produite mais aussi sur sa qualité. Si nous n'y parvenons pas, il est peu probable que nous soyons à même de financer simultanément le modèle social que nous souhaitons mettre ne place au Congo auquel nos concitoyens seront attachés, les moyens de notre souveraineté militaire et industrielle, et les investissements massifs nécessaires à la transition énergétique.

Pour que la valeur travail retrouve un lustre perdu sous la dictature Mbochis de 40 ans, il faut redonner de la valeur au travail aux congolais et au Congo.

L’époque du « travaille et tais-toi ! » est révolue. L’aspiration à une vraie participation, avec une formation digne de ce nom, et donc un salaire y afférent, se ressent dans toutes les strates de la société congolaise asphyxié qui n’en peut plus de l’oisiveté et de la pression, du nivellement par le bas. Tout comme le virage écologique ( afin de contrer les poussières, l’air de mauvaise qualité, irrespirable, des températures de chaleurs hors normes), la prise en compte de cette donnée est le passage obligé pour une sortie du productivisme effréné, que nous proposons dans cette nouvelle réindustrialisation du pays.

Congolaises, Congolais, notre très beau pays était naguère réputé pour l'intensité de son activité économique comme pour l'excellence de son système de formation dans la sous-région et en Afrique. Il doit redevenir cette nation industrieuse et apprenante qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être !

Foryblan Dash BAKOULA – Leader Majeur des Conservateurs Congolais & Africains

La dictature de quarante ans au Congo-Brazzaville à saboter les fleurons industriels qu’avaient le Congo-Brazzaville depuis son indépendance, et à dessein. Appauvrir les populations, les rendre dépendante et la main tendue, en plus de tuer l’éducation, la formation et brisant la famille et la politique familiale congolaise, telle a été l’entreprise de ce système.

Aujourd ‘hui, avec les #ConservateursCongolais & Africains avec la vision et le projet #NewStart, nous comptons , avec #CongoIndustrie, reconstruire le Pays et redonner un Avenir aux congolais, à notre jeunesse désœuvrée et manipulée, un espoir solide de naître, étudier, se former, s’éduquer, travailler et fonder sa famille au Congo-Brazzaville. Comment ?  En réindustrialisant nos territoires, car Nous avons pensé le Congo-Brazzaville.

Pour ce faire et donc attirer les investissements, d’abord en rapatriant les capitaux volés et dormant à l’étranger. Ensuite, nous développerons et mettrons en place des  crédits d'impôts et la création d'un nouveau livret d'épargne verte fléché vers tous les projets de création solide, verte, d’industrie, avec de grosses capacités de recrutements, de formations, de pérennités et de valeur ajoutée.

Nous encouragerons, formerons au lancement des entreprises « Licornes » et des « entreprises de Tailles Intermédiaires » industrielles. Ce seront elles, le terreau de cette réindustrialisation portée dans le projet, la vision #NewStart.

Nous visons 70 nouveaux sites industriels dans tout le pays, à raison de 7 site par régions, si nous partons sur 10 régions (Kouilou, Niari, Lékoumou, Pool, Plateaux, Cuvette-Ouest, Sangha, Likouala, Pointe-Noire, Brazzaville).

L’objectif public numéro 1 pour #NousLesConservateursCongolais.

Nous visons l’excellence en Afrique.  Nous devons, en dix ans, redorée notre réputation pour l'intensité de notre activité économique comme pour l'excellence de notre système de formation qui devra nous produire de la main d’œuvre hautement qualifiée à tous les niveaux. Pas de diplomîtes, mais du métiers, de la rigueur, de l’excellence.

Foryblan Dash BAKOULA – Leader Majeur des Conservateurs Congolais & Africains

Pour une industrie congolaise décarbonée, donc, verte, d’ici avant 2050 et permettre le Plein-emploi aux Congolais, tel est notre objectif porté par la vision #NewStart chez LES #ConservateursCongolais & Africains.

Une façon de dire aux congolais, à notre jeunesse, que TOUT EST POSSIBLE POUR VOUS ; UN Avenir radieux est possible dans votre pays grâce à des industrie propres sur tout le territoire national.

A #CongoIndustrie, nous portons la vision d’un objectif de 9 mois, l’installation d’une usine sur un territoire au Congo-Brazzaville.

Nonobstant ce puissant délai, nous allons réduire toutes les incertitudes qui pèsent dans la tête des créateurs, porteurs de projets industriels, financeurs, business Angels, notamment, les question autours de l’accès à une énergie de haute qualité pas ou peu cher. Lourdeurs administratives, manque de terrains à bâtir, absence de visibilité sur les prix de l'énergie. La réindustrialisation verte voulue par les #ConservateursCongolais & Africains a tout d'une bouffée d’oxygène et d’avenir pour notre jeunesse, nos aînés encore en âge de travailler pour un taux d’emplois à 100%. Ils exigent un soutien public plus fort des Congolais. Donc, le départ de la dictature de 40 ans au Congo-Brazzaville, Maintenant !

C'est le moment d'afficher sa détermination. Pour donner une belle vitrine à nos territoires et notre Politique Industrielle, nous créerons une Foire de l’Industrie Congolaise qui se déroulera chaque année dans le pays. Une occasion de démontrer aux futurs industriels congolais, mais surtout à nos populations, à notre jeunesse, que L’AVENIR LEUR APPARTIENT.

Foryblan Dash BAKOULA - Leader Majeur des #ConservateursCongolais & Africains

Notre pays souffre de l’absence de travail de qualité, qualifié, de l’autonomie. D’un écosystème à la fois industriel, mais aussi un vivier de potentiels créateurs d’entreprises, de l’audace.

Pour ce faire, nous avons besoin d’un taux d’emploi énorme, mais aussi d’atteindre le plein emploi dans ce pays, après tant d’années d’oisiveté et de médiocrités.

Nous, Les Conservateurs Congolais, faisant de la réindustrialisation du Congo-Brazzaville un axe majeur du plein-emploi. Outre le financement, faire naître de grandes industries dans tout le pays présente de nombreux défis. Que ce soit l’accès à l’énergie de qualité, l'accès au foncier, la formation des salariés ou encore la décarbonation du secteur. Etat des lieux.

Nous proposons, pour ce faire, une enveloppe de 1000 Milliards de Francs CFA en 5 ans de programme d’investissements pour un Nouvelle Industrie Congolaise avec Congo Industrie.

Ces investissements seront pilotés par la création d’un Fonds Congolais ou une Banque Public d’Investissements, qui sera le Bras armé de l’Etat Congolais pour tous types d’investissements dans le Nouveau Modèle Economique que nous souhaitons pour ce Nouveau Congo avec le Programme New Start. Le programme doit permettre de faire émerger 100 nouveaux sites industriels par an dans chaque coin du pays.

Plus qu'une question de chiffre, c'est une philosophie. Pour faire émerger des start-ups industrielles dans tout le pays, nous permettant d’y investir près de 1000 Milliards de FCFA en 5 ans. Notre pays va se réindustrialiser par des start-ups industrielles.  L’innovation de rupture ne se fait plus dans les grands groupes, la valeur ne se fait plus dans les grands groupes.

Il nous faut créer un « CongoTech » qui nous permettent de prendre ce risque et tendre vers un pays de l’audace, du plein emploi à partir de l’industrie. Elle va crée des emplois, permettre l'émergence de start-up industrielle.

Nous voulons créer un écosystème qui permettrait de voir émerger de jeunes créateurs d’entreprises industrielles, sur des technologies de ruptures à fortes valeurs ajoutées. En lien avec le secteur tertiaire. En finir avec le secteur informel, l’économie informelle.

Tous les secteurs seront irrigués par l’industrie, l’alimentaire, la santé, l’éducation, la formation, l’agriculture, textile, etc.

Nous avons massivement besoin d'innovation pour résoudre les grands défis du climat, du chômage endémique, de l'alimentation des Congolais ou de la démographie par exemple. 

Nous devons aussi levés tous les potentiels freins à cette nouvelle vision pour un Congo Brazzaville développé.

Nous devons libérer du foncier, travailler à la formation, l’éducation, afin d’avoir une main d’œuvre qualifié pour cette industrie 6.0 avec de fortes valeurs ajoutées.

Faire naître des usines sur tout le territoire national, c'est bien. Encore faut-il pouvoir les faire tourner. Malgré la conjoncture économique dégradée en Afrique, dans la sous-région, des pénuries dans tous les métiers et tous les niveaux de qualification se font sentir.

Promouvoir l'industrie dans nos villages, nos quartiers, à la télévision et dans les médias, recruter à l'étranger… autant de défis pour les industriels. Nous misons sur les formations, dont nous voulons faire le bras armé de notre feuille de route de la réindustrialisation du Congo-Brazzaville. Avec une mise en place de près de 50.000 formations sur toute l’étendue du territoire.

Nous voulons aussi rappeler que industrie rime avec décarbonation. Nous ne voulons plus de cette industrie du 20^ème siècle, polluante, non respectueuse de l’environnement, de la vie des populations, de nos eaux, de notre Nature.

L’objectif final, pour Nous, Les Conservateurs Congolais, dès notre arrivée au pouvoir : faire passer le poids de l'industrie de 10 % à 85 % du PIB congolais.

Leader Majeur des Conservateurs Congolais

Foryblan DasH BAKOULA

Trois-cent-quarante-deux-mille kilomètres carrés, une population réelle d'autochtone de "père te de Mère Congolais", de trois millions, et plus d'un million d'étrangers, voilà pour LE PAYS, le Territoire. Mais, la Nation, elle n'en bénéficie point. Pour une raison simple, ce petit pays riche, mais pauvre dans la vie courante réelle, son argent est englouti par l'ARMEE, LE PARLEMENT - (Assemblée Nationale + Sénat) et toutes les institutions bidons (conseillers municipaux, etc.), sans oublier cette fonction publique inefficace à outrance.

Mais, tenez-vous bien, tout ceci est fait à dessein depuis la guerre de 1997 par ce régime, ce dictateur incompétent, puérile, stupide : Dénis Sassou-Nguesso, tout comme il inonde le Congo de Rwandais et d'autre étrangers, pensant édulcorés les Congolais dans le futur. 

Détrompons-nous, il n'en sera rien, nous reprendrons le Contrôle de notre Destin Nationale Congolais, qu’ils le veuillent ou non. L'histoire du Monde est ainsi.

Cette dictature dure depuis quarante ans, justement parce que LES choix faits par ces milles familles ayant pris le Congo-Brazzaville en otage, étant de consolider cette dictature pensant ainsi la pérennisé au-delà de la personne de #DSN. Mais il n'en sera rien. 

Nous, #LesConservateursCongolais supprimerons cette armée tribalisée et plein de faux soldats. Ensuite, mettrons à terre toutes les institutions budgétivores aussi inutiles qu’inefficace !

Ce dont nous aurons besoins, c'est la protection de nos frontières, l'ordre public intérieur, le respect des voisins, tel que l’Angola et taire ses velléités à nos frontières.

S'agissant des Services d'Intelligence, le traitement sera le même, y jonche que des branleurs, bras-cassés tribalistes au service d'un homme, d'un régime.

Ces sommes, plus celles en fuitent dans les paradis fiscaux, font que, pour Bâtir notre Nouveau Modèle Sociale Congolais, notre pays, notre économie et tout le reste, nous n'aurons besoin de personnes, encore moins des néo-colonialistes, types FMI, BANQUE MONDIALE, UA, etc. Et sortirons des organisations sous-régionales, des traités, sortiront les ONG.

Au-delà de l'amusement, la jouissance, ce qui tue les populations congolaises, en plus, c'est la saleté ordurières du pays, de nos villes, de nos quartiers, de chez soi. L'absence de politique publique saine, et de volonté politique manifeste est criante. Si l'on pousse plus loin, d'aucuns pourraient y voir la facilitation des pratiques occultes, mystiques dont nous sommes friands, encourageant DE FACTO, se laisser aller à la saleté, aux immondices.

Nous, #LesConservateursCongolais & Africains, voulons inverser cette tendance. Cela permettrait aussi de coller à notre politique sanitaire publique de Lutte contre le paludisme, faite Grande Cause Nationale. Conjuguer les deux pour améliorer l'environnement de vie des populations congolaises. Donc, vivre plus longtemps en bonne santé.

L'idée serait la suivante, octroyer une ou deux poubelles à chaque ménage congolais, afin de contrôler et suivre, pour finalement réduire sa quantité produite de déchets. Nous irons aussi ainsi avec la gestion de l'eau et de l'électricité.

L’enjeu essentiel de la gestion des déchets dans les villes de demain est d’améliorer le geste du tri, que les ménages réduisent au maximum pour qu’on puisse mieux recycler. Avoir moins de poubelles à ciel ouvert dans le pays.

Nous avons pensé le congo-brazzaville.

#LesConservateursCongolais ont penser le #CONGO

Ville par ville, rue par rue, quartier par quartier. Administrations, organisations du pays, de notre état, de notre économie, du social, de nos Marchés. Notre système de santé, notre système éducatif, de formation initiale, d’adultes. L’accompagnement vers l’insertion sur le marché du travail congolais, plus dynamique, efficace avec des rémunérations convenables ; raisonnable.

L’ETAT PROVIDENCE n’existe pas ! Même chez leurs maîtres auprès de qui ils s’inspirent, ces bavards qui inondent les réseaux sociaux, avec leurs pseudos chaînes, journaux, qui se prévalent d’être des « politiciens », que se sont eux les « premiers », de je ne sais quoi.

Beaucoup de désinformation, de désorientation. Nous voulons dire à nos populations, que ces personnes qui se targuent d’être des « ingénieurs par-ci, des polytechniciens par-là », etc., tout ceci c’est juste parce que le pays n’en a pas asse, voir quasiment peu, très peu, sinon parfois, pas.

Ce trafique d’influence envers nos populations n’est possible depuis quarante ans que parce que la médiocrité de la dictature clanique des Sassou-Nguesso l’a permis, réduisant le congolais à un vaux rien, un illettré, analphabète, à dessein.

L’année 2022 se termine dans quinze jours, nous entrerons dans l’année 2023. Nous, #LesConservateursCongolaisetAfricains disons aux populations congolaises, mais aussi africaines, que tout ceci sera bien terminé.

Le projet des #CONSERVATEURSCONGOLAIS est connu, ici, le Think Tank Génération tangible en est la vitrine depuis Vingt-cinq ans.

#NewStart - #NouveauDépart

Les étrangers ont pris notre économie en otage. Notre jeunesse est abandonnée à elle-même. Nos parents, sans respect, n’ont pas de pensions de retraites, pas de soins adéquats. Nos femmes, nos filles sont délaissées. Notre système de santé est un mouroir. Ne parlant même pas des infrastructures, de notre appareil sécuritaire ultra défaillant, tout comme le système éducatif et cet état obèse et inefficace.

Foryblan BAKOULA

Leader Majeur des #CONSERVATEURSCONGOLAIS

Depuis quarante ans de dictature violente et égoïste que dure la pauvreté et le chômage endémique et chronique des Congolais, couplé aux dix-huit mois que dure la pandémie de Covid-19, son caractère imprévisible nous a appris à ne pas crier victoire trop tôt. « La Reconstruction, le Nouveau Départ, c’est maintenant ! La « renaissance des entreprises du Congo au Congo pour les Congolais à l’emploi » est à présent en Marche grâce au Jobs Act.

Dans notre pays le Congo-Brazzaville, le climat des affaires, qui reflète le moral des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité marchands, l’économie congolaise étant encore embryonnaire…

La Construction de l’économie congolaise puis sa reprise économique va passer enfin de la forme de la lettre « K » qu’elle est depuis 40 ans à celle de la lettre « V » là où, grâce au Jobs Act, nous souhaitons l’amener.

Cela passe par l’assouplissement des règles et allègements de charge contribuent à faire reculer le chômage. Notre Jobs Act donne au patron plus de sérénité et de flexibilité.

Le JOBS Act que nous proposons aux congolais est LE fer de lance de notre vision et projet politique #NewStart.

Il vient alléger les procédures de dédouanement, de douane, de licenciement, de démission, d’embauche, de rémunérations, d’avantages sociaux l’égaux, tout en introduisant des garanties croissantes permettant aux futurs patrons sains de se séparer d’un travailleur pendant les trois premières années de son embauche sous contrat temporaire avec la création d’un contrat unique, des soldes tout compte. Des contrats zéro heures avec certains droit (formation, qualification, déjeuner, santé). A charge pour lui de ne pas être véreux, de s’acquitter de ses impôts.

Le JOBS Act est LA pierre angulaire de la relance, construction de notre croissance inclusive, qui n’en laissera personne au bord du chemin.

Mise en place de la responsabilité civil des magistrats afin d’endiguer la corruption des verdicts et du corps magistral, mais aussi de tous les auxiliaires de justice. Il faudra dépoussiérer la Justice congolaise. Nous allons revoir la carte judiciaire du Congo avec un nombres infime de tribunaux par régions.

Informatisation des procédures judiciaires. Les dettes ne feront plus l’objet de plainte ni d’emprisonnement.

Création d’un tribunal des entreprises pour accueillir et favoriser les capitaux étrangers investissable surplace pour des métiers non délocalisables et à forte valeur ajoutée.

Une simplification administrative, avec la fin du statut de fonctionnaire, de la fonction publique, car jugé moins sérieuse. Réduction, fermeture des agences budgétivores. Promotion du mérite dans les fonctions.

Avec le JOBS act, nous instaurerons de nouveaux taux de TVA pour les différents secteurs économiques, activités économiques.

Une vraie refonte des taux de TVA. Le taux normal serait de 14 %. Un taux intermédiaire viendrait stabiliser les entreprises dans leurs activités, à 9% et la restauration et commerces à 5,5% ainsi que tous les produits taxés de premières nécessités. Ainsi, nous libérerons les Congolais de la hausse des prix sur les produits, les denrées alimentaires, l’équipements, la réparation, l’aménagement, la consommation. L’épargne sera taxée à 5% sur les montant annuel. Cette nouvelle architecture des taux de TVA au Congo va libérer de la croissance et donc du pouvoir d’achat et améliorer le quotidien de ceux-ci et donc le panier de la ménagère.

Lancement d’un Programme d’Investissements National et régional de 50 Milliards soit moins d’un milliard pour le développement de chaque région du Congo. Notamment la transition énergétique, sortir du tout pétrole, du tout bois, du tout gaz.

Et agir sur la vie quotidienne des Congolais. Grâce à des moyens de transports rapides, sains, sûrs, réguliers on partira des besoins du territoire afin d’éviter les projets pharaoniques et des éléphants blancs, comme sur la Municipalité Accélérée ou encore les pseudos grands-travaux.

Les Congolais sont sensibles à leur bien-être et à ce que leurs enfants, petits-enfants aient un AVENIR dans un pays sain, développé et solide.

GENERATION TANGIBLE – LES CONSERVATEURS CONGOLAIS & AFRICAINS

A la différence de la facilité intellectuelle dans laquelle baigne certains « opposants ou dit opposants » au régime dictatorial de 40 ans, comme les Boukadia et autres, par paresse intellectuelle ou absence d’innovation de réflexions : Nous sommes contre la scission du Pays. Mais plus pour la puissance régionale : des régions fortes. Pas le fédéralisme. Mais dilué la force de l’Etat dit congolais dans la force des Régions. D’autres pourraient voir cela comme la politique des « Landers ».

C'est l’ère de l’Avenir : avoir un avenir, construire enfin un avenir dans ce Congo-là pour tous les Congolais.

Avec une politique Culturelle puissante pour éveiller l’intellect des populations locales par contrée.

Il nous faut soutenir l’action culturelle, la créée, faire construire les écoles, les collèges, les Lycées, les Fac. Soit 10% du Budget alloué à chaque région congolaise qui sera consacré à la culture, avec des opérations de soutien, la création et e montage des festivals, des journées culturelles dédiées, de salles de cinéma, de salles de théâtre, des Librairies, des Bibliothèques, des maisons D’édition et des salles de spectacles. Mais aussi la création des musées, soit cinq par région.

La jeunesse, durement touchée pendant la crise du Covid-19, mais aussi pendant 40 ans de dictature, se verra soutenu dans l’octroi et l’obtention de prêt pour ses études, monter son entreprise comme auto-entrepreneur, la région se portera caution et l’accès à des logements décents, en plus d’une politique de construction attractive. Offre du passage de l’examen de conduite, du permis. Mettre en place des structures pour la formation au permis.

Construire des établissements scolaires de tous les cycles et tous les niveaux. Des Centre pour la formation aux métiers industriels, techniques, commercial, d’ingénierie, du Conseil, de la stratégie.

Avec la cantine pour tous gratuitement pour les familles, pris en charge dans le budget des régions, à hauteur de 20% par an avec une aide pour la prise en charge de la restauration scolaire et un plan d'un milliard de FCFA pour construire les établissements (crèches, maternelles, collèges, lycées, instituts techniques de formation, apprentissage, université, grandes écoles, administrative).

Nous devons faciliter la vie des Congolais et prendre en compte les spécificités locales, ethniques, tribales, régionales dans la construction de l’amélioration de chaque congolais sur son territoire.

La culture va avec la formation, l’éducation. C’est ainsi que chaque région se verra doter de fond conséquent pour travailler à l’éducation, la formation (initiale, professionnelle, techniques, la rechercher et développement) de chacun de ses filles te fils sur son territoire avec des évaluations périodiques et des comptes-rendus sur l’état des finances, des acquis.

Il nous faut des Parcs, des espaces de loisirs, des complexes de loisirs, des parcs d’attractions, des fêtes foraines.

Ensuite, les régions devront s’atteler à la question de la sécurité.  Elle est en tête des priorités des Congolais, juste après l’emploi, la formation, la santé et le bien-être.

Dès l’accession des Conservateurs au Pouvoir, nous annonçons un fonds de protection sécurité de 20 millions de FCFA par an et 20% du budget de chaque région devra être consacré à la Sécurité, avec des mesures phares, comme entre autres : 

• Former convenablement avec rigueur les agents ;
• Les délinquants d’hier. Zéro prison : délinquant = fusiller.
• Equiper tous les agents d'une caméra piéton pour sortir des abus ;
• Adopter le tout vélo à la place des motos bruyantes ;
• Construire des gares modernes et connectées par région ;
• Une interdiction de gare pour les délinquants ;
• Installation des bornes "urgence police" aux abords des écoles, lycées, collèges, université.

Nous devons bâtir et aller vers des régions plus vertes dans tout le Congo.

Ainsi, nous consacrerons près de 600 millions de FCFA pour le plan climat de chaque région et des régions "zéro plastique" en 2050. Retrouver de la nature dans chaque région congolaise, c'est aussi la promesse avec par exemple : 

• 30.000 hectares de nature supplémentaires ;
• Trois millions d'arbres plantés chaque six ans ;
• 100% des ports labellisés "ports propres" dans les régions portuaires ;
• Installation des panneaux solaires et des centrales thermiques à gaz ;
• Lancer la tarification incitative pour les déchets : "moins de déchets = moins d'impôts" dans chaque région.

Sur le versant économique : nous nous appuierons sur les forces et les richesses locales, de la main d’œuvre locale que nous devons ultra qualifier à même de rivaliser d’ingéniosité, de rigueur, de sérieux, de conscience professionnelle, d’innovation, de créativité, d’énergie, de force, d’abnégation dans le travail, le travail bien fait pour bâtir des champions économiques régionaux. Nos valeurs sont le bien-être des congolais : Nous croyons à une société congolaise de la formation tout au long de la vie, de la qualification, de la valorisation de nos territoires, de nos produits locaux, de nos savoir-faire.

Santé : tirer les leçons de la crise sanitaire

S’agissant de la santé, nous doterons là aussi les régions de fonds consistants pour bâtir des hôpitaux de haut niveau, standing, construire une offre de soins de qualité avec des professionnels de qualité former surplace avec les meilleurs, et à même de rivaliser avec les meilleurs au monde. Mais aussi mettre la recherche devant, tout comme dans l’éducation, dans l’économie, dans l’industrie.

Bâtir des plans grandes crises de santé locale réactif, des services d’aide Pompiers garde civile, pour les départs de feux, le génie civil à l’image de la pandémie du Coronavirus. Construire des indicateurs, des données, des tableaux de bords pour plus de clarté, car la science est palpable.

Il nous faut des professionnels du paramédical (kiné, masseurs, osthéo, podologue, orthophoniste, hypnose, etc) Des logisticiens dans les hôpitaux. La restauration, le ménage et la propreté de haut niveau. L’entretien des espaces, des locaux, la maintenance, les services généraux, l’administratifs.

Nous avons besoin d’avoir une Vraie POLITIQUE DE GPEC dans tous les domaines au Congo, Stratégique pour notre essor durable et ordonnée, pour avoir une vraie administration autonome nationale, régionale.

Plus de sages-femmes, d’infirmières en réanimation, infirmiers en gériatries, normaux, des chirurgiens de tous ordres, réparations, des chercheurs, des virologues, épidémiologistes, des laborantins, pour frapper le palu et toutes les autres maladies.

Dans les transports :

Nous développerons le ferroviaire et le fluvial, comme Mode de transport alternatif et doux. Plus de vélo, moins de voitures avec des péages en ville. Pour des gares connectées, des smart ville, des trains modernes sécurisé toutes les 15 minutes dans chaque région. Favoriser des interconnexions et des fusions de Régions pour plus de force de frappe.

Mais aussi : 

• Des voies de bus réservées entre
• Investir dans le matériel roulants, les lignes électrifiées, la formation, sélection du personnel ferroviaire et de l’Aviation ; avec un aéroport par région ;
• Des bus interrégionaux
• Construction des cartes transport et de l’offre de transport pour chaque type d’âges ; 
• Création dans chaque région d’un PASS Transport pour l’ensemble des réseaux de transports de chaque région ou des régions fusionnées (train, bus, car, vélo)
• Créer des lignes de car Régionale et interrégionale ;
• Doublement de l’offre de transport territoriale ; 

Développement d’une Politique d’Insertion Sociale Economique et Professionnelle par région. Développement de l’Economie Circulaire et de l’Economie Sociale et Solidaire par région, dans chaque région.

Mettre en place le corps de métier de Travailleur social, ainsi que pour les Personnes en situation de handicap.

Formé massivement et avec rigueur et qualité, des CISP, CIP, Coordonnateur, Directeur, Assistante Sociale et autres.

Développer l’offre de Détection, Orientation, Accompagnement, Conseil, placement, partenariat entreprise et Marché du Travail, de l’Emploi région par région.

Des Maisons de l’emploi réunissant tous les services et professionnels avec les moyens ; Mailler le bassin d’emploi par territoire. Travailler l’offre de formation territoriale et interrégionale puis nationale. Des Agents d’entretiens des espaces verts, fleurir les villes de la région, construire des parcours fleurit adoucissant. Accompagner les jeunes, moins jeunes, les adultes. Les jeunes-filles-mères. Politique du Logement régionale.

LA GENERATION DU PROGRES. GENERATION TANGIBLE.

C’est l’une des grandes réformes voulues par les populations congolaises. La réforme électorale est le « Pivot » de la Reconstruction, du Nouveau Départ dont le pays a besoin. La dictature a vidé les institutions de leur contenu, les textes, idem. Il faut redonner du contenu et du sens à la République, aux Institutions, afin que tout ceci soit au service du bien-être des Congolais, de génération en génération, et pas l’inverse.

La Loi Électorale actuelle est viciée à dessein, afin de permettre les scores staliniens et le maintien du dictateur, et sa suite avec, après lui.

En quoi consiste ce projet que les Conservateurs Congolais et Africains appellent Congolicum ?

Il s’agit en effet, tel que travailler dans le Shadow Cabinet du Think tank Génération Tangible de remplacer la loi électorale de la dictature actuelle qui les maintient au pouvoir depuis 1997, une vraie saloperie.

Un système complexe, opaque à dessein, est très critiqué depuis des années par les Congolais, car il ne permet que la réélection d’un des leurs à chaque élection, et les leurs à toutes les élections intermédiaires (parlement, régions, local) et ce dès les premiers tours, d’où l’expression adoptée : UN COUP KO ! Le tout, conçu pour leur assurer le pouvoir à vie.

Cette loi électorale a cependant démontré toutes ses limites et insuffisances aux congolais, à chaque élection : l’inégalité sur le plan des résultats électoraux avec une prime toujours à la majorité et au parti au pouvoir à chaque scrutin. Dès lors, on se retrouve toujours depuis 1997 dans des situations de blocages.

Notre objectif avec cette Nouvelle Loi électorale est de rendre le Congo-Brazzaville mieux gouvernable. Pour cela, nous entamerons une réforme constitutionnelle pour ôter dorénavant le doute dans le cœur et la tête des Congolais.

Ainsi, supprimer la chambre haute du Sénat et réduire de ¾ le nombre des députés à la chambre basse du parlement congolais ainsi que la circonscription électorale soit un député pour 500 Personnes. Réduire les dotations et émoluments des élus nationaux et locaux, ainsi que toutes les dotations inutiles sociales ou autres.

Que prévoit la Nouvelle Loi Électorale Congolaise que nous Conservateurs Congolais et Africains proposant :

Que prévoit ce texte ? La loi électorale est inspirée du croisement de différentes observations de ce qui se fait dans le monde. Les répartitions des sièges devront dorénavant se faire au niveau National, plus par circonscription. Seuls les partis ayant obtenu plus de 3 % des voix pourront participer à cette répartition.

La répartition se faisant dorénavant au niveau national, l’élection des Députés congolais se fera dans 100 circonscriptions où les partis devront présenter des listes de six (6) noms. Soit, par ordre de préférence une femme, un homme, pour chaque liste de candidatures. Choisir des candidats de sexes différents.

Fin des candidatures multiples tous azimuts aux élections, dans les circonscriptions.

La proportionnelle arrive dans le pays avec des élus connectés aux populations, tout le monde doit se sentir concerné par la conduite des affaires publiques.

Il faut assurer la gouvernabilité du pays de façon stable et représentative. Si une liste obtient 40% des suffrages exprimés, elle obtiendrait automatiquement le ¼ des sièges de la chambre dès le 1^er tour.

Si pas 40%, alors, second tour. Et fin des arrangements entre partis lors des seconds tours.

Les listes en-dessous de 10% ne seront pas éligibles.

Le vote sera secret et le gouvernement reprend ses responsabilités avec le ministère de la Sécurité Intérieur qui reprend l’organisation, la logistique, l’administratif des élections.

Suivront la réforme des Droits Civiques et la Réforme Constitutionnelle.

Foryblan BAKOULA

Leader Majeur des Conservateurs – Génération Tangible.